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TABLE ET SOMMAIRES DES LETTRES
Pages
106. Lagrange à d’Alembert. — Berlin. 2 juin 1772 
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Remerciements au sujet de sa nomination. — Questions relatives aux places de pensionnaires et de secrétaire perpétuel de l’Académie française. — Le P. Frisi. — Observations sur Euler. — Prix décerné et à proposer par l’Académie de Berlin. — Il lui envoie le deuxième volume des Nouveaux Commentaires de Gœttingue. — Remerciements pour ce qu’il a écrit au Roi.
 
107. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 5 juin (1772) 
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Envoi des Mémoires de 1770 ; des Dissertations de Kæstner, et d’un Ouvrage singulier (qu’il ne nomme pas).
 
108. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 22 août (1772) 
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Il lui écrit par M. Borrelly, qu’il a désigné au Roi pour la place de professeur à l’Académie des Gentilshommes. — La faiblesse de sa tête l’a empêché de poursuivre la lecture du Mémoire de Lagrange sur les tautochrones. — Il s’est mis à écrire l’histoire de l’Académie française. — Transcription du passage d’une Lettre du roi de Prusse, relatif à Lagrange. — Absurdités dans l’exercice du droit de suffrage à l’Académie des Sciences. — La place de secrétaire de l’Académie française ne rapporte que 1200 livres et un fort vilain logement. — Le P. Frisi. — Envoi de deux Volumes de la part du jeune Cassini. — L’ouvrage de Kæstner est peu de chose. — Franklin est nommé associé étranger. M. Margraff a eu les secondes voix. — Envoi de quelques feuilles du sixième Volume des Opuscules. — Réfutation du P. Boscovich. — Droit de 48 livres prélevé par le secrétaire de Buffon sur le prix de Lagrange.
 
109. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 15 octobre 1772 
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Éloge de l’Histoire de la parallaxe du Soleil, de J.-D. Cassini, le fils. — Il a lu avec le plus grand plaisir les nouveaux Mémoires de d’Alembert, sur la figure de la Terre, sujet sur lequel lui-même vient de composer un Mémoire. — Il a en porte-feuille de nombreux Mémoires qu’il désirerait publier. — Il n’a aucune nouvelle de Bruyset, libraire à Lyon, auquel il a envoyé, il y a plus d’un an, un manuscrit pour faire suite à la traduction de l’Algèbre d’Euler. — Appréciation du mérite de Kæstner. — Nouvelle édition des Mémoires de l’Académie des Sciences de Paris. — Doit-il envoyer quelque travail à cette Académie ? — Élection de Franklin. M. Margraff. — Marquis Caraccioli. — Ce que le Roi a écrit sur lui, Lagrange, lui a fait un plaisir infini. — Question des ressorts. — Le P. Frisi.
 
110. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 20 novembre 1772 
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lui transmet les remerciements de Cassini. — La faiblesse de sa tête l’a jusqu’ici empêché de lire les derniers Mémoires qu’il lui a envoyés. — Il l’engage à poursuivre ses travaux sur la figure de la Terre, et hâtera l’impression des pièces couronnées. — Il a écrit à Bruyset. — Marquis Caraccioli.
 
111. Le même au même.ier janvier 1773 
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Il le consulte pour savoir s’il y aurait moyen de faire entrer à l’Académie de Berlin, avec une pension suffisante, un jeune homme plein d’ardeur pour la Géométrie, et qui pourra s’y distinguer, M. de la Place. — Son prochain volume des Opuscules contiendra une nouvelle méthode pour calculer le mouvement des fluides. — Il va cesser ses travaux mathématiques et travailler à l’histoire de l’Académie française.