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Chapitre 

XXII. — Des notions à priori 

 73

— 

XXIII. — Contre Épicure 

 76

— 

XXIV. — Comment doit-on lutter contre les circonstances difficiles ?  

 78

— 

XXV. — Sur le même sujet  

 81

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XXVI. — Que faut-il faire pour apprendre à vivre ?  

 86

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XXVII. — De la diversité des idées, et des secours que nous devons nous ménager contre elles 

 89

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XXVIII. — Il ne faut pas s’emporter contre les hommes. — Et qu’y a-t-il de grand, qu’y a-t-il de petit dans les choses humaines ?  

 92

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XXIX. — De la force d’âme 

 97

— 

XXX. — Que faut-il avoir présent à l’esprit dans les circonstances difficiles ?  

 106

LIVRE DEUXIÈME.

Chapitre 

I^er. — L’assurance n’est pas incompatible avec les précautions 

 109

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II. — Du calme de l’âme  

 116

— 

III. — Sur ceux qui recommandent quelqu’un aux philosophes 

 119

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IV. — Sur un homme qui avait été surpris en adultère  

 120

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V. — Comment on peut à l’élévation de l’esprit unir le soin de ses affaires 

 123

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VI. — Des choses indifférentes  

 127

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VII. — Comment faut-il consulter les oracles ? 

 131

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VIII. — De la nature du bien  

 134

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IX. — On n’est pas de force à remplir son rôle d’homme, et l’on se charge encore de celui de philosophe ! 

 138

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X. — Comment de nos différents titres on peut déduire nos différents devoirs  

 142

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XI. — Quel est le commencement de la philosophie ?  

 146

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XII. — Des discussions  

 150

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XIII. — De l’inquiétude  

 154

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XIV. — À Nason  

 158

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XV. — Sur les gens qui persistent obstinément dans ce qu’ils ont décidé 

 163

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XVI. — Nous ne nous préparons pas aux jugements que nous portons sur les choses bonnes et mauvaises  

 166