Page:Livre du Chevalier de La Tour Landry.djvu/64

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Le XIIe, de la fille du roy de Dannemarche, qui perdit le roy d’Angleterre par sa folle contenance.
Le XIIIe, de celle que le chevalier de la Tour refusa pour sa legière manière.
Le XIIIIe chappitre parle comment la fille du roy d’Arragon perdy le roy d’Espaigne.
Le XVe, de celles qui estrivent les unes aux autres.
Le XVIe, de celle qui menga l’anguille.
Le XVIIe, comment nulle femme ne doit estre jalouse.
Le XVIIIe, de la bourgeoise qui se fist ferir par son oultraige.
Le XIXe, de celle qui sailly sus la table.
Le XXe, de celle qui donna la chair aux chiens.
Le XXIe, du debat qui fut entre le sire de Beaumanoir et une dame.
Le XXIIe, comment il fait perilleux à estriver à gens sçavans, et parle de la dame qui prist tençon au mareschal de Clermont.
Le XXIIIe, de Bouciquaut et des trois dames.
Le XXIIIIe, de trois autres dames qui vouldrent tuer un chevalier.
Le XXVe, de celles qui vont voulentiers aux joustes et aux pelerinaiges.
Le XXVIe chappitre parle de celles qui ne veullent vestir leurs bonnes robes aux festes.
Le XXVIIe parle de la suer saint Bernart.
Le XXVIIIe, de celles qui ne font que gengler à l’eglise.
Le XXIXe, de saint Martin de Tours et de saint Brice