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2279. 
Le comte d’Argental. Potsdam, septembre. — « Parlons d’abord de Catilina. » 
 B.
2280. 
Le comte Algarotti. — « Io sono un poco casalingo » 
 B.
2281. 
Le marquis d’Argens. — « Très-cher frère, vous me faites un grand plaisir. » 
 B.
2282. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Au Salomon du Nord une foule d’auteurs. » 
 B.
2283. 
Le marquis d’Argens. — « Frère, vous avez un don de Dieu. » 
 B.
2284. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Marc-Aurèle autrefois disait. » 
 B.
2285. 
Le marquis d’Argens. — « Frère, si loquela sua. » 
 B.
2286. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Sire, je supplie Votre Majesté. » 
 B.
2287. 
Le comte d’Argental. — « Vous voyez ce qu’il m’en coûte. » 
 B.
2288. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Si vous aimez des critiques libres. » 
 B.
2289. 
Darget — « Miseriis hominum succurrere discis. » 
 B.
2290. 
Darget — « J’avais bien raison de soupçonner Henning. » 
 B.
2291. 
Darget. — « Voici la lettre que Henning. » 
 B.
2292. 
Mme  Denis. À Potsdam, le 20 septembre. — « Voici une douzaine de feuilles. » 
 B.
2293. 
Le comte Algarotti. Potsdam, 24 septembre. — « Non posso immaginare. » 
 B.
2294. 
Le baron de Marschall. Potsdam, 3 octobre 1751. — Je vous fais mon compliment. » 
 C. et F.
2295. 
Formey. Berlin, chez Mme  Borck, ce mardi. — « Les embarras du déplacement. » 
 B.
2296. 
Frédéric II, roi de Prusse. 3 octobre. — « Faible réponse à votre belle ode. » 
 B.
2297. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Sire, je me suis traîné à votre opéra. » 
 B.
2298. 
Frédéric II, roi de Prusse. À Berlin, le 14. — « J’ai quitté la rive fleurie. » 
 B.
2299. 
Frédéric II, roi de Prusse. Vendredi, 9 heures du soir. — « Le médecin joyeux a sans doute mandé. » 
 B.
2300. 
Le comte d’Argental. 16 octobre. — « Je vous suis bien obligé de vos petites notes. » 
 B.
2301. 
Mme  Denis. À Potsdam, 29 octobre. — « Vous êtes de mon avis. ». 
 B.
2302. 
Formey. — « Voici l’éloge d’un grand homme. » 
 B.
2303. 
Le maréchal de Richelieu. Potsdam, 13 novembre 1751. — « Ce La Mettrie, cet homme-machine. » 
 B.
2304. 
Le comte d’Argental. Potsdam, 13 novembre. — « J’ai pour principe qu’il faut croire. » 
 B.
2305. 
Mme  Denis. Potsdam, 14 novembre. — « Protectrice de l’Alcoran, nous sommes tous ici. » 
 B.
2306. 
Falkener. Potsdam, 27 novembre. — « Dear sir, the printers at Berlin. » 
 C. et F.
2307. 
Le duc d’Uzès. Potsdam, 4 décembre 1751. — « C’est par un heureux hasard. » 
 B.