Aller au contenu

Principaux journaux publics

Affichage combiné de tous les journaux disponibles sur Wikisource. Vous pouvez personnaliser l’affichage en sélectionnant le type de journal, le nom d’utilisateur ou la page concernée (ces deux derniers étant sensibles à la casse).

Journaux d’opérations
(les plus récentes | les plus anciennes) Voir (50 plus récentes | ) (20 | 50 | 100 | 250 | 500)
  • 27 septembre 2024 à 19:18 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/373 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> ÉCRIT SUR BEAUCOUP D’ALBUMS Donnez, l’homme est presque divin Qui, n’ayant dit non à personne, A froid, quand le pauvre frissonne, Et défaille, quand il a faim. Donnez sans espoir qu’on vous rende, Donnez sans savoir qui reçoit. Le plus noble geste qui soit, C’est d’ouvrir la main toute grande. </poem> ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 19:17 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/264 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> SOUVENIR PROFOND Un nom cher fut gravé sur un arbuste frêle. L’arbre, aujourd’hui géant, a cent fois reverdi. Vois. Sur le tronc rugueux les lettres ont grandi. Tel, dans un cœur aimant, un souvenir fidèle. </poem> ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 19:15 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/196 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> L’OMBRE DE LA CROIX Dieu ne veut qu'un seul pas qui vers lui nous ramène. Autrefois, entraînés par la folie humaine, Nous avons fui — pour quel mirage décevant ! — La Croix vers qui montaient nos prières d’enfant. Puis l’âge vient. Un jour d’angoisse trop amère, Nous voulons revenir au Dieu de notre mère ; Vers lui nous nous mettons en route avec effort. L’atteindrons-nous avant la nuit, avant la mort, La Croix, la sainte Cr... ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 19:14 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/186 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> UNE PREUVE Une preuve entre cent que la Sainte-Écriture Est un récit fidèle et fait d’après nature, C’est qu’ici les témoins s’accusent. Quel aveu Que celui des amis si chers du Fils de Dieu Confessant leur faiblesse et nous faisant connaître Qu’ils ont, dans le péril, abandonné leur maître ! Pierre dit : « Je fus lâche », et Thomas : « J’ai douté. » Donc, s’ils disent ailleurs : « Il est ressuscité... En tel lieu, n... ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 19:11 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/183 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> LE CLOU Ô Dieu des pauvres gens, Dieu né dans une étable, Rends le cœur du chrétien toujours plus charitable ! À ce disciple ayant du bien, qui te suivait. Tu l'as dit : « Que celui qui veut être parfait Vende tout, donne tout aux pauvres et me suive. » L’homme s’enfuit, vaincu par l’avarice juive. Hélas ! combien de nous lui ressemblent, mon Dieu ! On fait l’aumône, soit, mais si mal, mais si peu, Sans un élan du cœur, d’un... ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 19:08 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/182 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Aïeules dont les doigts ridés par la misère Usent obstinément les grains durs d’un rosaire, Jeunes femmes levant au ciel vos yeux songeurs, Gamins du catéchisme et fillettes des Sœurs, Vous qui priez ici Jésus, pendant les messes, Pour devenir un jour dignes de ses promesses. Soyez bénis ! C’est grâce à vous que j’ai dompté Mon vieux reste d’orgueil et d’incrédulité. Vos ancêtres et vous avez mis dans ces pierres Un don sur... ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 19:07 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/181 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Et reçu par les chants des clercs en lourde chape, Ils pensent dans leur cœur que l'àme qui s'échappe, Pure, de ce bas monde et vole aux cieux ouverts, Va recevoir le prix des maux qu’elle a soufferts. Cette foi simple habite en ces voûtes sacrées ; Elles en sont, depuis six siècles, pénétrées. Dans cette vieille nef, tant de chrétiens pieux, Et leurs pères, et les aïeux de leurs aïeux, Perdus dans un passé dont plus rien ne surnag... ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 19:05 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/180 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Le reflet diapré qui tombe des verrières, Je crois que ces vieux murs, saturés de prières, Vont me verser la foi des simples paysans Qui parlent au bon Dieu, là, depuis six cents ans. Et dont aucun jamais n’a connu mon angoisse. Devant ce Saint-Martin, patron de la paroisse, À cheval et coupant du glaive son manteau, Des cœurs d’or et d’argent sont mis en ''ex-voto'', Et voici l’if de fer où brûle encore un cierge, Devant une rust... ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 19:02 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/179 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Quand j'étais sur, pendant ma prière latine, D'être écouté d’un Père et quand, après l’''Ave'', Je voyais — que de fois du moins l'ai-je rêvé ! — La bonne Sainte Vierge, en ses blancs et longs voiles, Incliner vers mon front sa couronne d’étoiles ! Vous connaissez, mon Dieu, ma bonne volonté. J*ai vaincu mon orgueil et mon impureté. Exaucez-moi, rendez ma prière meilleure, Et faites que mon cœur se fonde et que je pleure. J... ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 18:58 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/178 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Grandir le clocher gris, bien d’aplomb sur sa tour, Et l’azur apparaître en ses trèfles à jour. Il me montrait le ciel, la mystique patrie, Et, de loin, il semblait me dire : « Viens et prie », Le gothique clocher qu’obsèdent les corbeaux. J’ai suivi le sentier au milieu des tombeaux, Où les pavots épars jettent leur pourpre vive, Et, seul, dans la fraîcheur de la nef en ogive, M’étant agenouillé dans l’un des bancs de bois,... ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 18:55 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/176 (Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> <poem> EUCHARISTIE Ce pain de froment pur, ô chrétien, tu le crois, Est le corps de ton Dieu, Jésus mort sur la croix. II te Ta dit. Adore, à genoux, le Mystère. Mais si, parfois, t'effleure un doute involontaire Que repousse aussitôt ton cœur qui se défend, Souviens-toi d'une mère allaitant son enfant. Car ce lait qu'elle donne au nouveau-né qu’elle aime, C’est son sang, c’est sa chair, c’est sa substance même. La nature est... ») Balise : Non corrigée
  • 27 septembre 2024 à 18:54 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/175 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> AUMÔNE ROYALE Quand saint Louis trouvait un pauvre en son chemin, Il lui faisait l'aumône et lui baisait la main ; Car il considérait la pauvreté chrétienne Comme une majesté plus haute que la sienne. À ses yeux, la misère était une faveur Divine qui nous fait ressembler au Sauveur. Et, songeant à Jésus exposé chez Pilate, Au Fils de Dieu drapé d’un lambeau d’écarlate, Les épines au front, le roseau dans les doigts, Le pieux so... ») Balise : Non corrigée
  • 26 septembre 2024 à 14:00 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Mérat - Les Chimères, 1866.djvu/154 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> LE FOYER III. En hiver, nous causions sous la lampe. On veillait. La grande soeur, sereine et douce, travaillait ; Encore enfant, déjà suave jeune fille. Nos doigts roses et fins faisaient courir l'aiguille Que suivaient ses grands yeux. C'était plaisir de voir Cette image candide et sainte du devoir. Sa soeur avait dix ans et lisait, la savante, Les contes qui sont vrais, l'histoire qu'on invente Quelquefois, curieuse et le front d...) Balises : Non corrigée Modification par mobile Modification par le web mobile
  • 21 septembre 2024 à 18:04 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/214 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> AU JARDIN DU LUXEMBOURG Cher et vieux Luxembourg ! — C’est vers cinquante-six Que, dans les environs du palais Médicis, S’étaient logés mes bons parents, dans la pensée Que je serais ainsi tout proche du lycée Dont alors j’étais l’un des mauvais écoliers ; Et le jardin royal, aux massifs réguliers, Aux vastes boulingrins de verdure qu’embrasse Le gracieux contour de sa double terrasse., M’accueillit bien souvent, externe par... ») Balise : Non corrigée
  • 21 septembre 2024 à 18:02 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/218 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Quelque déception que me réserve encore La volupté qui blase ou la gloire qui ment, Que, devant une amante au bras de son amant Ou devant un rêveur qui va lisant un livre, Le souvenir encor me rendra le cœur ivre De ce qui l’enivrait en son doux floréal, Et que je bénirai l’amour et l’idéal ! </poem> ») Balise : Non corrigée
  • 21 septembre 2024 à 18:01 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/217 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Et lorsque la douleur m’apprit la poésie, — Car on ne sent tout son bonheur qu’en le perdant, - C’est toi qui fus encor mon premier confident ! Triste enfant de Paris, né loin de la nature, C’est grâce à ton charmant asile de verdure Que je l’ai devinée et que je la connais ; C’est par toi que, jeune homme à la chasse aux sonnets, Qui passais sans les voir près des joueurs de paume. J’ai su que l’oiseau chante et que la fleu... ») Balise : Non corrigée
  • 21 septembre 2024 à 17:59 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/216 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> La petite blondine au regard fin et tendre Par qui mon cœur naïf voulait se croire aimé ? Quand je passe par là, dans certains jours de mai Où l’haleine des fleurs semble plus odorante, Je revis les bons jours de notre idylle errante. J’habitais en famille, elle avait un jaloux, Et souvent pour abris, vieux parc, ces rendez-vous, Où l’amour me brûlait de ses ardeurs premières, N’eurent que tes lilas et tes roses trémières. Je n... ») Balise : Non corrigée
  • 21 septembre 2024 à 17:58 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/215 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Qui ne supportent pas la routine ordinaire Et font sécher des fleurs dans leur dictionnaire ; Et, poète futur, quand les rayons derniers Du soleil s’éteignaient sous les noirs marronniers Et que je m’attardais, rêveur, au pied d’un arbre, Il me semblait parfois que les dames de marbre, Clotilde aux longs cheveux, Jeanne écoutant ses voix, Et la fière Stuart et la fine Valois, Me jetaient des regards et me faisaient des signes. Parfois....) Balise : Non corrigée
  • 7 septembre 2024 à 10:02 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/120 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> UNE AUMÔNE Fumant à ma fenêtre, en été, chaque soir, Je voyais cette femme, à l'angle d'un trottoir, S'offrir à tous, ainsi qu'une chose à l'enchère. Non loin de là s'ouvrait une porte cochère, Où l'on entendait geindre, en s'abritant dessous, Une fillette avec des bouquets de deux sous. Et celle qui traînait la soie et l'infamie Attendait que l'enfant se fût bien endormie, Et lui faisait alors l'aumône seulement. — Tu lui pardonne... ») Balises : Non corrigée Modification par mobile Modification par le web mobile
  • 4 août 2024 à 19:39 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/268 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Du pain et de l'amour ! Tout est là. Le pauvre homme N’a vraiment pas le droit de trop se plaindre, en somme, Si, du berceau d’osier au cercueil de sapin, Toute sa vie, il a de l’amour et du pain. Mes honnêtes parents n’eurent pas davantage ; Mais la bonté régnait dans leur cœur sans partage. Des sentiments profonds ils ont connu le prix, Et, si je sais aimer, c’est qu’ils me l’ont appris. Et tel riche, donnant de splendides étre... ») Balise : Non corrigée
  • 4 août 2024 à 19:36 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/267 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Je laissais choir enfin un monstrueux pâté. C’était affreux ! Pourtant, plein d’une angoisse énorme. Le lendemain, avec ce manuscrit informe, Quand je me présentais devant mes bons parents, Ils prenaient le papier, ouvraient les yeux tout grands, S’écriaient : « C’est superbe ! » et, sans dédains ni moues, Embrassaient tendrement leur fils sur les deux joues. Oui, ma page illisible, ils semblaient l’admi... ») Balise : Non corrigée
  • 4 août 2024 à 19:33 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/266 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Sur mon grand tabouret, pour être à la hauteur Du pupitre, j’avais un Boiste en deux volumes ; Devant moi, sur la table, un encrier, des plumes, Plus un bristol orné d’un beau feston doré Et fleuri d’un petit bouquet peinturluré. Devant ce grand travail, que j’étais mal à l'aise ! Fallait-il adopter la bâtarde ou l'anglaise ? Que faire ? Je mouillais ma plume avec effroi Je songeais au tableau du passage Jouffroy, Où monsieur Fava... ») Balise : Non corrigée
  • 4 août 2024 à 19:31 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/265 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> COMPLIMENT Tous ces jours-ci, mes chers lecteurs, je désirais, Tel un petit garçon qui, frisé tout exprès, Présente son rouleau noué d’un ruban rose, Vous offrir un joli compliment — vers ou prose — Pour l’an qui, cette nuit, naquit et commença. Mais, quand j’étais enfant — oh ! pas plus haut que ça ! — Dans ce genre déjà je n’ai pas fait merveille. Le texte, qu’à l’école on nous donnait, la veille, Et qu’il falla... ») Balise : Non corrigée
  • 3 août 2024 à 21:41 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/177 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> DANS UNE ÉGLISE DE VILLAGE Le fin clocher du bourg, sur la côte normande, De loin semble petit devant la mer si grande. Il sert pourtant, debout dans le ciel sombre ou clair, De signal aux marins en péril sur la mer. Mais, ce matin, le flot bat doucement la plage. Allons par là. L’église est au bout du village, Et son ombre, au couchant, s’étend jusqu’au blé mûr. J’ai suivi la ruelle où, séchant contre un mur, Un filet suspendu... ») Balise : Non corrigée
  • 3 août 2024 à 21:12 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/189 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Tout là-bas, boulevard Montparnasse ; y manger, En se sentant vieillir, un petit viager ; Par les soirs clairs de juin, s’en aller en savates Près de l’Observatoire, où sont les acrobates ; Avoir le Luxembourg pour Ultima Thule ; Et rester, cependant, dans ce coin reculé. Par un vieux goût malsain de la littérature. L’abonné d’un petit cabinet de lecture ! </poem> ») Balise : Non corrigée
  • 3 août 2024 à 21:10 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/188 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Ils sont là tous, en rang d’oignons, l’air bête et calme, Fixant sur vous des yeux par l’extase arrondis. — Si c’était comme ça, pourtant, le Paradis ? VII Avec un dur fracas de chaînes et de roues, Passe près du trottoir le fardier blanc de boues ; Et l’on ne frôle point sans de petits frissons Le chariot pesant, où, sur des paillassons, Cube énorme, frémit une pierre de taille. Six percherons aux pieds poilus, de haute t... ») Balise : Non corrigée
  • 3 août 2024 à 21:06 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/187 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> V Vraiment, je lui trouvais l’air honnête et gentil, À ce petit corset, simple et svelte, en coutil ; Mais, hier, je ne l’ai plus revu dans la boutique. Une enfant du faubourg, jolie et chlorotique, L’a sans doute lacé sur ses mignons appas. Et c’est attendrissant de penser, n'est-ce pas ? Qu’il enferme à présent le sein pur d’une vierge, Ouvrière en journée ou fille de concierge, Et que, songeant tout bas : « L’amour ? Qu’es... ») Balise : Non corrigée
  • 3 août 2024 à 21:02 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/186 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Saute dans l’omnibus, s’assied près du compteur, Et commence à causer avec le conducteur. L'ancien « sous-off » étant galant de sa nature. Sait plaire ; car longtemps la libre créature L’écoute parler bas avec des yeux songeurs ; Et l’homme, s’adressant aux autres voyageurs. Quand elle est descendue au bureau de Montrouge, Dit, en clignant de l’œil : — « Belle fille, la rouge ! » IV BLANCHE Les ifs au vent d’hiver on... ») Balise : Non corrigée
  • 3 août 2024 à 20:58 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/185 (Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> <poem> II BLONDE D’un blond pâle, au profil de sainte de vitrail, Assise à sa fenêtre et toujours au travail, Et sans lever le nez, même au bruit des voitures, Elle se perd les yeux sur des miniatures. C’est au rez-de-chaussée, et les yeux du passant Devinent, rien qu’à voir le mobilier décent Mais très pauvre, et le feu de coke dans la grille, Combien la jeune artiste — elle restera fille — A de mal à gagner le pain de... ») Balise : Non corrigée
  • 3 août 2024 à 20:55 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/184 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> DIZAINS I BRUNE Sur le terrain de foire, au grand soleil brûlé, Le cirque des chevaux de bois s’est ébranlé Et l’orgue attaque l’air connu : « Tant mieux pour elle ! » Mais la brune grisette a fermé son ombrelle, Et, bien en selle, avec un petit air vainqueur, Elle va se payer deux sous de mal de cœur. Elle rit, car déjà le mouvement rapide Colle ses frisons noirs sur son front intrépide. Et le vent fait flotter sa jupe et lais... ») Balise : Non corrigée
  • 23 juillet 2024 à 15:39 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Nadaud - Chansons, 1870.djvu/18 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Point de pianos discords, Et point de thé britannique ; Mais un compliment bien dit, Une épigramme légère, De la grâce et de l’esprit — Vieille histoire, ma grand’mère. Alors nous avions, enfants, Des écrivains de génie ; Ils étaient beaucoup plus grands, Avec plus de modestie ; Ils avaient moins de procès ; Ils apprenaient la grammaire ; Ils écrivaient en français — Vieille histoire, ma grand’mère. Mes enfants, si vo... ») Balise : Non corrigée
  • 23 juillet 2024 à 15:37 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Nadaud - Chansons, 1870.djvu/17 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> D’abord, ils jettent à tout vent Leur esprit et leur patrimoine : Puis en termes doux et léchés, Au lecteur ils font des avances ; On commence par les péchés, On finit par les indulgences. VIEILLE HISTOIRE. Mes enfants, au coin du feu Quand chacun de nous se presse, Laissez-moi penser un peu Au vieux temps de ma jeunesse ; Laissez-moi rêver toujours Au souvenir séculaire Qui berça mes premiers jours.... — Vieille histoire, ma....) Balise : Non corrigée
  • 18 juin 2024 à 23:15 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Poésies de Malherbe.djvu/103 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Mais quoi ! puisqu’à ma honte il faut que je l’avoue, Elle n’a rien de sa vertu. L’ame de cette ingrate est une ame de cire, Matière à toute forme, incapable d’élire, Changeant de passion aussitôt que d’objet ; Et de la vouloir vaincre avecque des services, Après qu’on a tout fait, on trouve que ses vices Sont de l'essence du sujet. Souvent de tes conseils la prudence fidèle M’avoit sollicité de me séparer d’elle, E... ») Balise : Non corrigée
  • 18 juin 2024 à 23:10 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Poésies de Malherbe.djvu/102 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Et deux fois le printemps l’a repeinte de fleurs, Sans que d’aucun discours sa douleur se console, Et que ni la raison ni le temps qui s’envole Puisse faire tarir ses pleurs. Le silence des nuits, l’horreur des cimetières, De son contentement sont les seules matières ; Tout ce qui plaît déplaît à son triste penser ; Et si tous ses appas sont encore en sa face, C’est que l’Amour y loge, et que rien qu’elle fasse N’est capa... ») Balise : Non corrigée
  • 18 juin 2024 à 23:06 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Poésies de Malherbe.djvu/101 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Mais, ô loi rigoureuse à la race des hommes ! C’est un point arrête, que tout ce que nous sommes, Issus de pères rois et de pères bergers, La Parque également sous la tombe nous serre ; Et les mieux établis aux repos de la terre N’y sont qu’hôtes et passagers. Tout ce que la grandeur a de vains équipages, D’habillemeuts de pourpre et de suite de pages, Quand le terme est échu, n’alloue point nos jours ; Il faut aller tout nus où... ») Balise : Non corrigée
  • 2 juin 2024 à 19:21 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Bever-Léautaud - Poètes d’aujourd’hui, I, 1918.djvu/89 (Page non corrigée : Page créée avec «  <poem> Ils l’ont portée en terre, en terre au point du jour. Ils l’ont couchée toute seule, toute seule en ses atours. Ils l’ont couchée toute seule, toute seule en son cercueil. Ils sont rev’nus gaîment, gaîment avec le jour. Ils ont chanté gaîment, gaîment : « Chacun son tour. « Cette fille, elle est morte, est morte dans ses amours. » Ils sont allés aux champs, aux champs comme tous les jours... </poem> (''Ballades françaises''.)... ») Balise : Non corrigée
  • 2 juin 2024 à 19:16 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Bever-Léautaud - Poètes d’aujourd’hui, I, 1918.djvu/88 (Page non corrigée : Page créée avec «  DES « BALLADES DES CLOCHES » Ah ! que de joie, la flûte et la musette troublent nos cœurs de leurs accords charmants, voici venir les gars et les fillettes, et tous les vieux au son des instruments. Gai, gai, marions-nous, les rubans et les cornettes, gai, gai, marions-nous, et ce joli couple, itou ! Que de plaisirs quand, dans l’église en fête, cloche et clochettes les appellent tertous, — trois cents clochettes pour les yeux de la belle,...) Balise : Non corrigée
  • 10 février 2024 à 11:00 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Franc-Nohain - Les Inattentions et Sollicitudes, 1894.djvu/64 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> À quoi n'est-il pas destiné Le COALTAR SAPONINÉ ? Insectes improbes, Fuyez, Microbes : Déjà votre glas est sonné. Gloire Et victoire, Au COALTAR SAPONINÉ! INCANTATION Dans les cheveux et la barbe du Sàr, Dedans la bouche, entre les dents du Sàr, Sur les habits, parmi les draps du Sàr, Versons à flot ce COALTAR. </poem> ») Balises : Non corrigée Modification par mobile Modification par le web mobile
  • 10 février 2024 à 10:57 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Franc-Nohain - Les Inattentions et Sollicitudes, 1894.djvu/62 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> ALLEGRO DES COALTARS I Le COALTAR SAPONINÉ LEBEUF Ferait croître le poil sur des coquilles d'œuf : Ah ! c'est joliment ruminé Le COALTAR SAPONINÉ ! Recule, recule, Ô pellicule ! L'ange exterminateur est né : Gloire Et victoire, Au COALTAR SAPONINÉ ! </poem> ») Balises : Non corrigée Modification par mobile Modification par le web mobile
  • 10 février 2024 à 10:52 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Franc-Nohain - Les Inattentions et Sollicitudes, 1894.djvu/63 (Page non corrigée : Page créée avec «  <poem> II Le COALTAR SAPONINÉ LEBŒUF Remet en peu d'instants les râteliers à neuf : Que le dentiste est étonné Du COALTAR SAPONINÉ ! Ne sois plus farouche, Haleine, aux mouches : Voici l'élixir embaumé : Gloire Et victoire, Au COALTAR SAPONINÉ ! III Le COALTAR SAPONINÉ LEBŒUF Est d'un emploi fréquent dans le quartier Marbeuf : </poem> ») Balises : Non corrigée Modification par mobile Modification par le web mobile
  • 7 janvier 2024 à 18:01 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Roinard - Nos plaies, 1886.djvu/21 (Page non corrigée : Page créée avec «  PREMIÈRE PARTIE L'ÉGOÏSME ») Balises : Non corrigée Modification par mobile Modification par le web mobile
  • 7 janvier 2024 à 17:59 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Roinard - Nos plaies, 1886.djvu/233 (Page non corrigée : Page créée avec «  AMBITION à GIRAUDET. <poem> Heureux ces vaillants inconnus ! Géants courbés, rustres superbes, La tête au vent et les bras nus Qui bottèlent gaîment leurs gerbes ! Heureux, ces filles, ces garçons Qui sous le soleil, sains et calmes, Glanent l'épi d'or des moissons Sans jamais rêver d'autres palmes ! L'aïeul penche son front lassé Sur sa poitrine haletante ; Un beau rêve rose a passé Dans sa cervelle radotante ; Son vieux cœur surs... ») Balises : Non corrigée Modification par mobile Modification par le web mobile
  • 4 décembre 2023 à 22:46 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Apollinaire - Les Veillées du Lapin agile.djvu/241 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> LA VIE EST PLUS VAINE... La vie est plus vaine une image Que l'ombre sur le mur. Pourtant, l’hiéroglyphe obscur Qu'y trace ton passage M’enchante et ton rire pareil Au vif éclat des armes. Et jusqu'à ces menteuses larmes Qui miraient le soleil. Mourir, non plus, n'est ombre vaine. La nuit, quand tu as peur, N’écoute pas battre ton cœur : C’est une étrange peine. </poem> P.-J. TOULET. ») Balise : Non corrigée
  • 4 décembre 2023 à 22:41 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Apollinaire - Les Veillées du Lapin agile.djvu/110 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> MOLLE RIVE... Molle rive dont le dessin Est d’un bras qui se plie. Colline, de brume embellie Comme se voile un sein ; Filaos au plaintif ramage : Que je meure, et demain Vous ne serez plus, si ma main N’a fixé votre image. </poem> P.-J. TOLLET. ») Balise : Non corrigée
  • 4 décembre 2023 à 22:37 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Apollinaire - Les Veillées du Lapin agile.djvu/59 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> CET HUISSIER... Cet huissier qui jetait, l'été, Tout autre odeur que l'ambre, Avait le nom d’un pot de chambre. Comme l'humidité. L’autre, et noir, que sous les lanternes On vit à ses leçons Avarier les beaux garçons. Est charognard aux Ternes. Celui-là, qui fut président De ses jolis compères, A l'air de suer ses affaires Par son fanon pendant. Mais l’autre (ô père de famille. Po... ») Balise : Non corrigée
  • 4 décembre 2023 à 22:29 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Apollinaire - Les Veillées du Lapin agile.djvu/212 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> SOIR DE NEIGE Circé, de ces fuyants rivages Qu'il me semblait revoir, Où je me rappelle d’avoir Bu tes subtils breuvages — Les tambours du Morne Maudit Battant sous les étoiles — Et quand se pendaient à nos toiles Les spectres de midi... ... Dormez aujourd’hui sous la neige. Murs où tournait la nuit, Méandres de mon jeune ennui. Collège, noir manège. NOCTURNE Ô mer, toi que je sens frémir... ») Balise : Non corrigée
  • 4 décembre 2023 à 22:25 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Apollinaire - Les Veillées du Lapin agile.djvu/213 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Un vent lourd frappe la falaise : Quoi ! si le chant moqueur D’une sirène est dans mon cœur... Ô cœur, divin malaise ! Quoi ! plus de larmes, ni d’avoir D’autre cœur qui vous plaigne ! ... Tout bas, comme d'un flanc qui saigne. Il s’est mis à pleuvoir. DOHLIA ET FO Ces arondes de jade, et l’or qui les emmanche Dans mes cheveux, qu’un soir ton amour délia. Je te les donne en souvenir : quand il y a Du brouillard, il les faut... ») Balise : Non corrigée
  • 4 décembre 2023 à 22:20 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Apollinaire - Les Veillées du Lapin agile.djvu/84 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> LE VOILIER Au temps d'aimer où l'on peut voir Se lier la glycine aux branches Du cyprès noir. Ton jupon, balancé des hanches Me fait rêver aux ailes blanches Du voilier. Qui s'en va, d'un port de la Grèce, Au pays des gérofliers Et des négresses. LES ALISCAMS Dans Arle, où sont les Aliscams, Quand l’ombre est rouge sous les roses Et clair le temps </poem> ») Balise : Non corrigée
  • 4 décembre 2023 à 22:15 Lydio discussion contributions a créé la page Page:Apollinaire - Les Veillées du Lapin agile.djvu/85 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> Prends garde à la douceur des choses, Lorsque s'entend battre sans cause Ton cœur trop lourd. Et pleurer plus bas les palombes : Ne t'arrête à parler d’amour Au bord des tombes ! LES TROIS DAMES D’ALBI Auguste, Fais, Esclarmonde, Les plus rares que l’on pût voir Beautés du monde : Auguste, lasse encor d’avoir Couru la lune, l’autre soir. Aux quatrerues. Écoute : au bruit noir des chansons, Satan flagell... ») Balise : Non corrigée
  • 12 mars 2022 à 10:41 Lydio discussion contributions a créé la page Page:La Pléiade, 1921.djvu/147 (Page non corrigée : Page créée avec « <poem> « Homme, descends sur ta terrasse, Vois : le jour qui s'évanouit Ôte ses bagues, et les passe Aux doigts scintillants de la nuit. La tendre lune vient de naître : Le soleil, cher à ta raison, Dorant les yeux de ta fenêtre, Leur dit adieu sur l'horizon. Sur le sable, chienne câline, Avec un bruit timide et doux, La mer, au bas de la colline, Vient se coucher à tes genoux.... » </poem> ») Balises : Non corrigée Modification par mobile Modification par le web mobile
(les plus récentes | les plus anciennes) Voir (50 plus récentes | ) (20 | 50 | 100 | 250 | 500)