Livre:Rey - L'énergétique et le mécanisme au point de vue des conditions de la connaissance, 1908.djvu

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TitreL'énergétique et le mécanisme au point de vue des conditions de la connaissance
AuteurAbel Rey Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionF. Alcan
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1908
BibliothèqueInternet Archive
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TABLE DES MATIÈRES


CHAPITRE PREMIER
Introduction, le problème, la méthode.
1. La divergence qui peut être notée parmi les physiciens contemporains au sujet de la forme de la physique théorique. — 2. Le mécanisme. — 3. L’énergétique. — 4. La question posée par ces deux formes générales de la physique théorique est à la fois d’ordre scientifique. — 5. Et d’ordre psychologique. Ce point de vue seul sera considéré, le point de vue scientifique ne relevant que de la critique des savants et restant en ce moment en pleine discussion 
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CHAPITRE II
Une première loi générale de la connaissance, l’inconnu déterminé en fonction du connu.

{{table|titre= 1. L’Énergétique rompt avec le développement traditionnel de la physique moderne. Cette rupture s’impose-t-elle ? — 2. Difficultés psychologiques entraînées par cette rupture. Légitimité du point de vue psychologique pour juger de la forme générale de la systématisation physique. Ce point de vue psychologique est inséparable du point de vue logique. — 3. La loi la plus importante relative à l’acquisition des connaissances : La connaissance de l’inconnu à l’aide du connu. Le mécanisme répond beaucoup grande abstraction possible est-elle souhaitable, en physique ? Ses dangers. — 4. On ne pense jamais sans image, sans intuition|page= 95}}

CHAPITRE VI
Limites que la psychologie de la connaissance semble assigner à l’énergétisme.
1. Le concept d’après la psychologie contemporaine est un substitut de l’expérience. — 2. La théorie physique, énergétique, simple assemblage de concepts, n’est qu’un résumé de l’expérience. — 3. Aussi la physique théorique énergétique est-elle séparable de la physique expérimentale. Elle n’est qu’un mode d’exposition de l’acquis. — 4. Ce rôle est bien du reste l’un des rôles essentiels de la théorie physique. — 5. Mais il n’est pas le seul. La théorie doit servir encore à la découverte. — 6. Supériorité du mécanisme à ce point de vue. — 7. Conclusion 
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CHAPITRE VII
La déduction et l’induction du point de vue méthodologique.
1. La déduction considérée comme essentiellement distincte de l’induction. — 2. Pour élucider le problème de la déduction scientifique, recours à l’analyse de la déduction mathématique par la philosophie moderne. — 3. La déduction scientifique (par opposition à la déduction formelle), procède par synthèses successives : Historique : a) Descartes ; b) Kant. — 4. Comment on peut concevoir aujourd’hui le procédé psychologique de la synthèse déductive (fusion du principe d’identité et de l’intuition sensible). — 5. L’intuition est donc nécessaire à la déduction scientifique ; celle-ci ne peut être formelle ni arbitraire ; un support intuitif, a dans la théorie, une très haute importance 
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CHAPITRE VIII
Le règne de la quantité.
1. D’après l’Énergétique, les représentations mécanistes altéreraient considérablement l’expérience, qu’elles veulent traduire. — 2. La méthode des résidus. — 3. L’éloignement de la représentation mécaniste et des éléments représentés est la cause psychologique des progrès de la physique. — 4. Le sens de cet éloignement. — 5. Il est assigné par une loi psychologique générale : l’adaptation nécessaire. — 6. Comment cette adaptation entraîne le mécanisme. — 7. Et une vue quantitative de la nature 
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