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Le Livre des sonnets
Charles Asselineau
Index
des Sonnets
Le Livre des sonnets
,
Alphonse Lemerre
,
1893
(
p.
Index des sonnets
-
228
).
collection
Index
des Sonnets
Charles Asselineau
Alphonse Lemerre
1893
Paris
V
Index
des Sonnets
Asselineau - Le Livre des sonnets.djvu
Asselineau - Le Livre des sonnets.djvu/4
Index des sonnets-228
INDEX DES SONNETS
Accablé de Pareſſe, & de Melancholie
41
À cette heure où les cœurs, d’amour raſſaſiés
98
Afin que ton honneur coule parmy la plaine
10
Ah ! s’il eſt ici-bas un aſpect douloureux
72
Ah ! toi, l’indifférent, tu ſouffres à ton tour
137
Ainsi Pasiphaé
,
la fille du Soleil
100
Amant abandonné qu’une maîtreſſe oublie
126
À peine ont-ils vingt ans, qu’ils ont déjà fermé
154
Après l’apothéoſe, après les gémonies
91
Apres l’œil de Melite il n’eſt rien d’admirable
52
Aſſis ſur vn fagot, vne pipe à la main
39
Aux larmes, le Vayer, laiſſe les ieux ouverts
57
Avant le temps les temples fleuriront
4
Baiſe m’encor, rebaiſe moy & baiſe
23
Béatrix Donato fut le doux nom de celle
76
Bien que ceſte maiſon ne vante ſon porphire
11
Bizarre comme un ſinge, & pareille aux Houris
136
Cachez vos pleurs, madame, & votre épaule
85
Car les bois ont auſſi leurs jours d’ennui hautain
121
Ce iourd’huy du Soleil la chaleur alteree
25
Celui que nous plaignons, & qu’un ſort glorieux
64
Ce pendant que Magny ſuit ſon grand Auanſon
14
Cependant qu’en la Croix plein d’amour infinie
36
Ceſſe tes pleurs, mon liure ; il n’eſt pas ordonné
6
Ceſte fontaine eſt froide, & ſon eau doux-coulante
29
C’eſt une chambre où tout languit & s’effémine
113
C’eſt un matin de mars qu’elle m’eſt revenue
138
Cette relique exhale un parfum d’élégie
141
Comme on voit ſur la branche au mois de May la roſe
7
Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal
132
Coucher trois dans vn drap, ſans feu ny ſans chandelle
40
Dans le ciel diaphane où l’oiſeau s’aſſoupit
110
Dans le pays on les appelait
Les Songeants
144
Dans les verres épais du cabaret brutal
120
Dans un fauteuil doré, Phèdre tremblante & blême
62
Depuis le triſte poinct de ma fraiſle naiſſance
30
Des plus beaux yeux, & du plus cleir visage
3
Des portes du matin l’Amante de Cephale
48
Deux cortèges ſe ſont rencontrés à l’égliſe
89
Deux Sonnets partagent la Ville
51
Donc, en ce même inſtant, flottait à mon infu
156
Du haut du ciel profond, vers le monde agité
102
D’un doigt diſtrait frôlant la ſonore bîva
134
En vain, pauure Tircis, tu te romps le cerueau
44
Fantoches à la mode, automates mondains
111
François, arreſte-toy, ne paſſe la campagne
32
Frêle enfant, doux fantôme au contour délié
153
Grand Dieu
,
tes jugemens ſont remplis d’équité
58
Heureux qui, comme Vlyſſe, a fait un beau voyage
15
Homme, libre penſeur ! te crois-tu ſeul penſant
75
Icare eſt cheut icy le ieune audacieux
27
Il avait ſur l’échine une croix pour blaſon !
109
Il eſt temps, ma belle ame, il eſt temps qu’on finiſſe
43
Il faut finir mes jours en l’amour d’Vranie
49
Il ne faut s’esbahir, diſoient ces bons vieillars
9
Il n’eſt point tant de barques à Veniſe
1
Ils fuient, ivres de meurtre & de rébellion
129
J’ai perdu ma force & ma vie
77
J’ai voulu de l’Amour ſéparer le Déſir
155
Je fais ſouvent ce rêve étrange & pénétrant
140
Je n’ai gardé de toi, ma Mère, douce morte
147
« Je n’entrerai pas là, » dit la folle en riant
86
J’étais un arbre en fleur où chantait ma Jeuneſſe
69
Je te donne ces vers afin que ſi mon nom
96
Je vis, ie meurs : ie me brûle & me noye
20
Je vous enuoye vn bouquet que ma main
12
Job de mille tourments atteint
50
Juge notre querelle, ô Toi qui nous entends
151
La caravane humaine au ſahara du monde
82
La Grande Ourſe, archipel de l’Océan ſans bords
116
L’air fraîchit. Le ſoleil plonge au ciel radieux
130
L’air s’embrume ; les joncs, roux comme de vieux os
158
La jeune Eudoxe eſt une bonne enfant
63
La maiſon qu’elle habite aux portes d’un faubourg
107
La mort & la beauté ſont deux choſes profondes
67
La Reine Nicosis
,
portant des pierreries
101
La Satiété dort au fond de vos grands yeux
83
La vie avance & fuit ſans ralentir le pas
66
Le four rougit ; la plaque eſt prête. Prends ta lampe
133
Le péché me ſurmonte, & ma peine eſt ſi grande
37
Homme, libre penſeur ! te crois-tu ſeul penſant
75
Le puits profond était poli comme un miroir
84
Les cloches qui tintaient ſous l’azur clair du ciel
146
Le ſilence regnoit ſur la terre & ſur l’onde
47
Le ſoleil ſous la mer, myſtérieuſe aurore
135
Les vieillards, quand près d’eux, ſemaine par ſemaine
106
Lettres, le ſeul repos de mon ame agitée
28
Le vent d’automne, aux bruits lointains des mers pareil
93
Le vert colibri, le roi des collines
92
L’hirondelle eſt partie & la biſe eſt venue
103
L’immenſe ennui, ce fils bâtard de la douleur
125
Lors qu’Adam vit cette jeune beauté
46
Lors que pour vous baiſer ie m’approche de vous
19
Lorſque tout douloureux regret fut mort en elle
124
Maître Laurent Coſter, cœur plein de poéſie
142
Malgré les larmes de ta mère
122
Marie, leuez-vous, ma ieune pareſſeuſe
5
Me ſouuenant de tes grâces divines
2
Mon âme a ſon ſecret, ma vie a ſon myſtère
79
Mon amour, tu le plains qu’avec le coloris
108
Mon cœur eſt enterré ſous ce grand noiſetier
88
Mon cœur était jadis comme un palais romain
127
Morts qui dormez, couchés dans nos blancs cimetières
159
Ne ris point des ſonnets, ô Critique moqueur !
68
N’eſpère pas que tu l’apaiſes
114
Ne verſe point de pleurs ſur cette ſepulture
54
Nourrice d’Allegri, Parme, cité chrétienne
73
Nous aurons des lits pleins d’odeurs légères
97
Oh ! qu’il fût ſeulement une perſonne, un être !
149
Oh ! ſi i’eſtois en ce beau ſein rauie
22
Ô Maître bien aimé, voici que tu repoſes
152
On a vanté vos murs bâtis sur l’onde
65
Oui, c’eſt au vieux Gallus qu’appartient l’héritage
131
Parmi les doux tranſports d’une amitié fidele
61
Pars, puiſque tu le veux, va-t’en, laiſſe le deuil
139
Pétrarque, au doux ſonnet je fus longtemps rebelle
74
« Pour toujours ! » me dis-tu, le front ſur mon épaule
128
Pour veiner de ſon front la pâleur délicate
80
Quand ie voy quelque fois Madame emmy la rue
26
Quand la fleur du ſoleil, la roſe de Lahor
94
Quand le Sauveur ſouffroit pour tout le genre humain
56
Quand les Géants, tordus ſous la foudre qui gronde
90
Quand vous ſerez bien vieille, au ſoir à la chandelle
8
Qu’avec vne valeur à nulle autre ſeconde
34
Quel eſt donc ce chagrin auquel je m’intéreſſe ?
78
Quel temple pour ſon fils elle a rêvé neuf mois !
104
Que mon Fils ait perdu ſa deſpoüille mortelle
35
Quenoille mon ſouci, ie vous promets & iure
24
Que ſon viſage eſt triſte & ſon front amaigri
71
Que vient-elle me dire, aux plus tendres inſtants
70
Que vos ſoins, grande
Reine
,
enfantent de miracles !
53
Qui vid iamais au monde vn miracle pareil ?
45
Sève, qui peins l’objet dont mon cœur ſuit la loy
60
Si, comme je l’eſpère & comme tu le dis
150
Si j’avais un arpent de ſol, mont, val ou plaine
87
S’il eſt vrai que ce ſiècle ait tué tous les Dieux
145
S’il n’était rien de bleu que le ciel & la mer
118
Si noſtre vie eſt moins qu’vne iournée
13
Sire, Thulene eſt mort ; i’ay veu ſa ſepulture
31
Sire, voſtre Citron, qui couchoit autrefois
33
Sois ſage, ô ma Douleur, & tiens-toi plus tranquille
95
Songe heureux & diuin, trompeur de ma triſteſſe
18
Sous ce marbre repoſe un monarque ſans vice
55
Souvent, — & j’en frémis, — quand ſur ta lèvre infâme
115
Sur la colline
99
Sur l’étang bleu que vient rider le vent des ſoirs
105
Tant que mes yeus pourront larmes eſpandre
21
Ton orgueil peut durer au plus deux ou trois ans
38
Tous, l’amant qui dans un baiſer verſe fon âme
143
Tout ce qui doit finir eſt court, — a dit un ſage
148
Toutes, portant l’amphore, une main ſur la hanche
117
Toy qui de Rome émerueillé contemples
17
Un amas confus de maiſons
59
Un crucifix de fer tend ſes bras ſur le ſeuil
157
Une habitude longue & douce lui faiſait
112
Une minute avant l’ondée
160
Verſailles, tu n’es plus qu’un ſpectre de cité
81
Viens ! ne marche pas ſeul dans un jaloux ſentier
119
Voicy le Carneual, menons chaſcun la ſienne
16
Voicy les ſeuls coſtaux, voicy les ſeuls valons
42
Vous dont les regards purs, éclatants de lumière
123