Page:Jannet - Le capital, la spéculation et la finance au XIXe siècle, 1892.djvu/625

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CHAPITRE VII
LES SPÉCULATIONS COMMERCIALES
I. Comme quoi la spéculation est l’âme du commerce : sa distinction d’avec le jeu, l’agiotage et l’accaparement. — II. De l’importance des approvisionnements dans l’ordre économique moderne et de la baisse du taux des profits commerciaux. — III. Des opérations du commerce : les ventes en disponible. — IV. Les magasins généraux et l’usage des warrants. — V. Des opérations à terme et de leurs avantages pour le commerce et l’industrie. — VI. De l’utilité spéciale des opérations à la baisse. — VII. Origine et développement des marchés à terme. — VIII. L’intervention des corporations commerciales dans la fixation des conditions des marchés à terme et dans la détermination des types marchands. — IX. Comment des marchés à terme parfaitement sérieux peuvent se régler seulement par le paiement de différences. — X. Des modalités diverses dont sont susceptibles les marchés à terme : primes, options, facultés. — XI. Des arbitrages commerciaux. — XII. De l’usage des ventes à terme comme assurances. — XIII. Une institution nouvelle : les caisses de liquidation des opérations à terme. — XIV. Des moyens pratiques d’assurer la sincérité des cours. — XV. Du jeu ou des marchés fictifs, impossibilité de leur répression. — XVI. De l’agiotage. 
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CHAPITRE VIII
LES ACCAPAREMENTS COMMERCIAUX ET LES SYNDICATS INDUSTRIELS
I. Ce qui constitue l’accaparement : les préjugés populaires et les erreurs de l’ancienne législation. — II. Les accaparements anciens et modernes. — III. Intervention de la Finance cosmopolite dans ces opérations. — IV. Un corner qui a réussi : le Consortium de Turin sur les soies. — V. Les coalitions de commerçants et d’intermédiaires. — VI. Les syndicats industriels pour régler la production en Europe. — VII. Les consolidations de chemins de fer aux États-Unis. — VIII. Les Trusts américains. — IX. Causes spéciales aux États-Unis qui rendent plus dangereuses les combinaisons de capitaux. — X. Pourquoi les accaparements commerciaux et les monopoles industriels ne s’établissent pas en Angleterre d’une manière permanente. — XI. Des syndicats internationaux pour régler la production sont-ils possibles ?— XII. La Société des métaux et le syndicat des cuivres. — XIII. Comme quoi l’histoire se répète. — XIV. Le Socialisme et les grandes concentrations industrielles contemporaines. 
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CHAPITRE IX
LA BOURSE ET SON RÔLE DANS L’ÉCONOMIE DES SOCIÉTÉS MODERNES
I. La Bourse et les valeurs mobilières. — II. Importance de ces valeurs dans les fortunes contemporaines. — III. Les capitalistes et les marchands de titres. — IV. Les fonds internationaux et les arbitrages de Bourse. — V. La concentration des marchés financiers et l’organisation corporative des bourses. — VI. La Bourse de Paris : le Parquet des agents de change et la Coulisse. — VII. Le Stock Exchange à Londres et à New-York. — VIII. Les bourses allemandes. — IX. Les opérations de bourse : le comptant et le terme. — X. Les deux instruments de la spéculation :1° les reports ; — XI : 2° les marchés à prime. — XII. Les spéculateurs d’aventure ou les innocents à la Bourse. — XIII. Le jeu et l’agiotage : la lutte des lois contre les mœurs. — XIV. La psychologie de la Bourse : haussiers et baissiers. — XV. Comment le marché est mené par les rois de la Finance. — XVI. Les agences véreuses de spéculation. — XVII. Influence des crises de Bourse sur l’état économique d’un pays. — XVIII. La bourse et l’opinion. — XIX. Des impôts sur les transactions de Bourse comme moyen d’enrayer l’agiotage. 
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