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TABLE ET SOMMAIRES DES LETTRES
Pages
93. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 10 août 1771 
 204
  
Il lui envoie un paquet par le chevalier d’Arget. — Il a reçu les Volumes de 1768 et 1769.
 
94. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 12 août 1771 
 205
  
Éloge de l’abbé Bossut. — Mauvais caractère de M. de Castillon, avec qui il a toujours évité de se lier, et dont le sort est assez heureux ; mais les prétentions dans tous les genres sont exactement en raison inverse du mérite. — Il lui demande son avis sur les Mémoires qu’il a publiés dans les Volumes de 1768 et 1769. — Où est le marquis Caraccioli ? — Expédition des paquets. — Changements apportés dans la composition des Volumes de l’Académie. — Ses pièces couronnées sont-elles dans le nouveau Volume publié par l’Académie de Paris ?
 
95. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 17 août 1771 
 207
  
Envoi de Mémoires de lui et de Condorcet. — Il a été très satisfait de l’un des Mémoires de Lagrange, mais n’a pas été convaincu par sa théorie des ressorts. — Traduction française de l’Ouvrage du P. Boscovich, sur la figure de la Terre. — Diverses pièces ont été envoyées pour le prix de la Lune, et l’une d’elles, dit-on, est d’Euler, dont il attend la Dioptrique.
 
96. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 6 septembre 1771 
 209
  
Arrivée du marquis Caraccioli à Paris. — M. de Castillon. — Mort de M. Fontaine. — Détails sur lui. — Recherches sur les tautochrones. — Pièces pour le prix de la Lune.
 
97. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 30 septembre 1771 
 211
  
Il a été enchanté de ses profondes et savantes recherches sur le Calcul intégral. — Observations sur le théorème XLIX. — Il n’est pas content de la pièce qu’il a envoyée pour le prix de la Lune, et pense qu’elle sera mise au rebut. — Que vaut la pièce d’Euler ? — Observations sur la Dioptrique de celui-ci. — Il a été touché de la mort de M. Fontaine, dont il avait eu pourtant fort à se plaindre. — Lenteur des publications de la Société de Turin. — Éloge du marquis Caraccioli. — Il a écrit à M. Dutens « pour lui laver la tête » au sujet de sa Brochure anonyme, le Tocsin, où il avait attaqué les philosophes. — Réfutation d’une objection du P. Boscovich, dirigée contre d’Alembert.
 
98. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 8 novembre 1771 
 214
  
Le mauvais état de sa santé l’oblige à ne plus se livrer à ses travaux de Géométrie qu’à petites reprises fréquentes. — Mémoires envoyés pour le prix de la Lune. — Dioptrique, d’Euler. — Le Tocsin, de Dutens. — Le P. Boscovich est un drôle. — Difficultés proposées sur la solution du problème de l’élastique, par Lagrange. — Le marquis Caraccioli ; Mlle de l’Espinasse. — Doutes relatifs à la théorie donnée par M. de Borda dans son Mémoire sur l’écoulement des fluides.
 
99. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 16 décembre 1771 
 221
  
Envoi par le musicien Salomon des Nouveaux Commentaires de Gœttingue, où il lui signale un Mémoire ridicule de Kæstner, défendant Bernoulli contre d’Alembert. — Mémoires de l’Académie de Berlin. — Réponse aux objections de d’Alembert. — Le marquis Caraccioli. — Voyage que Lagrange voudrait faire à Paris. — Il examinera le Mémoire du chevalier de Borda, mais il le prie de ne pas le compromettre vis-à-vis de lui, car il n’aime pas les querelles.