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TABLE DES MATIÈRES
Pages
L’Empire est vaincu
Le pape s’allie aux Normands
Caractère conquérant et chicaneur des Normands
1000-1026. Leurs pèlerinages en Italie
1026. Premiers établissements des Normands en Italie
1037-1053. Les fils de Tancrède conquièrent la Pouille et les Deux-Siciles
Guillaume-le-Bâtard, duc de Normandie
Grossièreté et esprit d’opposition de l’Église anglo-saxonne
Édouard, roi d’Angleterre, ami des Normands, gouverné par le Saxon Godwin
Guillaume, soutenu par le pape, prétend régner après Édouard, à l’exclusion d’Harold, fils de Godwin
1066. Bataille d’Hastings ; conquête de l’Angleterre par les Normands
Guillaume traite d’abord les vaincus avec quelque douceur
Révolte des Saxons. Partage de toute l’Angleterre
Utilité de la conquête. Forte organisation sociale
Puissance de la royauté et de l’Église anglaise
Le saint-siège triomphe dans toute l’Europe par l’épée des Français
Chapitre III. La Croisade. (1095-1099.)
État de l’Islamisme en Asie
L’essence de l’Islamisme était l’unité
La dualité y rentre. Alides. Ismaïlites
Doctrine mystique des Ismaïlites, ou Assassins. Puissance d’Hassan, 1090
Faiblesse des Califats
Jeunesse et vigueur du Christianisme
Pèlerinages armés ; commencement des croisades
Les Grecs appellent les princes de l’Occident
1095. Le pape français Urbain II prêche la croisade à Clermont
Grandeur du mouvement populaire
Les chefs. Godefroi de Bouillon, Hugues de Vermandois, Raymond de Toulouse, etc.
Les Provençaux et les Normands. Bohémond
Godefroi de Bouillon
1096. Départ des chefs. Arrivée à Constantinople
Haine mutuelle des croisés et des Grecs
Alexis Comnène reçoit l’hommage des croisés
Les croisés passent en Asie Mineure. Prise de Nicée