Le mécanisme du toucher

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Le mécanisme du toucher
L’étude du piano par l’analyse expérimentale de la sensibilité tactile
A. Colin.
TABLE DES MATIÈRES


I
 Les papilles et les lignes papillaires : les empreintes du toucher. — La disposition des expériences. — L’influence exercée par l’agencement des contacts sur la sonorité ; la crispation des doigts ; la souplesse des mouvements ; Les rapports des lignes papillaires dans la préhension. — Les diversifications de la sonorité sur les différentes régions des pulpes. 
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II
 Les rapports de la sensibilité et de l’étendue des mouvements ; les expériences de l’anneau. — Les rapports des lignes papillaires et les représentations visuelles. — Les différences de sensibilité des deux mains. — Les dimensions attribuées à nos membres. — Les lois de la différenciation des contacts et les lois de la perspectives. — La base de notre première éducation artistique ; le sentiment, c’est un mécanisme de rouages perfectionnés. — Le poids et la souplesse. 
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III
 Le rôle des lignes papillaires dans l’écriture par l’analyse des empreintes : les différentes dimensions des lettres. — Les attouchements et les représentations visuelles de la forme. — La conscience et l’affinement des fonctions tactiles. — Les diversifications tactiles dans l’activité créatrice de l’artiste. 
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IV
 La forme révélée par les empreintes papillaires : les illusions du toucher résolues par les empreintes. — Les contacts coordonnés de la main droite et les contacts incohérents de la main gauche ; l’action exercée sur la motilité par la correspondance des contacts. — Les empreintes d’un accord dont la sonorité est mauvaise ; les empreintes d’un accord dont la sonorité est harmonieuse. — La personnalité dans les empreintes. — L'étude munie d'un contrôle scientifique : la lecture des empreintes ; les rapports des phénomènes physiologiques et des phénomènes esthétiques. — L’altération des contacts dans l’exécution des passages difficiles ; le perfectionnement des contacts. — Les poses acoustiques. 
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V
 La dimension attribuées aux écarts et l’agencement des contacts ; les dimensions du clavier ne peuvent être appréciées objectivement par l’exécutant : l’importance de la pose du pouce et de l’index ; séries d’empreintes de pouces : l’évolution de la pose du pouce et de celle de l’index. — La localisation des contacts ; deux poses immobiles, une pose mobile. — Expérience faites avec des lignes transversales tracées sur le clavier ; le groupement des doigts. — L’appareil enregistreur. — Les intervalles et la durée des attaques et du soulèvement des doigts. — La variété des contacts de la première et de la troisième pose acoustique par les empreintes des accords arpégés ; différenciation de la durée des attaques : la différenciation de la dimension des contacts. — Le caractère scientifique de l’éducation artistique. — L’élasticité des mouvements et les empreintes des contacts. — L’influence des doigtés ; les mouvements symétriques ; les réactions graduées dans l’exécution d’un accord arpégé ; les différenciations de la sensibilité et l’accentuation ; les représentations mentales et la localisation des contacts ; la conception de l’esthétique et les mouvements réflexes. — Le rythme et la fusion des contacts et des mouvements. 
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VI
 L’influence nuisible des mouvements associés ; l’action exercée par la fixité d’attitude sur l’audition mentale. — Le processus physiologique de l’étude du piano ; l’obéissance du doigt au commandement : les mouvements latéraux et les muscles interosseux ; l’immobilité de la main et la flexion des doigts : les deux principaux facteurs du mécanisme. — Les mouvements produisent la mémoire. — La diversification des mouvements et la finesse de l’ouïe ; exercices des mouvements non adaptés ; exercices des deux index ; exercice simultané du deuxième et du troisième doigts. — La force statique des muscles et la complexité des mouvements : les nouveaux moyens et les nouveaux résultats.
 
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