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Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/332
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XVIII.
Je meurs d’amour, je suis amoureux comme un chien
41
XIX.
S’il me fallait mourir le premier soir d’amour
43
XX.
La Nuit bienheureuse
45
XXI.
En revenant, je regardais
47
XXII.
Le Duo des amoureux
49
XXIII.
L’Autre nuit
51
XXIV.
Mignonne, il est des hypocrites
53
XXV.
Tes cheveux
55
XXVI.
« Vous m’avez appelée, et moi j’ai répondu
57
XXVII.
Malgré tant de chansons sur tes yeux et ta bouche
59
XXVIII.
Chanson
60
XXIX.
On entendait encore au loin, dans l’air du soir
62
XXX.
Pourquoi regardes-tu toujours l’horizon triste
65
XXXI.
Mais si cette nature est triste, que t’importe
67
XXXII.
M’aimes-tu ? le caprice ou le besoin d’aimer
69
XXXIII.
J’ai pendant longtemps caressé ce rêve
71
XXXIV.
Et nous coucher ensemble, immobiles et froid
72
XXXV.
N’as-tu pas des frissons, parfois
74
XXXVI.
Non, les baisers d’amour n’éveillent point les morts
77
XXXVII.
Je regardais la mer où venait se mirer
79
XXXVIII.
L’automne est passé, l’hiver est venu
81
XXXIX.
Sérénade en hiver
83
XL.
Après avoir marché sur la route durcie
85
XLI.
Réveille la vigueur de tes sens épuisés
87
XLII.
And good night indeed
89
XLIII.
C’est une belle nuit glacée
91
XLIV.
Le dernier oiseau de l’année
93
XLV.
Le stupide hasard qui gouverne le monde
96
XLVI.
Car toi seule es pour moi la jeunesse du monde
98
XLVII.
Quel son lamentable et sauvage
100
XLVIII.
Le ciel tranquille sur nos têtes
102
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