Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, I.djvu/12

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Comment nous sommes tous les ouvriers de Dieu dans la vigne de la Sainte Église ; et comment chacun possède une vigne à soi qui est lui-même, et comment tous doivent être unis à la vraie vigne du Fils de Dieu 
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De quelle manière Dieu façonne les rameaux unis au cep, et comment la vigne de chacun est si étroitement unie à celle du prochain que Ion ne peut cultiver ou ravager l’une sans l’autre 
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Comment l’âme prie Dieu de lui montrer ceux qui passent sur le pont et ceux qui n’y passent pas 
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Comment ce pont béni a trois degrés qui représentent les trois états de l’âme. Comment ce pont, tout en s’élevant en haut n’est pas séparé de la terre. Comment doit s’entendre cette parole du Christ : « Quand j’aurai été élevé en haut, j’attirerai tout à moi. » 
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Comment ce pont est construit en pierres qui signifient les vertus : sur le pont se trouve une hôtellerie, où l’on donne la nourriture aux voyageurs. Qui passe sur le pont va à la vie, qui s’engage en dessous va à la perdition et à la mort 
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Comment ce n’est pas sans peine que Ton suit l’une ou l’autre de ces deux voies, celle du pont ou celle du fleuve; et du bonheur que l’âme éprouve à passer par le pont 
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Comment ce pont, en s’élevant jusqu’au ciel, le jour de l’Ascension, n’a pas cependant quitté la terre 
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Comment cette âme, en admiration de la miséricorde de Dieu, raconte plusieurs grâces et bienfaits accordés à la race humaine 
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