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SOMMAIRE
- Chapitre premier.
- Chap. II. — Mon premier départ de Lisbonne en Portugal.
- Chap. III. — Comment les sauvages de Prannenbucke se révoltèrent et voulurent détruire l’établissement des Portugais.
- Chap. IV. — Description de notre forteresse. — Comment nous y fûmes attaqués.
- Chap. V. — Comment nous allâmes de Prannenbucke au pays des Buttugaris, où nous trouvâmes un vaisseau français avec lequel nous combattîmes.
- Chap. VI — Mon second départ de Séville en Espagne pour l’Amérique.
- Chap. VII. — Comment étant arrivés par 18 degrés, près la côte d’Amérique, nous ne pûmes trouver le port où l’on nous avait donné rendez-vous, et comment nous fûmes assaillis près de terre par un violent orage.
- Chap. VIII. — Comment nous quittâmes le port pour chercher le pays où nous voulions aller.
- Chap. IX. — Comment quelques-uns d’entre nous étant partis pour examiner la baie trouvèrent une croix sur un rocher.
- Chap. X. — Comment je fus envoyé au vaisseau avec un canot rempli de sauvages.
- Chap. XI. — De l’arrivée d’un des vaisseaux qui s’étaient séparés de nous pendant le voyage et à bord duquel se trouvait le premier pilote.
- Chap. XII. — Nous prenons le parti de nous rendre à l’île de Saint-Vincent qui est habitée par les Portugais, espérant pouvoir y fréter un vaisseau pour nous rendre à notre destination. — Naufrage que nous y éprouvons.
- Chap. XIII. — Comment nous apprîmes dans quel pays sauvage nous avions fait naufrage.
- Chap. XIV. — Description de Saint-Vincent.
- Chap. XV. — Du pays où demeurent les ennemis des Portugais les plus dangereux.
- Chap. XVI. — Comment les Portugais relevèrent Brîkiokia et construisirent des retranchements dans l’île de Sa-Maro.
- Chap. XVII. — Comment nous devions craindre les attaques de l’ennemi plutôt à certaines époques de l’année qu’à d’autres.
- Chap. XVIII. — Comment je fus fait prisonnier par les sauvages.
- Chap. XIX. — Les nôtres arrivent au moment ou les Indiens m’emmenaient. — Ils essayent de me reprendre. Les Indiens se tournent contre eux et leur livrent un combat.
- Chap. XX. De ce qui se passa pendant notre route vers le pays des Tuppins-Inbas.
- CHAP. XXI. Comment je fus traité par les sauvages le jour où ils arrivèrent à leur village.
- Chap. XXII. — Comment mes deux maîtres vinrent me trouver pour m’annoncer qu’ils m’avaient donné à un de leur amis, qui devait me garder, et me tuer quand le temps serait venu de me manger.
- Chap. XXIII. — Comment les Indiens me firent danser devant la cabane qui contient leurs idoles, nommés Tamerka. 107
- Chap. XXIV. — Comment on me conduisit après la danse, chez Ipperu Wasu qui devait me tuer.
- Chap. XXV. — Comment ceux qui m’avaient fait prisonnier me déclarèrent avec colère, que les Portugais avaient tué leur père et qu’ils voulaient s’en venger sur moi.
- Chap. XXVI. — Comment un Français que les vaisseaux avaient laissé chez les Indiens vint me voir, et leur dit qu’ils pouvaient me manger et que j’étais Portugais.
- Chap. XXVII. — Comment j’eus un grand mal de dents.
- Chap. XXVIII. — Comment les sauvages me conduisirent à leur principal roi, nommé Konyan Bebe, et de la manière dont j’y fus traité.
- Chap. XXIX. — Les Tuppins-lkins arrivent avec vingt-cinq canots comme je l’avais annoncé au roi, et attaquent le village où je me trouvais.
- Chap. XXX. — Comment les chefs se rassemblèrent le soir au clair de la lune.
- Chap. XXXI. — Comment les Tuppins-Ikins brûlèrent un autre village, nommé Mambukabe.
- Chap. XXXII. — Un vaisseau vient de Brickioka pour savoir ce que je suis devenu, et les sauvages refusent de le dire.
- Chap. XXXIII. — Le frère du roi, Jeppipo Wasu, arrive de Mambukabe et me raconte que celui-ci, sa mère et tous les leurs étaient tombés malades. Il me prie d’envoyer mon Dieu pour qu’il leur rende la santé.
- Chap. XXXIV. — Comment le roi Jeppipo Wasu revient malade à son village.
- Chap. XXXV. — Comment le Français qui leur avait conseillé de me dévorer revint au village, et comment je le suppliai de m’emmener avec lui ; mais mon maître ne voulut pas y consentir.
- Chap. XXXVI. — Les Indiens dévorent un prisonnier et me conduisent à cette fête.
- Chap. XXXVII. — Ce qui se passa pendant notre retour après que cet esclave eut été dévoré.
- Chap. XXXVIII. — Comment les Portugais envoyèrent un second vaisseau à ma recherche.
- Chap. XXXIX. — Comment un esclave de ces Indiens me calomniait toujours et aurait désiré me voir dévorer, et comment il fut tué et mangé en ma présence.
- Chap. XL. — De l’arrivée d’un vaisseau français qui acheta aux sauvages, du coton et du bois du Brésil, et à bord duquel je me serais volontiers embarqué si Dieu l’avait voulu permettre.
- Chap. XLI. — Les Indiens se mettent campagne et m’emmènent avec eux. Ce qui arriva pendant la marche.
- Chap. XLII. — Comment les prisonniers furent traités pendant le voyage.
- Chap. XLIII. — Comment les sauvages dansèrent autour de leurs ennemis, à l’endroit où nous campâmes le jour suivant.
- Chap. XLIV. — Comment le vaisseau français à bord duquel ils avaient promis de me conduire à leur retour de la guerre était encore à Uwattibi.
- Chap. XLV. — Comment les sauvages mangèrent le corps de George Ferrero, l’un des deux chrétiens, et fils du gouverneur.
- Chap. XLVI. — Comment Dieu fit un miracle.
- Chap. XLVII. — Comment un jour que j’étais à la pêche avec deux sauvages, Dieu fit un grand miracle pour moi à l’occasion d’un orage.
- Chap. XLVIII. — Comment les Indiens dévorèrent le second des chrétiens qui avaient été tués.
- Chap. XLIX. — De l’endroit où les sauvages me conduisirent pour me donner.
- Chap. L. — Comment les Indiens de ce village me racontèrent que le vaisseau, dont j’ai parlé plus haut, était reparti pour la France.
- Chap. LI. — Comment quelque temps après que je fus dans ce village il y vint un autre vaisseau français, nommé la Catherine de Vatteville, qui me racheta, et comment cela arriva.
- Chap. LII. — Comment se nommait le capitaine du vaisseau ; d’où il venait. — Ce qui nous arriva encore avant de quitter le port. — Notre retour en France.
- Chap. LIII. — Comment on me conduisit à Dieppe dans la maison du capitaine de la Belette, qui avait quitté le Brésil avant nous. et n’était pas encore arrivé.
- Ma prière au Dieu tout-puissant.
- Chap. Ier. — De la navigation depuis Lisbonne jusqu’à Rio-de-Janeiro, situé par 24 degrés au delà de l’équateur et environ sous le tropique du capricorne.
- Chap. — II. Du pays d’Amérique ou du Brésil dont j’ai visité une partie.
- Chap. — III. Des grandes montagnes de ce pays.
- Chap. IV. — Des habitations des Tuppinambas, dont j’ai été le prisonnier.
- Chap. V. — De leur manière de faire du feu.
- Chap. VI. — De leur manière de se coucher.
- Chap. VII. — De leur adresse à tuer les animaux sauvages et les poissons à coups de flèches.
- Chap. VIII. — De la conformation de ces peuples.
- Chap. IX. — Comment les Indiens faisaient pour couper avant d’avoir pu acheter aux chrétiens des haches, des couteaux et des ciseaux.
- Chap. X. — De leur pain, de leurs récoltes et de la manière dont ils préparent leur nourriture.
- Chap. XI. — Comment ils font cuire leurs aliments.
- Chap. XII. — De la manière dont ils se gouvernent.
- Chap. XIII. — De la manière dont ils fabriquent leurs plats et leurs vases.
- Chap. XIV. — De leur manière de fabriquer des boissons enivrantes et de boire.
- Chap. XV. — De leurs ornements, de leur manière de se peindre le corps et de leurs noms.
- Chap. XVI. — Des ornements des femmes.
- Chap. XVII. — Comment les sauvages donnent le premier nom aux enfants.
- Chap. XVIII. — Du nombre de leurs femmes et de leur manière de les traiter.
- Chap. XIX. — De leurs fiançailles.
- Chap. XX. — De leurs propriétés.
- Chap. XXI. — De ce qu’ils regardent comme la plus grande gloire.
- Chap. XXII. — De leur religion.
- Chap. XXIII. — Comment les femmes deviennent aussi des prophètes.
- Chap. XXIV. — De leur manière de naviguer.
- Chap. XXV. — Pourquoi ils dévorent leurs ennemis.
- Chap. XXVI. — Des préparatifs qu’ils font quand ils veulent entreprendre une incursion dans le pays de leurs ennemis.
- Chap. XXVII. — De leurs armes.
- Chap. XXVIII. — Des cérémonies avec lesquelles les sauvages tuent et mangent leurs prisonniers.
- Chap. XXIX. — Description de quelques animaux du pays.
- Chap. XXX. — D’une espèce d’insecte de la grandeur d’une petite puce, et que les sauvages nomment attun.
- Chap. XXXI. — D’une espèce de chauve-souris de ce pays, qui mord les gens pendant leur sommeil, aux orteils et au front.
- Chap. XXXII. — Des abeilles du pays.
- Chap. XXXIII. — Des oiseaux du pays.
- Chap. XXXIV. — De quelques arbres du pays.
- Chap. XXXV. — Du coton, du poivre et de quelques racines qui servent de nourriture aux sauvages.