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TABLE DES MATIÈRES
I. La loi économique de l’inégalité des richesses et son caractère naturel. — II. Comment l’inégalité des richesses n’empêche pas le nombre des hommes de s’accroître et n’empire point la condition des prolétaires. — III. De la richesse qui est bienfaisante et de celle qui nuit à autrui. — IV. Des faits de conquête et du mélange des races. — V. De l’abus de la législation au profit d’une classe. — VI. De l’augmentation de la richesse générale en ce siècle. — VII. De l’amélioration de la condition des classes populaires et de l’ascension continue des couches inférieures de la démocratie en France et en Angleterre. — VIII. Les anciennes et les nouvelles classes moyennes. — IX. De la proportion entre les possédants et les non-possédants en France et en Belgique ; — X : en Prusse et en Saxe. — XI. Pourquoi il y a tant de grandes fortunes aux États-Unis. — XII. Des formes de la capitalisation. — XIII. De l’épargne des domestiques et des professions libérales.
I. Les grandes fortunes d’autrefois et les fortunes industrielles modernes. — II. La création de la richesse par l’invention scientifique et par la capacité économique. — III. Le contrat d’entreprise et son développement. — IV. Le rôle croissant de l’outillage et du capital dans l’industrie. — V. La genèse de la formation du capital selon Karl Marx et la réalité des faits. —VI. Le capital circulant ou l’argent. — VII. Le développement contemporain du commerce et de l’industrie par l’emploi du crédit.
I. Comment l’argent est devenu la représentation du capital. — II. Le crédit et ses formes. — III. Le crédit à la consommation et ses dangers : la plaie ancienne de l’usure. — IV. Le crédit à la production et l’intérêt de l’argent : adaptation graduelle de la doctrine canonique aux nouvelles conditions économiques de la société. — V. La perpétuité du capital : controverses anciennes et modernes. — VI. De la fonction des banques ou de la concentration et de la mise en circulation des capitaux disponibles. — VII. Les nouvelles formes du crédit industriel et commercial. — VIII. La circulation fiduciaire : ses avantages et ses périls. — IX. Le marché universel des capitaux. — X. De l’importance d’un bon système monétaire pour les transactions commerciales et les opérations de crédit. — XI. Les encaisses d’or des grandes banques et la balance du commerce général du monde. — XII. De l’influence des opérations de Trésorerie sur le marché monétaire. — XIII. De la solidarité pratique des différents marchés financiers.