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TABLE ET SOMMAIRES DES LETTRES
Pages
77. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 9 mars 1770 
 167
  
Il a reçu ses Mémoires sur les équations et les problèmes de Diophante. — Sa santé l’oblige de renoncer pour plusieurs semaines à toute espèce de travail. — MM. Beguelin et Lambert. — Il l’excite à ne pas laisser impunie l’impertinence de M. Fontaine. — M. de Borda. — Remboursement du prix du Calcul intégral, d’Euler.
 
78. Le même au même. — Paris, 25 mars 1770 
 168
  
Il lui envoie trois exemplaires de son Traité des fluides. — Calcul intégral et Dioptrique, d’Euler.
 
79. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 26 mars 1770 
 169
  
Le bruit court de son voyage à Berlin. — MM. de Condorcet et de la Condamine. — Travaux d’Euler et de Lagrange que contiendront les Volumes de 1763 et de 1768 du Recueil de l’Académie de Berlin. — En échange du Calcul intégral d’Euler, il le prie de lui envoyer des Ouvrages de Bossut ou de Bézout.
 
80. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 10 avril 1770 
 171
  
Le sujet de la Lune est de nouveau proposé pour 1772. — On a donné la moitié du prix à Euler. — Conditions imposées par le fondateur du prix, M. de Meslay. — Il a reçu le Mémoire et les observations manuscrites de M. Beguelin.
 
81. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 17 juin 1770 
 173
  
Il a eu une espèce de fièvre chaude pendant plusieurs jours. — Observations sur la Lettre circulaire d’Euler aux Académies pour leur annoncer sa prétendue solution du problème des trois corps. — Il concourra certainement pour le prix. — M. de Condorcet. — Travaux que contiendra le Volume de 1768.
 
82. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 13 juillet 1770 
 175
  
Résumé et critique de la pièce d’Euler. — Dans les circonstances présentes où les pensions ne sont point payées et où il a de la peine à vivre, il lui est impossible de faire, comme il le désirerait, un voyage en Italie. — Il renonce à finir, avant de mourir, quelques recherches commencées. — Lagrange est destiné à dédommager la Géométrie de ses pertes. — M. de Condorcet. — Plaintes sur sa santé.
 
83. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 26 août 1770 
 179
  
Observations critiques sur le Mémoire d’Euler. — Projet de voyage en Italie. — Le marquis Caraccioli est nommé ambassadeur de Naples à Paris. — Algèbre, en allemand, d’Euler, dont on doit donner une traduction française avec des Notes de Lagrange. — Communication d’un théorème qu’il a trouvé.
 
84. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 6 septembre 1770 
 182
  
Il part avec Condorcet et va d’abord à Lyon. — Envoi de ses deux Mémoires sur la libration de la Lune, et du Mémoires sur les tautochrones, de M. Fontaine, qui est d’une injustice et d’une insolence rares. — Il a reçu pour son voyage 6000 livres du roi de Prusse, auquel il a écrit en faveur de M. Beguelin. — Considérations et calculs relatifs à la démonstration du principe de la force d’inertie qu’il a donnée dans le Tome IV de ses Opuscules. — Théorie de la Lune, de Mayer. — Mémoire qu’il vient de lire à l’Académie à ce sujet. — Envoi d’un Discours qu’il a lu à l’Académie en présence du roi de Danemark. — Lettre de l’Infant de Parme. Érection d’un mausolée à Descartes dans une église de Suède.