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TABLE ET SOMMAIRES DES LETTRES
Pages
127. D’Alembert à Lagrange. — Paris, ier juillet 1774 
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Il attend à la fin du mois le comte de Crillon. — Il ne s’occupe que de broutilles littéraires et philosophiques. — Mort de Louis XV. — On imprime les deux Mémoires que Lagrange a envoyés à l’Académie. Il lui signale, dans le Volume de 1771, qui va paraître, l’Éloge de Fontaine, et l’Histoire par Condorcet. — Nouvelles du marquis Caraccioli. — Condorcet ne concourra probablement pas de nouveau pour le prix de Berlin. — MM. de Lalande et Bailly.
 
128. Le même au même. — Paris, 12 septembre 1774 
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Retour du comte de Crillon. — Éloge des Mémoires de Lagrange, insérés dans le Volume de Berlin de 1772, et, entre autres, de sa démonstration sur les racines imaginaires. — Il l’engage à concourir pour le prix relatif aux perturbations des comètes. — Pièces envoyées pour le concours sur les aiguilles aimantées. — L’Histoire de l’Académie, par Condorcet, est supérieure à celle de Fontenelle. — Il (d’Alembert) a lu à l’Académie française plusieurs Éloges qui ont été bien reçus, mais il préférerait avoir trouvé la solution d’un beau problème de Géométrie. — Le nouveau ministère, en France, donne beaucoup d’espérances.
 
129. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, ier octobre 1774 
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Envoi pour l’Académie d’un Mémoire qu’il le prie de vouloir bien examiner. — Critique de la Cosmographie du P. Frisi et de son auteur. — Théorème sur la forme des racines imaginaires. — Mme de Maupertuis. — Il ignorait que la pièce qui a concouru à Berlin fût de Condorcet. — Le comte de Crillon. — Le marquis Caraccioli.
 
130. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 15 décembre 1774 
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Condorcet et lui ont fait à l’Académie leur rapport sur l’excellent Mémoire qu’il avait envoyé. — Moqueries sur le P. Frisi. — Citation du jésuite Lemoyne. — Il espère pouvoir reprendre un peu ses travaux mathématiques, et vient de composer soixante-douze Éloges d’académiciens français. — Il attend son travail sur les comètes. — Le comte de Crillon. — Le marquis Caraccioli.
 
131. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 9 janvier (1775) 
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Il a été un peu malade. — Remerciements pour le rapport sur son Mémoire. — Il ne sait s’il fera quelque chose pour le prix des Comètes. — Le marquis Caraccioli. — Le marquis de Rossignano, envoyé de Sardaigne à Berlin. — Mort de M. Meckel. — Maladie de M. Margraff. — Le P. Frisi.
 
132. D’Alembert à Lagrange. — Paris, 14 avril 1775 
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Il lui demande des nouvelles de ses travaux. — L’Académie a remis le prix sur les Aiguilles aimantées. — Il n’est point, comme on en a fait courir le bruit, directeur des travaux de navigation, mais, avec l’abbé Bossut et Condorcet, il s’est chargé, par amitié pour son ami, M. Turgot, contrôleur général, de lui donner avis sur ses canaux, et tous trois ont refusé les appointements qu’on leur offrait. — Il lui demande ce qu’il pense de sa Méthode pour déterminer le mouvement des fluides dans les vases. — Tracasseries dont lui et Condorcet sont l’objet à l’Académie des Sciences. — Il continue ses Éloges de l’Académie française. — Envoi du marquis Caraccioli à Rome.
 
133. Lagrange à d’Alembert. — Berlin, 29 mai 1775 
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Il s’occupe de donner une théorie complète des variations des éléments des planètes, en vertu de leur action mutuelle ; ce que M. de la Place a fait sur ce sujet lui a beaucoup plu, et il charge d’Alembert de le prier de ne lui communiquer désormais en manuscrit aucun de ses travaux sur cette matière. — Compliments à M. de Condorcet, nommé directeur de la Monnaie. — Demande de la liste imprimée de tous les Arts publiés par l’Académie. — Il ne sait pas si, à cause de sa maladie pendant le dernier hiver, il sera en état de concourir pour le prix des Comètes.