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1797.
Au R. P. de La Tour, jésuite, principal du collège Louis-le-Grand. Paris, 1746. — « Ayant été élevé longtemps. »
B.
1798.
M. Amman, secrétaire de l’ambassade de Naples à Paris. Versailles, 26 mars. — « Tu vatem vates laudatus. »
B.
1799.
Moncrif. Mars. — « Mon cher sylphe, dont je n’ose encore. »
B.
1800.
Moncrif. — « Aimable sylphe, je sais toutes les faveurs. »
C.et F.
1801.
Mgr G. Cerati. Parigi, 6 aprile 1746. — « Vostra Signoria illustrissima è venuta. »
B.
1802.
Moncrif. Paris, 7 avril. — « J’ai reçu, mon très-sage et très-aimable ami. »
C. et F.
1803.
L’abbé Alary. Paris, 7 avril. — « Que dites-vous de ce poëte Roi. »
C.et F.
1804.
Le cardinal Querini. Parigi, 12 aprile. — « Mi è stato detto. »
B.
1805.
Le prince de Craon. — « Sia lecito ad un antico servitore. »
C.et F.
1806.
Le marquis d’Argenson. 15 avril. — « Je suis bien malade, mais vous me rendez la santé. »
B.
1807.
Roi au lieutenant général de police. 26 avril. — « Au retour de la campagne. »
Desv.
1808.
Moncrif. Avril. — « Mon céleste sylphe, mon ancien ami. »
B.
1809.
Vauvenargues. Avril. — « Je ne sais où trouver M. de Marmontel. »
B.
1810.
Maupertuis. Paris, 1er mai 1746. — « Mon illustre ami, je vous reconnais. »
B.
1811.
Vauvenargues. Mai. — « Quoi ! la maladie m’empêche. »
B.
1812.
Le cardinal Querini. Parigi, 8 maggio. — « Ho ricevuto il cumulo de’ suoi favori. »
B.
1813.
Vauvenargues. Paris, lundi 9 mai. — « Nos amis peuvent continuer leurs feuilles. »
B.
1814.
Vauvenargues. Versailles, 13 mai. — « J’ai usé, mon très-aimable philosophe. »
B.
1815.
Vauvenargues. 14 mai. — « J’ai apporté à Paris. »
B.
1816.
À M. Bourgeois. — « Voici, monsieur, trois exemplaires.»
Rev. de l’Aunis.
1817.
De Vauvenargues. 15 mai. — « Je ne mérite aucune des louanges. »
G.
1818.
Le marquis d’Argenson. Paris, 16 mai. — « Voici, monseigneur, ma bavarderie académique. »
B.
1819.
La comtesse de Verteillac. Paris, 21 mai. — « Je n’ai entendu parler. »
B.
1820.
Vauvenargues. 22 mai. — « La plupart de vos pensées me paraissent dignes. »
B.
1821.
De Vauvenargues. 23 mai. — « Vous me soutenez, mon cher maitre. »
B.
1822.
Vaurenargues. 23 mai. — « J’ai peur d’être né dans le temps. »
B.
1823.
La comtesse de Verteillac. Paris, 30 mai. — « Il est très-vrai, madame, que si mon goût. »
B.
1824.
Vauvenargues. Mai. — « « Je vais lire vos portraits. »
B.
1825.
Cardinal Querini. 1 giugno 1746. — « Eminenza, sono strinto ora. »
B.
1826.
La comtesse de Verteillac. Paris, 3 juin. — « Vous jugez bien, madame, que si j’avais reçu. »
B.
1827.
M. ***, à l’occasion de la lettre de M. d’Argenson à M. Van Hoey, ambassadeur des Provinces-Unies. Juin. — « Le roi mon maître. »
C. et F.