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TABLE DES MATIÈRES.
DISCOURS EN VERS SUR L’HOMME. — Premier discours. — De l’égalité des conditions
Deuxième discours. — De la liberté. On entend par ce mot, liberté, le pouvoir de faire ce qu’on veut. Il n’y a et ne peut y avoir d’autre liberté. C’est pourquoi Locke l’a si bien définie puissance
Troisième discours. — De l’envie
Quatrième discours. — De la modération en tout, dans l’étude, dans l’ambition, dans les plaisirs. — À monsieur Helvétius
Cinquième discours. — Sur la nature du plaisir
Sixième discours. — Sur la nature de l’homme
Septième discours. — Sur la vraie vertu
Avertissement pour le poëme sur la Loi naturelle, et le poëme sur le Désastre de Lisbonne
POËME SUR LA LOI NATURELLE (1752). — Exorde
Première partie. — Dieu a donné aux hommes les idées de la justice, et la conscience pour les avertir, comme il leur a donné tout ce qui leur est nécessaire. C’est là cette loi naturelle sur laquelle la religion est fondée ; c’est le seul principe qu’on développe ici. L’on ne parle que de la loi naturelle, et non de la religion et de ses augustes mystères.
Deuxième partie. — Réponses aux objections contre les principes d’une morale universelle. Preuve de cette vérité
Troisième partie. — Que les hommes, ayant pour la plupart défiguré, par les opinions qui les divisent, le principe de la religion naturelle qui les unit, doivent se supporter les uns les autres
Quatrième partie. — C’est au gouvernement à calmer les malheureuses disputes de l’école qui troublent la société