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IX. 

Comparaison de l’histoire et de la poésie. — De l’élément historique dans le drame. — Abus des épisodes dans le drame. — De la péripétie, considérée comme moyen dramatique 

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X. 

De l’action simple et de l’action complexe 

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XI. 

Éléments de l’action complexe : péripétie, reconnaissance, événement pathétique 

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XII. 

Divisions de la tragédie 

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XIII. 

Des qualités de la fable par rapport aux personnes. — Du dénouement 

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XIV. 

De l’événement pathétique dans la fable. — Pourquoi la plupart des sujets tragiques sont fournis par l’histoire 

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XV. 

Des mœurs dans la tragédie. — De ce qu’il convient de mettre sur la scène. — De l’art d’embellir les caractères 

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XVI. 

Des quatre formes de la reconnaissance 

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XVII. 

Il faut se pénétrer du sujet que l’on met en tragédie. — Manière de le développer 

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XVIII. 

Du nœud et du dénouement. Il faut éviter de donner à une tragédie les proportions d’une épopée. — Des sujets traités dans les chants du chœur 

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XIX. 

De la pensée et de l’élocution 

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XX. 

Des éléments grammaticaux de l’élocution 

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XXI. 

Des diverses espèces de noms 

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XXII. 

De l’emploi de la glose, de la métaphore, de l’ornement, etc. 

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XXIII. 

De la composition épique 

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XXIV. 

Comparaison de l’épopée avec la tragédie. — Nombreux mérites d’Homère 

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XXV. 

Objections faites au style poétique. — Solutions 

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XXVI. 

La composition épique est-elle supérieure à la composition tragique ? Conclusion dans le sens de la négative 

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Appendice. Fragments présumés de la Poétique 

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