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TABLE DES MATIÈRES.


Chap. XI. De la statue d’Apollon de Cumes, dont on prétend que les larmes présagèrent la défaite des Grecs que le dieu ne pouvait secourir.
XII. Quelle multitude de dieux les Romains ont ajoutée à ceux de Numa, sans que cette abondance leur ait servi de rien.
XIII. Par quel moyen les Romains se procurèrent pour la première fois des épouses.
XIV. De la guerre impie que Rome fit aux Albains et du succès que lui valut son ambition.
XV. Quelle a été la vie et la mort des rois de Rome.
XVI. De Rome sous ses premiers consuls, dont l’un exila l’autre et fut tué lui-même par un ennemi qu’il avait blessé, après s’être souillé des plus horribles parricides.
XVII. Des maux que la république romaine eut à souffrir après les commencements du pouvoir consulaire, sans que les dieux se missent en devoir de la secourir.
XVIII. Des malheurs arrivés aux Romains pendant la première guerre punique sans qu’ils aient pu obtenir l’assistance des dieux.
XIX. État déplorable de la république romaine pendant la seconde guerre punique, où s’épuisèrent les forces des deux peuples ennemis.
XX. De la ruine de Sagonte, qui périt pour n’avoir point voulu quitter l’alliance des Romains, sans que les dieux des Romains vinssent à son secours.
XXI. De l’ingratitude de Rome envers Scipion, son libérateur, et de ses mœurs à l’époque réputée par Salluste la plus vertueuse.
XXII. De l’ordre donné par Mithridate de tuer tous les citoyens Romains qu’on trouverait en Asie.
XXIII. Des maux intérieurs qui affligèrent la république romaine à la suite d’une rage soudaine dont furent atteints tous les animaux domestiques.
XXIV. De la discorde civile qu’alluma l’esprit séditieux des Gracques.
XXV. Du temple élevé à la Concorde par décret du sénat, dans le lieu même signalé par la sédition et le carnage.
XXVI. Des guerres qui suivirent la construction du temple de la Concorde.
XXVII. De la guerre civile entre Marius et Sylla.
XXVIII. Comment Sylla victorieux tira vengeance des cruautés de Marius.
XXIX. Rome eut moins à souffrir des invasions des Gaulois et des Goths que des guerres civiles.
XXX. De l’enchaînement des guerres nombreuses et cruelles qui précédèrent l’avénement de Jésus-Christ.
XXXI. Il y a de l’impudence aux Gentils à imputer les malheurs présents au christianisme et à l’interdiction du culte des dieux, puisqu’il est avéré qu’à l’époque où florissait ce culte, ils ont eu à subir les plus horribles calamités.


Chapitre premier. Récapitulation des livres précédents.
II. Récapitulation du second et du troisième livre.
III. Si un état qui ne s’accroît que par la guerre doit être estimé sage et heureux.
IV. Les empires, sans la justice, ne sont que des ramas de brigands.
V. La puissance des gladiateurs fugitifs fut presque égale à celle des rois.
VI. De l’ambition du roi Ninus qui, le premier, déclara la guerre à ses voisins afin d’étendre son empire.
VII. S’il faut attribuer à l’assistance ou à l’abandon des dieux la prospérité ou la décadence des empires.
VIII. Les Romains ne sauraient dire quels sont parmi leurs dieux ceux à qui ils croient devoir l’accroissement et la conservation de leur empire, chaque dieu en particulier étant capable tout au plus de veiller à sa fonction particulière.
IX. Si l’on doit attribuer la grandeur et la durée de l’empire romain à Jupiter, que ses adorateurs regardent comme le premier des dieux.
X. Des systèmes qui attachent des dieux différents aux différentes parties de l’univers.
XI. De cette opinion des savants du paganisme que tous les dieux ne sont qu’un seul et même dieu, savoir : Jupiter.
XII. Du système qui fait de Dieu l’âme du monde et du monde le corps de Dieu.
XIII. Du système qui n’admet comme parties de Dieu que les seuls animaux raisonnables.
XIV. On a tort de croire que c’est Jupiter qui veille à la prospérité des empires, attendu que la victoire, si elle est une déesse, comme le veulent les païens, a pu seule suffire à cet emploi.
XV. S’il convient à un peuple vertueux de souhaiter de s’agrandir.
XVI. Pourquoi les Romains, qui attachaient une divinité à tous les objets extérieurs et à toutes les passions de l’âme, avaient placé hors de la ville le temple du repos.
XVII. Si, en supposant Jupiter tout-puissant, la victoire doit être tenue pour déesse.
XVIII. Si les païens ont eu quelque raison de faire deux déesses de la félicité et de la fortune.
XIX. De la fortune féminine.
XX. De la vertu et de la foi, que les païens ont honorées comme des déesses par des temples et des autels, oubliant qu’il y a beaucoup d’autres vertus qui ont le même droit à être tenues pour des divinités.
XXI. Les païens, n’ayant pas la connaissance des dons de Dieu, auraient dû se borner au culte de la vertu et de la félicité.
XXII. De la science qui apprend à servir les dieux, science que Varron se glorifie d’avoir apportée aux Romains.
XXIII. Les Romains sont restés longtemps sans adorer la félicité, bien qu’ils adorassent un très-grand nombre de divinités, et que celle-ci dût leur tenir lieu de toutes les autres.
XXIV. Quelles raisons font valoir les païens pour se justifier d’adorer les dons divins comme des dieux.
XXV. On ne doit adorer qu’un Dieu, qui est l’unique dispensateur de la félicité, comme le sentent ceux-là mêmes qui ignorent son nom.
XXVI. Des jeux scéniques institués par les païens sur l’ordre de leurs dieux.
XXVII. Des trois espèces de dieux distingués par le pontife Scévola.
XXVIII. Si le culte des dieux a été utile aux Romains pour établir et accroître leur empire.