Aller au contenu

Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome36.djvu/594

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

1745

1689. 
Le marquis d’Argenson. Le jour de la Circoncision 1745. — « Monsieur Bon, premier président. » 
 B.
1690. 
Thieriot. — « Je vous renvoie la prose de M. le maréchal de Schmettau. » 
 C. et F.
1691. 
La Condamine. Versailles, le 7 janvier. — « Votre style n’est point d’un homme. » 
 B.
1692. 
Vauvenargues. Versailles, 7 janvier. — « Le dernier ouvrage que vous avez bien voulu. » 
 B.
1693. 
All’ eminentissimo e reverendissimo signore colendissimo Passionei. Versailles, 9 janvier. — « Lo scolare dell’ Eminenza Vostra. » 
 B. et F. (Suppl. 1865.)
1694. 
Le comte d’Argental. Paris, ce lundi. » Voici un prologue, voici. » 
 B.
1695. 
De Vauvenargues. 21 janvier. — « J’ai reçu avec la plus grande confiance. » 
 G.
1696. 
De Vauvenargues. 27 janvier. — « Je n’aurais pas été longtemps fâché. » 
 G.
1697. 
Cideville. À Versailles, le 31 janvier. — « Je suis un barbare qui n’écris point. » 
 B.
1698. 
Thieriot. Versailles, 1745. — « Je suis à Versailles en retraite. » 
 C. et F.
1699. 
Le marquis d’Argenson. Le 8 février 1745 — « Je vous renvoie le manuscrit. » 
 B.
1700. 
Cideville. — « Si ma faible machine. » 
 B.
1701. 
Le comte d’Argental. Versailles, 25 février. — « La cour de France ressemble. » 
 B.
1702. 
Thieriot. Versailles, ce 27 février. — « Je n’ai ici ni mains ni pieds. » 
 C. et F.
1703. 
Le comte d’Argental. — « Mon cher ange gardien, vous ne réussissez. » 
 B.
1704. 
De Vauvenargues. — « Je vous accable, monsieur, de mes lettres. » 
 B.
1705. 
Cideville. À Versailles, le 7 mars 1745. — « Je compte vous apporter. » 
 B.
1706. 
La Condamine. Versailles, mars. — « Mon très-ambulant philosophe, j’ai obéi. » 
 B.
1707. 
Moncrif. À Versailles, mars. — « Avec ces grâces infinies. » 
 B. et F. (Sup. 1865.)
1708. 
Le marquis d’Argenson. 20 mars. — « Vous n’êtes jaloux que de faire du bien. » 
 C. et F.
1709. 
Vauvenargues. À Versailles, ce 3 avril 1745. — « Vous pourriez me dire comme Horace. » 
 B.
1710. 
Le marquis d’Argenson. — « Que Dieu récompense la reine. » 
 B.
1711. 
Cideville. À Paris, ce 10 avril 1745. — « Vos vers, mon charmant ami, me paraissent. » 
 B.
1712. 
Cideville. Ce 12 avril. — « Je suis si vain. » 
 B.
1713. 
Le marquis d’Argenson. 16 avril. — « Je cours à Chillons. » 
 B.
1714. 
Duclos. Avril. — « J’en ai déjà lu. » 
 B.
1715. 
Le marquis d’Argenson. Paris, 29 avril — « Je tremble que nos tristes aventures. » 
 B.