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1716.
De Vauvenargues. 30 avril 1745. — « Je ne vous dirai pas, monsieur, sic raro scribis. »
G.
1717.
Le marquis de Valori. Paris, 1er mai 1745. — « Vous achevez mon bonheur. »
B.
1718.
La princesse Ulrique. À Paris, ce 2 mai. — « J’ai eu la consolation de voir ici. »
Adv.
1719.
L’abbé de Valori. Paris, le 3 mai. — « Les faevrs des rois et des papes. »
B.
1720.
Le marquis d’Argenson. À Paris, ce 3 mai. — « Eh bien, il faudra donc vous laisser partir. »
B.
1721.
Le comte d’Alion. — « Je vous supplie de présenter. »
C. et F.
1722.
Néricault Destouches. Paris, ce 8 mai. — « J’ai été à Châlons. »
C. et F.
1723.
Cideville. À Paris, ce 12 mai. — « Je suis réduit à la prose. »
B.
1724.
Le marquis d’Argenson. 13 mai. — « Ah le bel emploi pour votre historien ! »
B.
1725.
Du marquis d’Argenson. — « Monsieur l’historien, vous aurez du appendre. »
B.
1726.
La marquise de Pompadour. — « Quand César, ce héros charmant. »
B.
1727.
Le marquis d’Argenson. Le 20 de mai. ‑ « Vous m’avez écrit une lettre. »
B.
1728.
Le marquis d’Argenson. Ce 26 mai. — « Tenez, monseigneur, je n’en peux plus. »
B.
1729.
Le marquis d’Argenson. À Paris, le 29 mai. — « Malgré l’envie, ceci a du débit. »
B.
1730.
Cideville. 30 mai. — « Vos vers sont charmants. »
B.
1731.
Le marquis d’Argenson. 30 mai. — « Au milieu des énormes paquets. »
B.
1732.
Cideville. À Paris, ce 31 mai. — Le comte de Saxe m’a remercié. »
B.
1733.
Cideville. Jeudi, après minuit, 3 juin 1745. ‑ « J’apprends, en arrivant, que votre amitié. »
B.
1734.
Le comte Algarotti. Parigi, 4 giugno. — « Mi lusingava, caro mio. »
B.
1735.
M. de Crouzas. Paris, 6 juin. — « Prenez-vous-en à la bataille de Fontenoy. »
B.et F.
1736.
Cideville. Mercredi matin, 9 juin. — « Après avoir travaillé toute la nuit. »
B.
1737.
Le président Hénault. Ce 13, 14 et 15 juin. — « Rival heureux de Salluste et d’Horace. »
B.
1738.
Le comte de Tressan. Le 15 juin. — « Vous avez vaincu. »
B.
1739.
Moncrif. À Paris, le 16 juin. — « Je n’avais, mon cher sylphe. »
B.
1740.
Le comte de Tressan. Le 17 juin. — « Je n’ose vous supplier. »
B.
1741.
Le duc de Richelieu. Le 20 juin. — « Voici un petit morceau. »
B.
1742.
Moncrif. À Champs, le 22 juin. — « Je sens, mon très-aimable Zélindor. »
B.
1743.
Cideville. À Champs, ce 25 juin. — « Mon charmant ami, celui des Muses. »
B.
1744.
Le marquis d’Argenson. À Champs, le 25 juin. « Je suis, comme l’Arétin. »
B.