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1854. 
M. Moreau. — « Il s’en faut bien, monsieur, que je regarde. » 
 H. B.
Mémoire.
 
1855. 
Le duc de Richelieu. À Paris, le 24 décembre 1746. — « Très-magnifique ambassadeur. » 
 B.

1747

1856. 
M. Moreau. 4 janvier 1747. — « Persistez dans votre noble résolution. » 
 H. B.
1857. 
M. Moreau. Jeudi, 5 janvier. — « Permettez, monsieur, que j’aie l’honneur. » 
 H. B.
1858. 
De Mannory. (9 janvier). — « Il y a plusieurs jours que j’ai reçu. » 
 H. B.
1859. 
M. Moreau. (11 janvier). — « Souffrirez-vous que l’avocat Mannory. » 
 H. B.
1860. 
Frédéric II, roi de Prusse. À Paris, ce 5 février 1747. — « Sire, eh bien, vous aurez Sémiramis. » 
 B.
1861. 
De Frédéric. 22 février. — « Vous n’avez donc point fait. » 
 Pr.
1862. 
Frédéric II, roi de Prusse. Versailles, 9 mars 1747. — « Les fileuses des destinées. » 
 B.
1863. 
M. Moreau. Ce mardi. — « Je n’ai point eu la sottise de répondre. » 
 H. B.
1864. 
Thieriot. À Versailles, le 10 mars. — « Je vous renvoie vos livres italiens. » 
 B.
1865. 
Le comte Algarotti. 2 avril 1747. — « Vous que le ciel en sa bonté. » 
 B.
1866. 
De Frédéric. 24 avril. — « Vous rendez la Mort si galante. » 
 Pr.
1867. 
Le comte d’Argenson. À Paris, le 4 de la pleine lune. — « L’ange Jesrad a porté jusqu’à Memnon. » 
 B.
1868. 
Le marquis d’Argenson. Paris, 12 juin 1747. — « L’éternel malade, l’éternel persécuté. » 
 B.
1869. 
M. Walther. Paris, 15 juin. — « M. lecomte Algarotti m’ayant mandé. » 
 B.
1870. 
Le marquis des Issarts. Versailles, le 7 août 1747. — « La lettre aimable dont vous m’honorez. » 
 B.
1871. 
Le comte d’Argental. — « Moi, être fâché contre vous. » 
 B.
1872. 
M. Walther. Paris, 23 septembre 1747. — « Sur vos propositions, et à la priére. » 
 B.
1873. 
M. Walther. Fontainebleau, 1747. — « Je reçois votre lettre avec les preuves. » 
 C. et F.
1874. 
M. de Champflour fils. Sceaux, 20 novembre 1747. — « Je vous fais mon compliment. » 
 B.
1875. 
M. M *** académicien d’Angers. Sceaux, 26 novembre. — « Je reçois avec une respectueuse reconnaissance. » 
 C. et F.
1876. 
Moncrif. — « Mon aimable sylphe, vous auriez été content. » 
 C. et F.

1748

1877. 
Cideville. Le 2 janvier 1748. — « Les rois ne me sont rien. » 
 B.
1878. 
M. de Mairan. Versailles, 10 janvier. « Je vous remercie bien tendrement. » 
 B.