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1879.
Moncrif. — « Mon très-aimable Almanzor, j’ai été. »
C. et F.
1880.
Marmontel. Lunéville, à la cour, 13 février 1748. — « J’avais bien raison de vous dire. »
B.
1881.
Dom Calmet, abbé de Sénones. Lunéville, 13 février. — « le préfère la retraite à la cour. »
B.
1882.
Le comte d’Argental. Lunéville, 14 février. — « Mes divins anges, me voici donc à Lunéville. »
B.
1883.
Le président Hénault. Lunéville, février. — « J’ai vu ce salon magnifique. »
B.
1884.
Marmontel. À Lunéville, 15 février. — « Je vous avais déjà écrit. »
B.
1885.
La comtesse d’Argental. Lunéville, 25 février. — « J’ai acquitté votre lettre de change. »
B.
1886.
Mme de Champbonin. De Lunéville. — « Le désir d’aller vous surprendre. »
B.
1887.
De Stanislas, roi de Pologne et duc de Lorraine. 17 mai 1748. — « J’ai cru, mon cher Voltaire, jusqu’à présent. »
B.
1888.
Mme de Truchis de Lagrange. À Paris, 7 juin 1718. — « Prologue : osons-nous retracer. ? »
B.
1889.
Le comte d’Argental. Le 10 juin. — « Je n’ai point écrit à mésange. »
B.
1890.
M. Clément, receveur des tailles à Dreux. À Versailles, le 11 juin. — « Vous m’avez toujours témoigné. »
B.
1891.
Au lieutenant général de police. 11 juin 1748. — « parait depuis quelques jours. »
L. Led.
1892.
Du lieutenant général de police. (13 juin.) — « Il y a quelque temps. »
L. Led.
1893.
Au lieutenant général de police. — « Je pense que l’édition. »
L. Led.
Mémoire.
1894.
D’Arnaud. Juin. — « Je vous fais mon compliment. »
B.
1895.
Au lieutenant général de police. — « Monsieur, le premier président de Rouen. »
L. Led.
1896.
Le comte d’Argental. Le 27 juin. — « Je pars demain. »
B.
1897.
Au lieutenant général de police. — « Permettez qu’en partant pour Commercy. »
L. Led.
1898.
Du lieutenant général de police. — « J’ai reçu, monsieur, avec la lettre. »
L. Led.
1899.
Le comte d’Argenson. Commercy, 19 juillet 1748. — « Voulez-vous bien permettre. »
B.
1900.
La Noue, à l’hôtel des comédiens du roi, faubourg Saint-Germain. Commercy, 27 juillet. — « J’eus l’honneur en partant de Paris. »
B.
1901.
Le comte d’Argental. À Commercy, le 2 août 1748. — « Plus de Cirey, mes chers anges. »
B.
1902.
L’abbé de Chauvelin. À Commercy, ce 12 août. — « Je ne sais comment va votre santé. »
B.
1903.
Le lieutenant général de police. — « Je vous prie de vouloir bien. »
L. Led.
1904.
Le comte d’Argental. À Lunéville, 15 août. — « Souffrirez-vous, mon ange gardien. »
B.