Livre:Dauphin - L’Âme de mon violon, 1902.djvu
Apparence
Titre | L’Âme de mon violon : simple chanson en six couplets |
---|---|
Auteur | Léopold Dauphin |
Maison d’édition | L. Vanier, libraire-éditeur |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1902 |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | Terminé |
Pages
couv. - - - 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 np np - - - -
TABLE
Épigraphe : À travers les glaces sans tain
Dédicace. — L’âme de mon violon
I. — Au balcon.
Épigraphe : Aimons-nous, c’est la sagesse
I. Ce jour où t’accoudant au balcon sous les vignes
II. Ô le joli balcon béni de ta maison
III. Pour mieux t’illuminer et sourire à ma vie
IV. Je compris qu’à tes jours les miens étaient liés
V. De rester le sujet féal de Pâquerette
II. — Les Fiançailles.
Épigraphe : Je n’ai rien oublié de nos heures passées
I. Et le jour vint devant nos fiançailles
II. J’ai su ce que dit la rose
III. Ton âme où chante une fauvette
IV. Vois, près de la grille
V. Comme la neige, blanche, insigne
VI. Ce soir fleuri d’avril où ton beau jardin tresse
VII. Parmi les roses azalées
VIII. Dans ton verger l’été souvent
IX. Est-ce les lamelles en verre
X. Comme le soir descend dans une apothéose
XI. Et ce fut sur nos fronts toute une folle averse
XII. Ô l’ineffable rêve en ton cher paradis !
XIII. Ma volonté s’épuisant à nos larmes
XIV. Nous étions au jardin ; un régiment passa
III. — Les Noces
Épigraphe : Et là pour mieux griser d’un parfum
I. Vers la chapelle de la Vierge
II. Jusqu’aux poignets, en longue manche
III. Le matin nuptial dorait notre sommeil
IV. — Lune de miel.
Épigraphe : Lune de miel est bonne fille
I. Dans notre salle à manger
II. Le Bœdecker pris pour guide
III. C’est l’hiver à la veillée
IV. Au cabinet de toilette
V. Au piano j’improvise
VI. Souriant à nos vingt ans
VII. Suivant le temps et selon
VIII. Fi ! des villes de province
IX. C’est l’arrivée à Paris
X. À Montmartre l’on s’installe
XI. Dans l’avenir plein de foi
V. — Le Nid.
Épigraphe : Pour toi, Margot, rien que pour toi
I. Tu m’illuminas Paris
VI. — Demain.
Épigraphe : Nos cœurs ailés comme le son
I. Si les hiers furent cléments
II. Pitié pour l’âme qui vibre en mon violon
III. Pour à l’heure éternelle, y dormir protégée
IV. Éprise d’idéal et de sincérité
V. Souriras-tu, Margot, ou verrai-je tes pleurs ?