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—XVII. — Hypothèse de la lumière intellectuelle ; difficultés qu’elle entraîne ; comment elle sert à expliquer le soir et le matin, la séparation de la lumière d’avec les ténèbres.
—XVIII. — De l’activité divine.
—XIX. — Il faut s’interdire toute assertion hasardée dans les passages obscurs des saints Livres.
—XX. — But de l’auteur en expliquant la Genèse à divers point de vue.
—XXI. — Avantage d’un commentaire qui exclut toute proposition hasardée.
LIVRE II.
création du firmament.
Chapitre premier. — Que signifie le firmament au milieu des eaux ? — L’eau peut-elle, d’après les lois de la physique, séjourner au-dessus du ciel étoilé.
—II. — L’air est plus léger que la terre.
—III. — Le feu est plus léger que l’air.
—IV. — De l’opinion suivant laquelle le firmament ne serait que l’atmosphère.
—V. — L’eau suspendue au-dessus du ciel étoilé.
—VI. Faut-il voir dans le passage : « et Dieu fit le firmament, » etc. l’intervention directe du Fils.
—VII. — Continuation du même sujet.
—VIII. — Pourquoi l’expression : « et fecit Deus, » n’a-t-elle
pas été reproduite après la création de la lumière ?
—IX. — De la configuration du ciel.
—X. — Du mouvement du ciel.
—XI. — Que faut-il entendre par l’état informe de la terre.
—XII. — Pourquoi la formule « et cela se fit ainsi, » est-elle employée spécialement pour les plantes et les arbres.
—XIII. — Pourquoi les luminaires n’ont-ils été formés que le quatrième jour ?
—XIV. — Comment les luminaires du ciel servent-ils à marquer le temps, les jours, les années.
—XV. — De la lune.
—XVI. — De la lumière relative dés astres.
—XVII. — Révélation de l’astrologie.
—XVIII. — Qu’il est difficile de savoir si les astres sont gouvernés et animés par des esprits.
LIVRE III.
les êtres vivants.
Chapitre premier. — Pourquoi la création des poissons précède-t-elle,
dans le récit sacré, celle des oiseaux ? — Affinité entre l’eau et l’air, l’air, et le ciel.
—II. — Les cieux primitifs ont été abîmés dans les eaux du déluge, et l’airs est transformé en eau.
—III. — Opinions des savants sur la transformation des éléments. L’air n’est point omis dans la Genèse.
—IV. — Des rapports qui existent entre les quatre éléments et les cinq sens.
—V. — De la sensibilité de l’âme.
—VI. — L’air n’a point été omis par l’auteur de la Genèse.
—VII. — Il est probable que les oiseaux tirent leur origine de l’eau.
—VIII. — Pourquoi les poissons ont-ils été appelés reptiles à âmes vivantes.
—IX. — De la classification des êtres selon l’élément où ils vivent.
—X. — On peut accorder que les démons habitent l’air, sans contredire le récit où l’Écriture nous révèle que les poissons sont sortis des eaux. — Des météores.
—XI. — Des diverses espèces d’animaux créés de la terre.
—XII. — La formule « selon leur espèce, » n’est point employée pour l’homme.
—XIII. — Pourquoi la bénédiction divine n’a-t-elle été donnée qu’aux animaux tirés des eaux et à l’homme ?
—XIV. — De la création des insectes.
—XV. — Des animaux venimeux.
—XVI. — Pourquoi des espèces sont-elles ennemies ?
—XVII. — Pourquoi certains animaux dévorent-ils les cadavres.
—XVIII. — À quel moment et dans quel but ont été créés les chardons, les épines et, en général, les plantes stériles ?
—XIX. — Pourquoi le mot « faisons, » n’a-t-il été prononcé que dans la création de l’homme ?
—XX. — En quoi l’homme est-il fait à l’image de Dieu ? — Que la formule « il en fut ainsi, » n’est pas employée dans la création de l’homme ; et pourquoi.
—XXI. — Difficulté de concevoir l’immortalité jointe à la nécessité de se nourrir.
—XXII. — De l’opinion qui rapporte la création du corps et de l’âme à deux moments distincts.
—XXIII. — Du sens de la formule : « Cela se fit. »
—XXIV. — Pourquoi la création de l’homme n’a-t-elle pas été spécialement approuvée ?
LIVRE IV.
les jours de la création.
Chapitre premier. — Que faut-il entendre par les six jours.
—II. — Que le nombre 6 est un nombre parfait.
—III. — Explication du passage de la sagesse : « Dieu à tout disposé avec poids, nombre et mesure. »
—IV. — En Dieu la mesure, le nombre, le poids subsistent indépendamment du nombre, du poids, de la mesure.
—V. — C’est en Dieu qu’existe l’idée de mesure, de poids et de nombre qui préside à la disposition des objets.
—VI. — Comment Dieu voyait-il ces rapports.
—VII. — Comment découvrons-nous la perfection du nombre 6.
—VIII. — Du repos de Dieu le septième jour : quel sens faut-il attacher à ce mot ?
—IX. — Suite du chapitre précédent. — Le principe de la tristesse est quelquefois excellent.
—X. — Peut-on concevoir le repos en Dieu ?
—XI. — Le repos de Dieu au septième jour se concilie avec son activité continue.
—XII. — Nouvelle explication sur le même sujet.
—XIII. De l’observation du Sabbat. — Sabbat chrétien.