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Montesquiou - Les Perles rouges, 1899.djvu/203
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190
TABLE.
Pages.
XVIII. —
Sous les villosités violettes des tartres
36
XIX. —
Les feuilles mortes ont posé leur jaune bourre
38
XX. —
Sur les feuilles aux tons d’écaille et d’orichalque
40
XXI. —
Des bouquets de lilas, d’iris et de tulipe
42
XXII. —
Dans les brandons du Ciel qui brûle, je crois voir
44
XXIII. —
Les arbres d’un vert noir où le regard s’enfonce
46
XXIV. —
Ce sont filles de Rois que ces Grandes-Eaux Fées
48
XXV. —
Sur cette eau dont la Lune opalise le disque
50
XXVI. —
Le pétale de rose, aux murs d’Élagabale
44
XVII. —
La galerie où sont les glaces au cœur mol
54
XVIII. —
Ces bassins sont pour moi le baquet de Mesmer
56
XXIX. —
Les caisses en argent des orangers en fleurs
58
XXX. —
Belle urne de Paros, blancs vases de Carrare
60
XXXI. —
Véhicules pompeux de baptême ou de sacre
62
XXXII. —
Louis Treize est un roi fauconnier ; ses gerfauts
64
XXXIII. —
Louis Quatorze, le Grand Roi, le Roi-Soleil
66
XXXIV. —
Parfois Louis Quatorze en perruque a souri
68
XXXV. —
La Vallière est boiteuse : elle a de doux écarts
70
XXXVI. —
Il te faut enfanter parmi la tubéreuse
72
XXXVII. —
Dénouant ses liens et coupant ses cheveux
74
XXXVIII. —
L’antique bénitier de Saint-Louis-en-l’Isle
76
Catégorie
:
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