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1745.
Le comte Algarotti. Parigi, 27 giugno. — « Signor mio illustrissimo e principe colendissimo. »
B.
1746.
Le marquis d’Argenson. 28 juin. — « On pretend que vous donnerez. »
C. et F.
1747.
Le marquis d’Argenson. À Champs, 4 juillet 1745. — « Vous allez donc faire le siège. »
C. et F.
1748.
La marquise de Pompadour. — « Sincère et tendre Pompadour. »
B.
1749.
De la princesse Ulrique. — « Je m’étais réservé le plaisir. »
B.
1750.
Maupertuis. Paris, samedi 31 juillet. — « On dit que vous partez ce soir. »
B.
1751.
Le marquis d’Argenson. Le 10 août 1745. — « Je viens de recevoir le portrait. »
B.
1752.
Benoît XIV. Parigi, 17 agosto. — "Beatissimo Padre, ho ricevuto. »
B.
1753.
Mgr Leprotti, archidiacre pontifical. Parigi, 17 agosto. — « Mi pare che un poema nel quale. »
Cour. d’It.
1754.
Cardinal Passionei. Parigi, 17 agosto. — « Eminenza, mi sono lusingato. »
F. Tr.
1755.
Le marquis d’Argenson. Le 17 août. — « J’ai envie de ne point jouir. »
B.
1756.
Le cardinal Querini. Parigi, 17 agosto. — « La perfetta conoscenza. »
B.
1757.
Le marquis d’Argenson. À Étiolles, le 19 août. — « Je ne crains pas, monseigneur, malgré votre belle modestie. »
B.
1758.
Mgr G. Cerati. Parigi, 20 agosto. « Signore illustrissimo e padrone. »
B.
1759.
Le président Hénault. Août. — « Vous devez avoir reçu. »
B.
1760.
L’abbé de Voisenon. — « Vous êtes dans le beau pays. »
B.
1761.
Le marquis d’Argenson. Le 28 septembre 1745. — « Je reçois, monseigneur, votre lettre. »
B.
1762.
Richelieu. — « Le malingre Voltaire ne put hier. »
C. et F.
1763.
Le marquis d’Argenson. Du 29. — « Voici ce que je viens de jeter. »
B.
1764.
M. Falkener, secrétaire du duc de Cumberland. Paris, ce 1er octobre 1745. — « Sir, you hear a name that I love. »
C. et F.
1765.
Le comte d’Argental. À Fontainebleau, ce 5 octobre. — « Vraiment les grâces célestes. »
B.
1766.
Cideville. Le 6 octobre. — « Lorsque tu fais un si riche tableau. »
B.
1767.
Le cardinal Passionei. Fontainebleau, 12 octobre. — « J’ai reçu une lettre en français. »
Am. d’aut.
1768.
Le marquis d’Argenson. À Paris, ce 20 octobre. ‑ « Il n’y a pas de soin que je ne prenne. »
B.
Billet rajouté : « Voici, monseigneur, ce qui m’a passé par la tête. »
1769.
Moncrif. — « Le petit billet de mon cher sylphe. »
C. et F.
1770.
Le marquis d’Argenson. À Champs, ce 23 octobre. — « Vraiment, ce que je vous ai proprosé. »
B.
1771.
Falkener. Paris, 23 octobre. — « My dear and honorable friend, how could. »
C. et F.
1772.
Richelieu. Octobre. — « Je n’ai pas osé troubler mon héros. »
C. et F.