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TABLE DES MATIÈRES

CHAPITRE III

LE PETIT BLEU

I. L’État-Major général ; Miribel et Boisdeffre, 200. — Gonse, 202, — II. Le commandant Picquart, 203. — Sa carrière militaire, 205. — III. Rôle de Picquart dans l’affaire Dreyfus, 207. — IV. Maladie de Sandherr, 211. — Cordier, 212. — V. Picquart nommé chef du bureau des Renseignements, 213. — Boisdeffre lui prescrit de poursuivre l’enquête sur Dreyfus ; conversation avec Sandherr, 214. — Picquart abusé par Henry, 215. — VI. Picquart et Gribelin, 217. — Piège tendu par Henry à Dreyfus, 218. — L’espionne italienne, 219. — Un brouillon de Schwarzkoppen, 220. — Les « fuites » continuent, 224. — Hecquet d’Orval, 225. — VII. Réformes apportées par Picquart au fonctionnement du service, 226. — Les cornets de la femme Bastian, 228. — Consigne de Picquart violée par Henry, 229. — VIII. Picquart promu lieutenant-colonel, 231. — Leblois, 232. — Leblois au ministère, 233. — L’affaire Boulot, 235. — Le dossier des pigeons voyageurs, 237. — IX. La femme Bastian et Henry, 238. — Arrivée du petit bleu par le cornet, 239. — Lauth le recolle ; il l’apporte à Picquart, 240. — X. Henry informé par Lauth, 242. — Comment Schwarzkoppen déchira la carte-télégramme qu’il adressait à Esterhazy, 244. — XI. Réflexions de Picquart, 245. — Il craint un piège, 246. — Il ne fait pas part à ses chefs de sa trouvaille, 247. — Conversation avec Curé au sujet d’Esterhazy, 248. — Conversation avec Henry, 249. — L’agent Desvernine chargé de surveiller Esterhazy, 251. — XII. Henry prévient Esterhazy, 251. — Esterhazy se rend ouvertement à l’ambassade d’Allemagne, 252. — Premiers rapports de Desvernine, 253. — XIII. Lauth photographie le petit bleu, 255. — XIV. Intrigues d’Henry contre Picquart, 257. — Conversations avec Lauth et Gribelin, 259. — Entretien de Picquart et de Lauth au sujet du petit bleu, 260. — Autres manœuvres d’Henry, 263. — Gribelin dit à Lauth que Picquart s’imagine « qu’Esterhazy est coupable à la place de Dreyfus », 265. — XV. Le colonel de Foucault et Richard Cuers, 267. — Picquart écrit à Boisdeffre, 270. — XVI. Il envoie Lauth et Henry à Bâle pour s’y rencontrer avec Cuers, 271. — XVII. Entrevue de Bâle, 273. — XVIII. Récit qu’en font Lauth et Henry, 275. — XIX. Récit qu’en fait Cuers, 279. — XX. Retour de Boisdeffre à Paris ; Picquart l’informe de ses soupçons sur Esterhazy, 281. — Les cent mille francs du service des