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Aimard - Les Peaux-Rouges de Paris III.djvu/410
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XVI. —
Comment M. Pascal Bonhomme, ancien chef de la brigade de sûreté, se trouva seul de son avis, et refusa de donner sa langue aux chiens
165
XVII. —
Dans lequel ont voit réunie chez la Marlouze une fort jolie collection de coquins, appartenant à l’armée roulante parisienne
188
XVIII. —
Où il est prouvé que le Loupeur est un bandit complètement dénué de délicatesse, et que le policier a eu tort d’accuser miss Lucy Gordon
211
XIX. —
Où le lecteur assiste aux premiers tâtonnements de la piste de guerre dans la forêt parisienne et aux ébahissements d’un célèbre policier, complètement dérouté par l’emploi de procédés à lui inconnus
233
XX. —
Dans lequel le lecteur est rassuré sur le sort de Fil-en-Quatre, et assiste à une conversation entre coquins, très intéressante
257
XXI. —
Comment le Loupeur reçut une visite à laquelle il ne s’attendait pas, et de quelle façon il quitta son domicile
282
XXII. —
Pourquoi Williams Fillmore,
Alias
Navaja, fit une visite à M. Julian d’Hérigoyen, et ce qui s’ensuivit
306
XXIII. —
Dans lequel deux fantômes se retrouvent à l’improviste en présence et ce qui en advient
334
XXIV. —
Comment les coureurs des bois atteignirent enfin le bout de leur double piste, et comment Felitz Oyandi eut une discussion orageuse avec Dardar, et ce qui s’ensuivit
357
XXV. —
Comme quoi le sanglier, forcé dans sa bauge, fit tête à la meute, et fut enfin réduit aux abois
384
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