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TABLE DES MATIÈRES.
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Chap. V. Le Saint-Esprit est Dieu.
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VI. De la sainte Église.
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VII. Les péchés les plus griefs remis dans le baptême, et les péchés véniels dans l’Oraison dominicale.
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VIII. Trois moyens différents d’obtenir la rémission des péchés.
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IX. De la résurrection de la chair pour la vie éternelle.
DE LA DISCIPLINE CHRÉTIENNE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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II. Qu’est-ce que bien vivre.
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III. Commandement d’aimer Dieu et le prochain.
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IV. Comment doit s’aimer celui à qui il est ordonné d’aimer son prochain comme lui-même.
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V. Amour pernicieux pour le prochain.
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VI. Le bonheur de l’homme consiste à aimer Dieu.
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VII. L’envie est un vice diabolique, issu de l’orgueil.
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VIII. Diminuer, par l’aumône, le fardeau des richesses.
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IX. Éviter les pernicieux discours des avares.
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X. L’aveuglement des avares.
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XI. Apprendre les lettres dans un but temporel.
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XII. la bonne mort préparée par une bonne vie.
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XIII. Les bons et les mauvais auditeurs.
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XIV. Quel est le véritable maître ?
DU CANTIQUE NOUVEAU
ET
DU RETOUR A LA CÉLESTE PATRIE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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II. Batoas notre marche vers la patrie.
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III. Do la voie terrestre vers la patrie.
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IV. Différentes espèces de voyageurs.
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V. La vraie et la fausse prédication.
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VI. Erreur des Manichéens.
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VII. Erreur des Ariens.
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VIII. Hérésie des Pélagiens.
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IX. Réfutation des hérésies.
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X. Exhortation aux catéchumènes.
DE L’UTILITÉ DU JEÛNE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
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II. Le jeûne nous place entre les hommes charnels et les anges.
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III. Le jeune nécessaire pour dompter la chair.
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IV. Erreur des Manichéens sur la lutte de la chair et de l’esprit.
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V. On doit quelquefois refuser à la chair des plaisirs même permis.
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VI. L’harmonie des membres du corps invite les hérétiques à rentrer dans l’unité.
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VII. Unité des païens dans le culte des idoles.
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VIII. La charité c’est la vie ; la dissension c’est la mort.
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IX. Rien n’est à négliger pour ramener les hérétiques à l’unité.
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X. Zèle persévérant pour la conversion des hérétiques obstinés.
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XI. Contre les hérétiques qui déchirent l’Église.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
— CHAPITRE PREMIER. L’exemple de Daniel confessant ses péchés, proposé à ceux dont la ruine de Rome soulève les murmures contre Dieu.
— II. Pourquoi Dieu n’a-t-il pas épargné Rome, en faveur des justes qui l’habitaient ?
— III. Les malheurs de Job surpassent encore ceux de la ville de Rome.
— IV. Les souffrances temporelles comparées à l’enfer.
— V. Rome possédait-elle des justes qui pussent lui mériter son salut ?
— VI. Dans quel sens peut-on dire que Dieu épargna Rome, en considération des justes.
— VII. Constantinople et Rome.
— VIII. Utilité des tribulations temporelles.