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LXVIII. — 

Dame, pour Dieu, mercy vous ciy 

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LXIX. — 

Sire, de si tost vous amer  

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LXX. — 

Que vigour et cuer me fault  

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LXXI. — 

Doulce dame, je me rens a vous pris  

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LXXII. — 

Ne sçay qu’on vous a raporté  

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LXXIII. — 

Las ! que feray, douice dame, sanz vous ? 

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LXXIV. — 

Je vous laisse mon cuer en gage  

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LXXV. — 

Ne vous oubli je nullement  

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LXXVI. — 

De son ami, désirant qu’il reviegne  

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LXXVII. — 

Dame, qu’a vous servir j’entende 

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LXXVIII. — 

Qui tant de maulz et tant d’auuis nous fait ! 

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LXXIX. — 

Si vous en cry mercy très humblement  

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LXXX. — 

Voulez vous donc que je muire pour vous ? 

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LXXXI. — 

Prenez en gré le don de vostre amant 

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LXXXII. — 

Le dieu d’amours m’en soit loial tesmoins 

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LXXXIII. — 

Ha desloial ! comment as tu le cuer ? 

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LXXXIV. — 

Se vous me faittes tel grief  

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LXXXV. — 

Mais, se Dieux plaist, j’en seray plus prochains 

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LXXXVI. — 

Se les fables dient voir 

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LXXXVII. — 

À Dieu vous di, gracieuse aux beaulz yeux 

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LXXXVIII. — 

Ce sera fort se je vif longuement ! 

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LXXXIX. — 

Ou autrement l’amour est fausse et fainte 

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XC. — 

Balade pouetique. Il y morra briefment, au mien cuidier 

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XCI. — 

N’il n’est si bon qu’ilz n’y treuvent a dire 

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XCII. — 

Ainsi est il de vous certainement,
En qui Dieux a toute proece assise

 

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XCIII. — 

Il a assez science acquise 

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XCIV. — 

Mais fol ne croit jusqu’il prent 

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XCV. — 

Nostre bon Roy qui est en maladie 

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XCVI. — 

S’il n’a bonté, trestout ne vault pas maille 

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XCVII. — 

Se font pluseurs sages qui font a croire  

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XCVIII. — 

Qui des sages font grant derrision  

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XCIX. — 

Dieux nous y maint trestous a la parclose ! 

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C. — 

En escrit y ay mis mon nom 

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VIRELAYS

I. — 

Je chante par couverture  

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II. — 

Amis, je ne sçay que dire  

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III. — 

Pour le grant bien qui en vous maint  

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IV. — 

Comme autre fois me suis plainte 

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