« De Paris à Bucharest » : différence entre les versions
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Version du 12 avril 2020 à 20:01
I
Lettre introductive.
II
Dans l’Île-de-France et la Champagne.
La chemin de fer et la diligence. — Les Mortemart et les Clicquot. — La craie champenoise. — L’Ay et l’empereur Wenceslas. — La maréchale d’Estrées et le duc de Montébello. — Gloire récente du mousseux. — Quatre-vingt-dix-neuf moutons. — Un paysage de la Champagne Pouilleuse. — Pourquoi Champaubert et Montmirail sont-ils où les Prussiens les ont trouvés ?
III
Entre Champagne et Lorraine.
La Champagne et un moine tonsuré. — Les hauts fourneaux de la Blaise. — L’Argonne et Goethe.
IV
En Lorraine.
La Lorraine est une place forte. — Bar-le-Duc. — Commercy et le cardinal de Retz. — Les monastères d’autrefois et les usines d’aujourd’hui. — Les vins lorrains. — La croix de pierre de l’Étang-Saint-Jean. — Pourquoi les Évêchois ? — Un camp volant. — Vue de montagne en chemin de fer.
V
En Alsace.
Deux ennemis. — Une Venise allemande. — Du haut du Münster ; Castor et Pollux. — Les cigognes. — L’Alsace à vol d’oiseau.
VI
Au bord du Rhin.
L’île des Épis et Desaix. — Le pont de Kehl. — Les allures du fleuve. — Concurrence du canal. — L’homme rouge et jaune. — Les chutes de Lauffen et Montaigne. — Voltaire et Goethe en Alsace. — Les châteaux et les ondines du Rhin.
VII
Dans le grand-duché de Bade.
Première apparition de l’Allemagne militaire. — La coiffure d’assaut. — Time is money. — Un gardien d’une Wartsaal. — Le jardin de l’Europe. — Près de Baden-Baden. — Turenne et Erwin de Steinbach. — Rastatt et la veste autrichienne. — Calsruhe. — Inconvénients et avantages des villes trop jeunes. — Le salut allemand. — Dans le parc de Carlsruhe.
VIII
Sur la frontière du Wurtemberg.
Bruchsal, 7 août. — Paul de Kock et la Bibliothèque des chemins de fer. — Le goût de la duchesse du Maine.
IX
Dans le Wurtemberg.
Stuttgart, 8 août. — Les wagons wurtembergeois. — La sentimentalité et la rêverie allemandes. — Quatre étudiants. — Sous le cimetière de Bruschal. — Le Schwartzwald et les routes des armées. — Paysage de la forêt Noire. — Le bassin du Neckar. — Le gothique neuf. — Ludwigsbourg.
X
À Stuttgart.
Différences nationales de l’ivresse. — Une erreur de naissance. — La France en Allemagne. — Une couronne royale sur les toits. — Les vainqueurs de la Fère et de Brienne. — Le palais du roi. — Les Vénus du roi Guillaume et la statue de Schiller. — Les cuisines royales et leur suisse.
XI
De Stuttgart à Ulm.
La Wilhelma. — L’Alpe de Souabe et l’Alp-Rude. — Le Hohenstaufenberg et les oiseaux noirs. — La porte de l’Orient.
XII
À Ulm.
Vue du Danube à vol d’oiseau. — Le vieux père et la vieille mère de la blonde Germanie. — Un grand fleuve est un personnage historique. — L’Allemagne est un carré et la France un cercle. — La poésie du Danube. — Ses villes, ses ponts et ses forteresses. — Ulm. — Une erreur de la nature pour les Bavarois. — Une traînée de sang et de gloire.
XIII
Entre Wurtemberg et Bavière.
Le Wurtemberg et la Lorraine. — Population. — Transformation de la propriété. — La plume et le bâton. — Les moutons wurtembergeois à Poissy. — Commerce.
XIV
En Bavière ; Ausbourg.
Les Amazones aïeules des Augsbourgeois. — Traitement des fonctionnaires payé en truites. — Les bonnets bavarois et la confession d’Augsbourg. — La guerre à l’hôpital Saint-Jacques. — Le feu de la Saint-Jean et Perlach Michel. — La raison et l’architecture. — Le Falerne d’Horace. — Un club littéraire et l’éloquence des maillets. — Les premières pipes allemandes. — Deux voyageurs : l’un qui arrive à tout, l’autre qui n’arrive à rien.
XV
À Munich.
Les villes nécessaires et les villes artificielles. — Munich est né de la querelle d’un duc et d’un évêque. — Le roi Louis. — Un coup de cravache. — Munich à vol d’oiseau. — La vieille ville et la nouvelle ville. — L’architecture : un musée de pastiches pris pour une renaissance. — La Rumeshalle et la Bavaria. — La Siegesthor et ses lions. — L’obélisque de bronze et l’obélisque de pierre.
XVI
Suite de Munich.
La sculpture et la peinture ; la Glyptothèque et les marbres d’Égine. — La peinture ; la Pinacothèque ; Albert Durer et Rubens. — Les fresques. — Faut-il des fresques à Munich, et l’architecture est-elle la servante de la peinture ? — Munich une des capitales du nouvel art chrétien. — Origine de cette renaissance catholique.
XVII
Suite de Munich.
La colonie allemande à Rome. — Le mysticisme d’Overbeck et les synthèses génésiaques de Cornélius. — La maladie du cosmos et la peinture philosophique. — Infécondité des hybrides.
XVIII
Suite de Munich.
La brasserie royale. — Une manière de monter la garde à Munich. — Les balafres des étudiants. — Une cérémonie funèbre. — Les cimetières. — L’Angelus. — La retraite. — La procession de la Fête-Dieu. — Le masque olympien de Gœthe.
XIX
De Munich à Ratisbonne.
Landshut. — Les hauteurs d’Altdorf. — La grande plaine bavaroise. — De Kelh à Munich, trois régions distinctes et trois États. — Abensberg et Eckmühl.
XX
À Ratisbonne.
Une ville au clair de la lune. — Ratisbonne est une nécessité géographique. — Le canal Louis. — La navigation du Danube.
XXI
Suite de Ratisbonne.
La bière de l’évêque. — Un Français au four. — Des chevaux logés comme des princes. — Une héroïne de Jules Janin.
XXII
De Ratisbonne à Passau.
Les ruines et la sombre fiancée. — Un paysan du Danube. — Straubing, Agnès Bernauer et une reine d’Égypte. — Les pèlerins du Danube et Satan. — Hohenlinden. — Le pont du Dampschiff.
XXIII
De Passau à Lintz.
Passau et ses trois fleuves. — Harmonie entre la plaine et les montagnes. — Le sanctuaire de Mariahilf. — Une troupe de pèlerins à bord du Dampschiff.
XXIV
De Passau à Lintz (suite).
L’entrée en Autriche. — Pourquoi se trouve-t-il moins de ruines féodales sur le Danube que sur le Rhin. — Le Traunstein et Louis XVI.
XXV
De Lintz à Vienne par la Danube.
Le losange des montagnes de Bohême. — Importance militaire de Lintz. — Le char d’Indra. — Le Strudel et le Wirbel. — Les caves de l’abbaye de Mœlk.
XXVI
De Lintz à Vienne par le chemin de fer.
Le marché de Lintz. — Un enterrement. — Aspect des campagnes de l’archiduché. — Un homme coiffé d’une chouette. — L’architecture polychrome et féodale. — Un Milanais autrichien.
XXVII
Vienne.
M. de Metternich botaniste. — E pure si muove. — Le Prater et le bois de Boulogne. — La nuit officielle. — L’Opéra. — La moralité viennoise et la littérature autrichienne. — Un sac vide ne peut se tenir debout.
XXVIII
Suite de Vienne.
Schœnbrunn. — Pourquoi Louis XIV portait les cheveux si longs et pourquoi le Nôtre taillait les arbres si court. — Le Belvédère. — De la ferraille héroïque. — Un cheval emporté et un général méthodique. — Le Saint-Denys de l’Autriche. — Saint-Étienne ; une cloche patriotique.
XXIX
Suite de Vienne.
Les deux parties de la ville. — Le Léopoldsberg. — Pourquoi Vienne se trouve-t-elle où elle est ? — Le Wienerwald limite de deux régions géographiques. — Rapport entre l’histoire et la géographie de l’Autriche.
XXX
De Vienne à Presbourg.
Un village de moulins. — La Lobau. — Les Français et les Turcs à Vienne ; une grande ingratitude. — L’ancien Carnuntum ; pourquoi Vienne a pris son rôle ? — Hainbourg et la porte de Hongrie. — La March. — Theben. — Presbourg.
...
LVII
d’argis à cosia.
Escalade du Gibla. — Traversée de l’Olto. — Un village d’affranchis. — Un mauvais pas. — Nouveau genre de locomotion.
LVIII
le couvent de cosia.
Délabrement. — Misère. — Folie. — Cosia n’est pas un évêché. — Paysages. — Souvenirs des temps romains.
LIX
cours de l’olto.
Les orpailleurs. — Richesses minéralogiques. — Les salines. — Prévoyance de l’administration.
LX
de cosia à intrulemn’ű.
Romnic (la Rome du Vallon). — La roue cassée. — Intrulemn’ű. — Sa légende. — Un cimetière.
LXI
à intrulemn’ũ
Un couvent-école. — Des confitures à propos d’un couvent de femmes. — Les Tziganes, leur origine, leur caractère. — Un village des Tziganes chrétiens.
LVII
d’intrulemn’ű à orèzu.
Départ d’Intrulemn’ű. — Les fontaines en Valachie. — Le monastère d’Orèzu. — L’igoumène. — Croyances populaires. — Superstitions. — Sorcellerie.
LXIII
mœurs roumaines.
Demandes en mariage. — Fiançailles. — Fêtes religieuses. — Funérailles. — Culte des mânes.
LVII
à orèzu.
L’étiquette du monastère. — Les moines. — Les lois de servitude. — Un paysan de l’Olto. — Le chant du Pruth. — Souvenirs des Russes.
LXV
la maison rustique de la valachie.
Chevaux, ânes et mulets. — Bœufs. — Buffles. — Brebis, laines et tissus de laine. — Chèvres, porcs, etc.
LXVI
bistriza.
Le monastère et son Igoumène.
LXVII
polovrad’j.
Montagnes et forêts. — Industries forestières. — Prairies et pâturages. — Polovrad’j.
LXVIII
polovrad’j (suite).
La nature. — Baïa-de-Fier. — Danger de monter un cheval borgne. — De Polovrad’j à Tirgu-Giulu.
LXIX
tirgu-giulu.
L’invasion des sauterelles. — Une partie de trente et un. — Les aïeux du poëte Ronsard. — Un hospodar poëte. — Une fable.
LXX
tizmana.
Un curé de campagne. — Le monastère de Tizmana. — Un homme sous un moine. — Une prière. — Tchoclovin. — Souvenir des Turcs. — Un centenaire. — Un bandit orthodoxe.
LXXI
de tizmana à témesvar.
Baïa-de-Arama. — Turnu-Sévérinu. — Orsova. — Méhadia. — Témesvar.