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TABLE DES MATIÈRES.


Chap. XXIX. De la fausseté du présage sur lequel les Romains fondaient la puissance et la stabilité de leur empire.
XXX. Ce que pensaient, de leur propre aveu, les païens eux-mêmes touchant les dieux du paganisme.
XXXI. Varron a rejeté les superstitions populaires et reconnu qu’il ne faut adorer qu’un seul Dieu, sans être parvenu toutefois à la connaissance du Dieu véritable.
XXXII. Dans quel intérêt les chefs d’État ont maintenu parmi les peuples de fausses religions.
XXXIII. La durée des empires et des rois ne dépend que des conseils et de la puissance de Dieu.
XXXIV. Le royaume des juifs fut institué par le vrai Dieu et par lui maintenu, tant qu’ils persévérèrent dans la vraie religion.
Chapitre premier. La destinée de l’empire romain et celle de tous les autres empires ne dépendent ni de causes fortuites, ni de la position des astres.
II. Ressemblance et diversité des maladies des deux jumeaux.
III. De l’argument de la roue du potier, allégué par le mathématicien Nigidius dans la question des jumeaux.
IV. Des deux jumeaux Esaü et Jacob, fort différents de caractère et de conduite.
V. Preuves de la vanité de l’astrologie.
VI. Des jumeaux de sexe différent.
VII. Du choix des jours, soit pour se marier, soit pour semer ou planter.
VIII. De ceux qui appellent destin l’enchaînement des causes conçu comme dépendant de la volonté de Dieu.
IX. De la prescience de Dieu et de la libre volonté de l’homme, contre le sentiment de Cicéron.
X. S’il y a quelque nécessité qui domine les volontés des hommes.
XI. La Providence de Dieu est universelle et embrasse tout sous ses lois.
XII. Par quelles vertus les anciens Romains ont mérité que le vrai Dieu accrût leur empire, bien qu’ils ne l’adorassent pas.
XIII. L’amour de la gloire, qui est un vice, passe pour une vertu, parce qu’il surmonte des vices plus grands.
XIV. Il faut étouffer l’amour de la gloire humaine, la gloire des justes étant toute en Dieu.
XV. De la récompense temporelle que Dieu a donnée aux vertus des Romains.
XVI. De la récompense des citoyens de la Cité éternelle, à qui peut être utile l’exemple des vertus des Romains.
XVII. Les victoires des Romains ne leur ont pas fait une condition meilleure que celle des vaincus.
XVIII. Les chrétiens n’ont pas à se glorifier de ce qu’ils font pour l’amour de la patrie céleste, quand les Romains ont fait de si grandes choses pour une patrie terrestre et pour une gloire tout humaine.
XIX. En quoi l’amour de la gloire diffère de l’amour de la domination.
XX. Il n’est guère moins honteux d’asservir les vertus à la gloire humaine qu’à la volupté.
XXI. C’est le vrai Dieu, source de toute-puissance et providence souveraine de l’univers, qui a donné l’empire aux Romains.
XXII. La durée et l’issue des guerres dépendent de la volonté de Dieu.
XXIII. De la guerre contre Radagaise, roi des Goths, qui fut vaincu dans une seule action avec toute son armée.
XXIV. En quoi consiste le bonheur des princes chrétiens, et combien ce bonheur est véritable.
XXV. Des prospérités que Dieu a répandues sur l’empereur chrétien Constantin.
XXVI. De la foi et de la piété de l’empereur Théodose.
Chapitre premier. De ceux qui prétendent adorer les dieux, non en vue de la vie présente, mais en vue de la vie éternelle.
II. Sentiment de Varron touchant les dieux du paganisme, qu’il nous apprend à si bien connaître, qu’il leur eût mieux marqué son respect en n’en disant absolument rien.
III. Plan des antiquités de Varron.
IV. Il résulte des dissertations de Varron que les adorateurs des faux dieux regardaient les choses humaines comme plus anciennes que les choses divines.
V. Des trois espèces de théologies distinguées par Varron, l’une mythique, l’autre naturelle, et l’autre civile.
VI. De la théologie mythique ou fabuleuse et de la théologie civile, contre Varron.
VII. Il y a ressemblance et accord entre la théologie mythique et la théologie civile.
VIII. Des interprétations empruntées à la science de la nature par les docteurs du paganisme, pour justifier la croyance aux faux dieux.
IX. Des attributions particulières de chaque dieu.
X. De la liberté d’esprit de Sénèque, qui s’est élevé avec plus de force contre la théologie civile que Varron contre la théologie fabuleuse.
XI. Sentiment de Sénèque sur les Juifs.
XII. Il résulte évidemment de l’impuissance des dieux des Gentils en ce qui touche la vie temporelle, qu’ils sont incapables de donner la vie éternelle.
Chapitre premier. Si le caractère de la divinité, lequel n’est point dans la théologie civile, se rencontre dans les dieux choisis.
II. Quels sont les dieux choisis et si on les regarde comme affranchis des fonctions des petites divinités.
III. On ne peut assigner aucun motif raisonnable du choix qu’on a fait de certains dieux d’élite, plusieurs des divinités inférieures ayant des fonctions plus relevées que les leurs.
IV. On a mieux traité les dieux inférieurs, qui ne sont souillés d’aucune infamie, que les dieux choisis, chargés de mille turpitudes.