Voyage en Espagne (Doré et Davillier)
Apparence
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- De Perpignan à Barcelone. — De Perpignan à Figueras. — Gerona. — Les serenos. — Le torrent des Manol. — La noria. — Le chemin de fer de Tordera à Barcelone. — Arrivée à Barcelone. Les églises. — Les mendiants. — Une nécropole aérienne. — Une exécution capitale ; le garrote. — Une complainte catalane. — Un bal champêtre. — Les prisons de l’inquisition. — Monserrat. — Tarragone.
- De Barcelone à Valence. — De Barcelone à Valence. — Les brigands espagnols. — La diligence, la galère et autres véhicules. — Le mayoral, le zagal et le delantero. — Tortosa. — Vinaroz. — Murviédro et son théâtre antique.
- Valence. — Valencia del Cid. — Les abradores et les costumes. — La Llotja de seda. — L’orchata de chufas. — La seu. — Le Gualadaviar. — Les irrigations et le tribunal des eaux. — La bandarria, la citara, et la dulzayna.
- Valence (suite). — La bibliothèque. — Le musée de la Merced et ses palmiers. — Les mozos de la esouadras. — La tartana. — Ancienneté de la tauromachie. — Le Cid Campeador. — Rois d’Espagne toreros. — Costillares. — Pedro Romero et ses cinq mille six cents taureaux. — Pepe Illo et son livre. — Une école royale de tauromachie. — Montés et le Chiclanero. — Les ganaderias. — La herradura. — Les novillos. — Vaqueros et cabestros. — Voyage des taureaux. — L’encierro et l’apartado. — La plaza de Toros. — Affiches et programmes des courses. — Arrivée de la cuadrilla. — Les toreros.
- Valence. — Combat de taureaux. — Un combat de taureaux à Valence. — Le despejo. — Le défilé de la Cuadrilla : les Alguaciles. — Les espadas, les banderilleros, les chulos et les picadores. — La sortie du taureau. — Les suertes et les cogidas. — Le picador Casderon et sa blessure. — Un quite. — Pedro Romero et les picadores. — El Gordito. — Le Tato. — L’épée et la muleta. — La estocada a Volapies. — Une avalanche de sombreros. — Le cachetero. — Les tiros de mules. — Les banderillas de fuego. — Le sobresaliente. — Les suertes de capa. — El Gordito Sentado. — Un banderillero accroché. — Les taureaux sauteurs. — La suerte de descabellar.
- Valence (suite). — L’Albuféra de Valence. — La pêche et la chasse, les batidas ; les phénicoptères. — Alcira et Carcagente. — Les oranges du royaume de Valence. — La huerta de Gaudia. — La pita et son emploi. — Denia. — Alcoy.
- D’Alcoy à Orihuela. — La fête de saint Georges à Alcoy ; un combat entre les chrétiens et les Mores. — Jativa. — Almanza. — Albacete : Navajas, cuchillos et puñales. — D’Albacete à Alicante. — Le marquis de Villena. — Une noce à la posada. — Elche et sa forêt de palmiers. — Les dattes et les palmes.
- D’Orihuela à Grenade. — Orihuela et sa huerta. — Murcie. — La fête du Corpus Domini. — La Cruz de Caravaca. — Carthagène. — Totana. — Les gitanos. — Lorca ; le pantano de Puentes. — Velez-Rubio. — Cullar de Baza ; une population troglodyte. — Baza. — Guadiz. — Diezma ; la toilette d’une gitana. — Arrivée à Grenade.
- Grenade. — Une Casa de Pupilos. — Le Patio. — Les rues de Grenade. — Les louanges des poëtes arabes. — Les origines de Grenade : l’ancienne Karnattah phénicienne ; l’Illiberis des Romains. — Les Goths et les Arabes. Ibn.-Al-Hamar. — Guerres civiles. — Grandeur et décadence de Grenade. — La Calle de los Gomélés. — La Puerta de las Granadas. — Le Bosque de la Alhambra. — Le Pilar de Carlos Quinto. — La puerta Judiciaria ; la Main et la Clef. — La Plaza de los Algibes. — La Puerta del Vino. — Le palais de Charles-Quint. — Les vases de l’Alhambra.
- Grenade (suite). — La fondation de l’Alhambra. — Les gouverneurs et leurs dévastations. — La tour de los Siete Suelos. — Les revenants de l’Alhambra : le cheval sans tête, le fantôme velu, le toro feroz et son trésor. — La Alcazaba, la tour del Homenage et celle de la Vela. — La cloche et les jeunes filles. — La capitulation de Grenade. — L’entrée de la casa Real. — Le palais de l’Alhambra. — Le Patio de la Alberca ou de los Arrayanes. — Andrea Navagero, ambassadeur vénitien, visite l’Alhambra en 1524. — Le Patio de los Leones, la Taza de los Leones, les taches de sang. Comment les Abencerrages ont réellement existé. — Les Zégris en massacrent trente-six dans la cour des Lions.
- Grenade (suite). — La salle des Abencerrages ; encore des taches de sang ; histoires de revenants : les ombres des chevaliers abencerrages. — La sala de las dos Hermanas. — La sala de los Embajadores ; le plafond Artesonado ; les Azulejos. — Réponse d’un roi de Grenade ; le récit d’un chevalier zégri : la revanche des Abencerrages ; la Hermosa Galiana. — Le Peinador de la reina. — Le jardin de Lindaraja. — Le Mirador. — Les Baños de la sultana. — La sala de Secretos. — La Mesquita ou Capilla real. — Le Patio de la Reja. — Les peintures de la sala del Tribunal. — Le Généralife, les cyprès de la sultane. — La Sella del Moro. — Les Carmenes del Darro. — La Fuente del Avellano ; les villas moresques en 1524. — Le Darro et son or. — La Plaza Nueva et le Zacatin. — La cathédrale de Grenade ; Alonzo Cano. — La real Capilla ; la Reja ; les tombeaux de Philippe le Beau et de Jeanne la Folle, et celui des rois catholiques.
- Grenade (suite). — Le palais de l’archevêque. — La Plegaria. — La Plaza de Bibrambla ; joutes et tournois moresques ; l’auto-da-fé du cardinal Ximenès. — La porte des Oreilles. — La rue des Couteaux et la rue des Cuillers. — La place des Loups. — l’Alcaiceria. — Le musée. — Le couvent de Santo Domingo ; Gonzalve de Cordoue, le grand capitaine. — La chapelle de l’Ave Maria ; Hernan Perez del Pulgar. — La Cartuja. — La Carrera de las Angustias. — Mariana Pineda. — Le Salon. — Le Genil ; Boabdil et Ferdinand. — L’Albayzin. — La casa del Chapiz. — Le Cuarto Real. — Les bains moresques. — Philippe II défend aux Morisques de se baigner. — Le Sacro Monte. — Un faubourg souterrain. — Les gitanos anthropophages. — Les Vulcains du Sacro Monte. — Maquignonnage et sorcellerie. — Le bohémien Rico. — Un bal de gitanas ; nos succès comme danseurs. — La Pelra. — Le Zarandeo. — La vieille sorcière ; une scène de Buena ventura. — Le Calo. — Mariages et religion des Gitanos. — Ascension à la Sierra-Nevada. — Le nevero Ramirez. — Le trésor du Barranco de Guarnon. — Le Panderon. — Les Ventisqueros. — Le Picacho de Veleta. — Le Mulahacen.
- Grenade (suite). — De Grenade à Jaen. — La Sierra de Martos ; les bandits ; Jaen. — Les dormeurs en plein air ; les paysans et leurs costumes. — Défense de Jaen au quinzième siècle. — La cathédrale. — Le Santo Rostro. — Départ de Grenade pour les Alpujarras. — Alhendin ; El ultimo suspiro del Moro ; la fin de Poabdil. — L’insurrection des Morisques. — La vallée de Lecrin. — Fernando de Valor. — La guerre dans les Alpujarras. — Padul. — Durcal. — Ginez Perez de Hita, soldat et historien. — Lanjaron, le paradis des Alpujarras. — Le Barranco de Poqueira. — Ujijar. — La Sierra de Gador. — La Puerto del Lobo. — Le Rio Verde et la Sierra Bermeja. — Berja. — Un mendiant centenaire.
- Grenade (suite). — Almeria ; le Sacro Catino des Génois. — Une pièce de Calderon : Tuzani le Morisque et Don Juan d’Autriche. — Adra. — Motril. — Salobrena et Salambo. — Almuñecar. — Velez-Malaga ; végétation tropical : le coton et la canne à sucre. — Ferdinand le Catholique et Garcilaso de la Vega. — Malaga. — L’Alameda ou le salon de Bilbao. — Les femmes de Malaga. — Le climat. — Les patios. — Chansons populaires de l’Andalousie : les Malagueñas. — Les ruines moresques. — La cathédrale. — Les statuettes de terre cuite. — Les delitos de sangre. — Les serenos de Malaga. — Les gens de vida airada. — Un professeur de naraja. — Les Golpes. — La Parte alta et la Parte baja ; le Jabeque ; le Desjarretazo ; la Plumada et le Revès. — Un coup mortel : le Floretazo ; les Golpes de Costado. — Les Engaños. — Les Tretas ; quelques bottes secrètes. — L’escrime au Puñal et au Cuchillo. — Le Molinete. — Lanzar la navaja. — Les Tijeras des G. tonos. — Les Charranes. — Le Barrio del Perchel. — L’Arriero et son once d’or. — Le torrent de Guadalmedina ; combats à coups de pierre des Lazzaroni de Malaga. — Les Barateros. — Les Garitos et les joueurs ; comment se touche le Barato. — Les pourfendeurs andalous ; un défi. — Le Baratero sur la place ; dans la caserne ; dans la prison. — La chanson du Baratero.
- Grenade (suite). — Les environs de Malaga ; la Hoya. — Opinion de Voiture sur l’Andalousie. — Le chemin de fer d’Alora à Malaga. — La route de Velez à Alhama. — Les croix de meurtre. — La Sierra Tejada. — Alhama ; les bains. — Ay ! de mi Alhama ! — Santa Fé ; le siége de Grenade ; la couleur Isabelle. — Loja. — La Peña de los Enamorados. — Un chrétien et une Moresque. — Archidona. — Antequera. — La Serrania de Ronda. — Le brigandage en Espagne. — Les Rateros. — Ladrones, Bandides et Bandoleros. — Le capitan et sa partida. — L’attaque de la diligence. — Le partage du butin. — Les Siete Niños de Ecija. — Le capitan Ojitos. — Un sac de duros. — José Maria. — L’indulto. — La chanson du Bandolero. — Sept frères bandits. — La Cabeza del Malvado. — Teba. — Ronda. — Le Tajo. — La casa del Rey Moro. — Une corrida d’enfants. — Les Rondeñas. — Les contrabandistas de la Sierra. — Le corredor. — L’Encuentro. — Ce que deviennent les contrabandistas. — Cancin. — San Roque. — Gibraltar. — Algecoras. — Tarifa ; les Tarifiñas. — Vejer. — Medina. — Sidonia. — Conil. — Chiclana. — Ses surnoms populaires de quelques villes andalouses. — La Isla de Leon. — San Fernando. — Arrivée à Cadix.
- Cadiz. — Le ciel d’Andalousie. — Azoteas et miradores. — Les Gaditanes. — Lord Byron à Cadiz ; le poëte et l’Aficionado. — L’Alameda. — Les mantilles. — Les coufiterias ; gourmandise héréditaire des Andalouses. — Les Cigarreras de Cadiz. — Les marineros. — Les Playeras andalouses. — La chanson du Curriyo marinero. — La baie de Cadiz. — Le Puerto Santa Maria. — Los toros del Puerto. — La Calesa andalouse. — Jerez de la Frontera. — Les Jerezanos. — Majos et Aficionados. — La Plaza. — Le Toro del Aguardlente. — La Cartuja. — Les vignobles ; l’exploitation ; les veillées des travailleurs. — Le Capataz et sa Cuadrilla. — La Vendimia. — Les Lagares. — Le Vino Madre. — Le Jerez Seco. — Le Brown Sherry. — L’Amontillado. — Le Pajarote. — Le Moscatel. — Les Bodegas. — Arcos de la Frontera. — La puente de Arcos. — San Lucar de Barrameda ; le manzanilla. — Palos ; le départ de Christophe Colomb. — Bonanza. — Le Guadalquivir. — La Isla Mayor et la Isla Menor. — Les taureaux de combat. — Un Picador en voyage. — Une fête andalouse : le Herradero ; le Tenta’ero ; le baptême des taureaux. — Coria. — San Juan de Alfarache. — Arrivée à Séville.
- Séville. — Les origines de Séville ; Hercule ; l’antique Hispalis ; Julia Romula. — Saint-Ferdinand. — La Cartuja. — La Feria de Santi Ponce. — Les ruines d’Italica. — L’amphithéâtre antique. — Les environs de Séville. — Alcala de Guadaria, ou de los Panaderos. — Le Castillo arabe. — Les Caños de Carmona. — Les Alahonas ou moulins arabes. — Moron. — Osuna. — Le chemin de fer de Cadiz à Séville. — Lebrija. — Utrera, la ville des taureaux et des toreros. — La calle de las Sierpes. — Un patio. — La mantilla de tira. — Le Correo ; les noms de femme. — La casa de l’Ayuntamiento. — Les armes et les devises de Séville ; la Empresa des Rois catholiques. — La calle de los Abades. — La maison de don Juan. — La calle de la Feria ; les Ferias de Murillo. — La Macarena. — La tahoma et le tahonero. — L’hôpital de la Sangre. — La Plaza de la Magdalena. — Les Puestos de agua ; les bebidas ou rafraîchissements populaires. — Le Mercado. — L’Alameda de Hercules et les Delicias de Cristina. — La Giralda. — La statue de la Foi, ou Giraldillo. — Le Caballero del Bosque et la Giralda. — Les cloches. — Le Patio de los Naranjos. — Les portes et les marteaux arabes. — La Puerta del Perdon ; la Puerta del Lagarto. — Les chanoines de Séville. — La cathédrale : le Monumento. — La Custodia de Juan de Arfe. — Le Cirio pascual. — Le saint Christophe. — La Capillo mayor. — Tombeau de Ferdinand le Catholique et de Maria Padilla. — La salle capitulaire et la sacristie. — Le saint Antoine de Murillo. — Les peintures sur verre.
- Séville (suite). — L’Alcazar de Séville ; le Patio de las doncellas. — La Sala de Embajadores. — Le Patio de las Munecas. — Pierre le Cruel et Maria de Padilla ; le rey Bermejo et ses trésors. — Les Banos de Padilla. — La Capilla de Azulejos. — Les jardins de l’Alcazar. — La Casa de Pilatos. — La Juderia et la Moreria. — La Calle del Candilejo ; la Cabeza del rey don Pedro. — La Universidad. — Le couvent de Santa-Palla ; une façade d’église en faïence. — Le musée de Séville ; la salle de Murillo ; le Torrigiano. — Les théâtres de Séville. — Fanfaronnades andalouses : — Pacomandria y sacabuchés. — Les Estranjis. — Geroma la castanera. — Comment on traite les étrangers dans les sainetes. — Inglis-manglis, Gabachos et Franchutes. — Les Barateros de Séville ; la gente de mal vivir ; la chanson du Baratero sevillano. — La prison ; les carceleras, ou chansons de prisonniers. — Les barbiers de Séville. — Une barberia. — Les borberillos, ou barbiers en plein air.
- Séville (suite). — Le faubourg de Triana et ses habitants. — L’église de Santa-Ana. — Sainte Justine et sainte Rufine. — Les faïences de Triana. — Les Gitanos ; leurs occupations et leurs habitudes. — Le calo, ou langue des Gitanos ; ses légendes et ses poésies ; une malédiction gitana. — Les diseuses de bonne aventure : la caridad ; don Miguel de Manara ; les chefs-d’œuvre de Murillo. — Un tableau de Juan Valdès Leal. — La Fabrica de Tabacos ; le Polvo sevillano. — Les Cigarreras ; les Pureras. — Le Capataz ; les Maestras et les Capatazas. — Les cigarreros de papel ; les puros. — Les repas des cigarreras ; les empapeladoras. — La sortie des ouvrières ; ce qu’elles sont dans la vie privée ; la Relacion de las cigarreras. — Majas et Majos ; la gente de Cuerno. — Le dialecte andalous. — Le Ceceo. — La Feria de Sevilla ; les Gitanos chalanes. Les botilleras et les ermitas. — La zambomba. — La noche buena. — La velada de San Juan. — La Alameda de Hercules ; les puestos de bunuelos et de flores ; les puestos de agua. — Le retour de la feria de Torrijos ; la calle de Castilla ; les Majas habillés à la française. — Gitano ivre-mort. — Les Romerias. — La Virgen del Rocio.
- Séville (suite). — Les fêtes religieuses de Séville : les Pasos. — Judas Iscariote. — Jesus Nazareno del gran Poder. — Un cierge monstre, le Cirio Pascual. — Les Cofradias, les Nazarenos ; les Caperuzas. — Da entrada del Cristo en Jerusalen. La Prision del Senor. — Les Tinieblas et le Miserere à la cathédrale. — Le Monumento. — Les processions du Vendredi saint. — Le cortége de la Mort et l’Établissement de l’Église en tableaux vivants. — Le Marché aux agneaux. — Le dimanche de Pâques : une corrida extraordinaire. — Les anciennes danses espagnoles : le Turdion. — Opinion de Lope de Vega. — La Pavane d’Espagne ; Catherine de Médicis et Marguerite de Navarre. — Le Paspié et le Pasacalle. — Les Folies d’Espagne. — La chacona. — Les danses picaresques. — La Zarabanda. — Le Père Mariana et l’évêque d’Avranches. — Les Coplas de Zarabanda. — Le Régent danse la sarabande. — Quelques noms d’anciennes danses. — Les danses gaditanes. — Martial et les danseuses. — Cadix. — Telethusa. — La Puella gaditana. — Pline le Jeune et Pétrone. — De l’antiquité des castagnettes. — La bibliographie de cet instrument. — La crotologia. — La padereta.
- Séville (suite). — Les academias de baile, ou écoles de danses. — Une affiche séduisante : le Salon del recreo. — Les bailes de palillos. — L’arrivée des boleras. — Une duègue accomplie. — Les boleras robadas. — Les rafraîchissements. — La Campanera danse le Jaleo de Jerex. — Doré s’improvise violoniste. — L’Anglais, le mouchoir et le durillo. — Les cantadores. — El peinero. — Les coplas de baile. — Un Baile de Candil dans le faubourg de Triana. — Le Polo. — Une Tonada. — Le Zarandeo et le Zorongo. — Les Cantadores andalous. — Le Tango americano. — Les Decimas. — La Rondena. — Le Zapateado. — Le Vito Sevillano. — El Ole gaditano ; la Nena. — Encore le Bolero. — Le doyen Marti et le Fandango. — Les Panaderos.
- Séville (suite). — Les Seguidillas manchegas. — Opinion de Cervantes et de l’auteur de Guzman de Alfarache. — Les Seguidillas Sevillanas, Valencianas, etc. — La poésie : la Copla et l’Estribillo. — Quarante couplets pour deux cuartos. — Le Guitarrero manchego. — Un baile dans la Manche. — La Manola de Madrid. — Le Salon de Capellanes. — Les Habas verdes de la Castille. — La Tarusca à Tolède. — Encore les Gigantones. — Les Asturiens et la Danza prima. — La Muyñeira des Galiciens. — Le Gaitero gallego. — Le Magosto. — La Gallegada à Paris. — La danse des Provincias vascongadas. — Le Tabourin de Basque. — L’Orchésographie de Thoinot Arbeau. — Le Zorcico. — La Dantza vizcaina. — Le livre Contra bailes du Révérend Père Palacios. — Le pañuelo et le Musico Tamborilero. — Jovellanos et les divertissements publics de l’Espagne. — Livres sur la danse en langue basque. — La Camargo et le Grand Inquisiteur. — Les danses religieuses de l’Espagne. — L’évêque de Valence et le cardinal Ximénès. — Les Farsas santas y piadosas. — Philippe II et les danses au Concile de Trente. — Les ballets ambulatoires. — La Pela en Galice. — Les Villancicos de Navidad. — Une Jota la nuit de Noël à Saragosse. — Les Seises de la cathédrale de Séville. — Leur voyage à Rome. — Un costume du seizième siècle. — La danse devant le Saint-Sacrement. — Le chant des Seises.
- Séville (suite). — Une Corrida à la portugaise. — Les Vendedores. — Don Joaquin de los Santos, le Caballero en plaza. — Les rejoncillos. — Le tigre José Bo. — Les pégadores. — Un espada monté sur des échasses : Miguel Lopez Gorrito. — Le Brindis au Señor présidente. — Les Indios et les Caporales. — La Sopimpa, le Cucullé et le Tango. — Maria Rosa Carmona, la pegadora. — Un taureau sellé et bridé. — L’acteur Maiquez et le picador. — Teresa Bolsi, la torera. — Les louanges de Séville. — Les Haciendas et les Olivares ; les Aceitunas sevillanas ; l’huile d’Espagne. — Le chemin de fer de Séville à Cordoue. — Les Nymphes de Bétis. — La Ciudad de Carmona et Philippe IV. — Les romances populaires de Carmona. — Ecija, la poële à frire de l’Andalousie ; cinquante degrés de chaleur. — Les bords du Génil. — Les Santeros andalous ; la demanda. — Palma. — Les palmiers nains. — Le Castillo d’Almodovar del rio. — L’ancienne Cordoue : Corduba ou Corteba. — Silius Italicus et Martial. — Cordoue sous la domination romaine. — Les patriciens ; la cepa de Cordoba. — Un mot du Grand Capitaine. — Les Sénèque et l’auteur de la Pharsale. — Le palais des rois goths. — Splendeurs de Cordoue sous les khalifes d’Occident. — Les livres à Cordoue et la musique à Séville, — Les chrétiens et les juifs sous la domination arabe. — Décadence de Cordoue.
- Séville (suite). — L’entrée à Cordoue. — La tour de la Carrahola. — Le pont du Guadalquivir. — La Puerta del Puente. — La Mezquita ; Abdérame et son fils. — Le Patio de los Naranjos. — Les expropriations à Cordoue au neuvième siècle. — Les huit cent cinquante colonnes de marbre. — Le Mihrab. — Une mosaïque byzantine. — Le Zancarron ; le Makssurh ; la silla del rey Almanzor. — Les cloches transformées en lampes. — L’éclairage au temps des Arabes. — Charles-Quint et la mosquée de Cordoue. — La colonne du Captif chrétien. — Les tombeaux de la Mosquée. — L’ancien Al-Minr. — La Puerta del Perdon. — Les heurtoirs arabes. — La Casa de Espositos. — Le Triunfo. — L’Archange Raphaël, patron et gardien de Cordoue. — La Corredera ; la Calle de la Feria. — Le Paseo del Gran Capitan. — Gonzalve de Cordoue ; les Comptes du Grand Capitaine. — Les grands hommes de Cordoue ; Gongora ; Pablo de Cespédès ; Ambrosio de Moralès, le père Sanchez. — Les anciens cuirs de Cordoue ; le Cordoban et le Guadamacil. — Décadence de Cordoue.
- Séville (suite). — La Tierra de la Santisima. — La dévotion à la Sainte-Vierge en Espagne. — Les Coplas et les Chançonetas en l’honneur de la Virgen. — Les Cafradias. — El Rosario de la Aurora. — La Prediccion de la Gitana. — L’Immaculée Conception en Andalousie. — Les environs de Cordoue. — Les bords du Guadalquivir sous la domination musulmane. — Les anciens moulins arabes. — Azzarah, la villa des Khalifes ; une fontaine byzantine. — Ancien dicton sur Cordoue. — Le palais de Rizzafah. — Le luxe d’Abdérame Ier. — Cordoba la Vieja. — San Francisco de la Arrizafa. — Les sérénades en Andalousie. — Les Majos au balcon. — Le Novio et la Novia. — Les soupirs à la Reja. — Pelar la Pava et Mascar hierro ; les Plumeurs de dinde et les Mangeurs de fer. — Les Serenatas, ou Coplas de Ventana. — Les rivaux et la navaja. — Une sérénade au clair de lune. — Cobrar el piso. — Départ de Cordoue. — Le pont d’Alcolea. — Andujar ; les fabriques d’Alcarrazas. — Bailen et la Carolina. — Las Navas de Tolosa. — Santa Elena. — Le défilé du Despenaperros. — La Sierra Morena. — Les pénitences du chevalier de la Triste-figure. — Les Ermitanos de la Sierra Morena. — Les brigands d’autrefois et ceux du dix-neuvième siècle. — Encore José Maria, le Bandit généreux. — Les mines de mercure d’Almaden del Azogue. — Les Fûcares. — La Venta de Cardenas ; Cardenio et Luscinde. — La Manche. — Almuradiel ; une caravane de mendiants. — Opinion de Voiture sur la paresse des Espagnols. — Le Fléau des Gueux, Fainéants et Vagabonds. — Quarante espèces de mendiants ; la Cour des Miracles en Espagne. — Repartie d’un mendiant espagnol. — Un voyageur italien et un mendiant secrétaire d’ambassade. — Arrivée à Santa-Cruz de Mudela.