Livre:Taine - Le Positivisme anglais, 1864.djvu

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TitreLe Positivisme anglais Voir l'entité sur Wikidata
AuteurHippolyte Taine Voir l'entité sur Wikidata
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1864
BibliothèqueInternet Archive
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Sérietexte : http://www.gutenberg.org/ebooks/17734

Pages







I. La philosophie en Angleterre. — Organisation de la science positive. — Absence des idées générales 
 3


II. Pourquoi la métaphysique manque. — Autorité de la religion 
 5


III. Indices et éclats de la pensée libre. — L’exégèse nouvelle. — Stuart Mill. — Ses œuvres. — Son genre d’esprit. — À quelle famille de philosophes il appartient. — Valeur des spéculations supérieures dans la civilisation humaine. 
 8


§ I. — EXPOSITION.


I. Objet de la logique. — En quoi elle se distingue de la psychologie et de la métaphysique 
 15


II. Ce que c’est qu’un jugement. — Ce que nous connaissons du monde extérieur et du monde intérieur, — Tout l’effort de la science est d’ajouter ou de lier un fait à un fait 
 18


III. Théorie de la définition. — En quoi cette théorie est importante. — Réfutation de l’ancienne théorie. — Il n’y a pas de définition des choses, mais des définitions des noms 
 29


IV. Théorie de la preuve. — Théorie ordinaire. Réfutation. — Quelle est dans un raisonnement la partie probante 
 31


V. Théorie des axiomes. — Théorie ordinaire. — Réfutation. — Les axiomes ne sont que des expériences d’une certaine classe 
 40


VI. Théorie de l’induction. — La cause d’un fait n’est que son antécédent invariable. — L’expérience seule prouve la stabilité des lois de la nature. — En quoi consiste une loi. — Par quelles méthodes on découvre les lois. — La méthode des concordances, la méthode des différences, la méthode des résidus, la méthode des variations concomitantes 
 48


VII. Exemples et applications. — Théorie de la rosée 
 55


VIII. La méthode de déduction. — Son domaine. — Ses procédés 
 69


IX. Comparaison de la méthode d’induction et de la méthode de déduction. — Emploi ancien de la première. — Emploi moderne de la seconde. — Sciences qui réclament la première. — Sciences qui réclament la seconde. — Caractère positif de l’œuvre de Mill. — Lignée de ses prédécesseurs 
 86


X. Limites de notre science. — Il n’est pas certain que tous les événements arrivent selon des lois. — Le hasard dans la nature 
 91


XI
 97


§ II. — DISCUSSION.


I. Concordance de cette doctrine et de l’esprit anglais. — Liaison de l’esprit positif et de l’esprit religieux. — Quelle faculté ouvre le monde des causes 
 109


II. Qu’il n’y a ni substances ni forces, mais seulement des faits et des lois. — Nature de l’abstraction. — Rôle de l’abstraction dans la science 
 113


III. Théorie de la définition. — Elle est l’exposé des abstraits générateurs 
 119


IV. Théorie de la preuve. — La partie probante du raisonnement est une loi abstraite 
 123


V. Théorie des axiomes. — Les axiomes sont des relations d’abstraits. — Ils se ramènent à l’axiome d’identité 
 126


VI. Théorie de l’induction. — Ses procédés sont des éliminations ou abstractions 
 131


VII. Les deux grandes opérations de l’esprit, l’expérience et l’abstraction. — Les deux grandes apparences des choses, les faits sensibles et les lois abstraites. — Pourquoi nous devons passer des premiers aux secondes. — Sens et portée de l’axiome des causes 
 134


VIII. Il est possible de connaître les éléments premiers. — Erreur de la métaphysique allemande. — Elle a négligé la part du hasard et les perturbations locales. — Ce qu’une fourmi philosophe pourrait savoir. — Idée et limites d’une métaphysique. — Position de la métaphysique chez les trois nations pensantes. 
 140


IX. Une matinée à Oxford 
 149