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— V. — On ne fait point le mal sans intérêt.
— VI. — Il se trouve dans les péchés une imitation fausse des perfections divines.
— VII. — Actions de grâce.
— VIII. — Ce qu’il avait aimé dans ce larcin.
— IX. — Liaisons funestes.
— X. — Elan vers Dieu.


Chapitre premier. — Amour impurs.
— II. — Théâtres.
— III. — Insolence de la jeunesse de Carthage.
— IV. — Il se passionne pour la sagesse, à la lecture de l’Hortensius de Cicéron.
— V. — Son mépris pour l’Écriture.
— VI. — Il tombe dans l’erreur des Manichéens.
— VII. — Folie des Manichéens.
— VIII. — Ce que Dieu commande devient permis.
— IX. — Dieu juge autrement que les hommes.
— X. — Folie des Manichéens.
— XI. — Prières et larmes de sa mère.
— XII. — Parole prophétique d’un évêque.


Chapitre premier. Neuf années d’erreur.
— II. — Il enseigne la rhétorique ; son commerce illégitime avec une femme ; il rejette les offres d’un devin.
— III. — Sa passion pour l’astrologie.
— IV. — Mort d’un ami.
— V. — Pourquoi les larmes sont-elles douces aux affligés ?
— VI. Violence de sa douleur.
— VII. — Il quitte Thagaste.
— VII. — Sa douleur diminue avec le temps.
— IX. — L’amitié n’est vraie qu’en Dieu.
— X. — L’âme ne peut trouver son repos dans les créatures.
— XI. — Les créatures changent ; Dieu seul est immuable.
— XII. — Les âmes trouvent en Dieu le repos et l’immutabilité.
— XIII. — D’où procède l’amour. Livre qu’il avait écrit sur la beauté et la convenance.
— XIV. — Il avait dédié ce livre à l’orateur Hiérius. Estime pour les absents ; d’où vient-elle ?
— XV. — Son esprit, obscurci par les images sensibles, ne pouvait concevoir les substances spirituelles.
— XVI. — Génie de saint Augustin.


Chapitre premier. — « Que mon âme vous loue, Seigneur, pour vous aimer ! »
— II. — Où fuit l’impie en fuyant Dieu ?
— III. — Faustus. Aveuglement des philosophes.
— IV. — Malheur à la science qui ignore Dieu !
— V. — Folie de Manès.
— VI. — Eloquence de Faustus et son ignorance.
— VII. — Il se dégoûte des dorlrines manichéennes.
— VIII. — Il va à Rome malgré sa mère.
— IX. — Il tombe malade ; prières de sa mère.
— X. — Il s’éloigne du manichéisme dont il retient encore plus d’une erreur.
— XI. — Ridicules réponses des Manichéens.
— XII. — Déloyauté de la jeunesse romaine.
— XIII. — Il se rend à Milan pour enseigner la rhétorique. Saint Ambroice.
— XIV. — Il rompt avec les Manichéens et demeure catéchumène dans l’Église.


Chapitre premier. — Sainte Monique suit son fils à Milan.
— II. — Elle se rend à la défense de saint Ambroise.
— III. — Occupations de saint Ambroise.
— IV. — Assiduité d’Augustin aux sermons de saint Ambroise.
— V. — Nécessité de croire ce que l’on ne comprend pas encore.
— VI. — Misère de l’ambition.
— VII. — Son ami Alypius.
— VIII. — Alypius entraîné aux sanglants spectacles du cirque.
— IX. — Alypius soupçonné d’un larcin.
— X. — Intégrité d’Alypius. Ardeur de Nébridius à la recherche de la vérité.
— XI. — Vives perplexités d’Augustin.
— XII. — Ses entretiens avec Alypius sur le mariage et le célibat.
— XIII. — Sa mère n’obtient de Dieu aucune révélation sur le mariage de son fils.
— XIV. — Projet de vie en commun avec ses amis.
— XV. — La femme qu’il entretenait étant retournée en Afrique, il en prend une autre.
— XVI. — Sa crainte de la mort et du jugement.


Chapitre premier. — Il ne pouvait concevoir Dieu que comme une substance infiniment étendue.
— II. — Objection de Nébridius contre les Manichéens.
— III. — Peine qu’il éprouve à concevoir l’origine du mal.
— IV. — Dieu étant le souverain bien, est nécessairement incorruptible.
— V. — Ses doutes sur l’origine du mal.
— VI. — Vaines prédictions des astrologues.
— VII. — Tourments de son esprit dans la recherche de l’origine du mal.
— VIII. — Dieu entretenait son inquiétude jusqu’à ce qu’il connût la vérité.
— IX. — Il avait trouvé la Divinité du Verbe dans les livres des Platoniciens, mais non pas l’humilité de son incarnation.
— X. — Il découvre que Dieu est la lumière immuable.
— XI. — Les créatures sont et ne sont pas.
— XII. — Toute substance est bonne d’origine.