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TABLE
DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE CINQUIÈME VOLUME
DE LA CORRESPONDANCE.



LETTRES

1749

1958. 
De Frédéric. 5 mars 1749. — « Il y a de quoi purger. » 
 Pr.
1959. 
De Stanislas, roi de Pologne. 13 mars. — « Je serais au désespoir. » 
 B.
1960. 
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 17 mars. — « Sire, cet éternel malade répond. » 
 B.
1961. 
Thieriot. 17 mars. — « J’ai envoyé à Versailles. » 
 P. in. 1820.
1962. 
Le marquis d’Argenson. Paris, 18 mars. — « Je vous envoie donc. » 
 B.
1963. 
Falkener. Paris, 29 mars. — « Dear sir, I have received. » 
 C. et F.
1964. 
Frédéric II, roi de Prusse. Versailles, 19 avril 1749. — « Vous vous plaignez que je vous traite. » 
 B.
1965. 
Le cardinal Querini. Parigi, 23 aprile. — « Ho ricevuto l’onore. » 
 B.
1966. 
Le comte d’Argental. — « Tout malade que je suis. » 
 C. et F.
1967. 
Marmontel. Mercredi au soir (30 avril). — « Voici votre second triomphe. » 
 B.
1968. 
Helvétius. 2 mai 1749. — « Our friendship is so well known. » 
 C. et F.
1969. 
Moncrif. Mercredi. — « À quelle heure, mon très-cher confrère ? » 
 C. et F.
1970. 
La comtesse d’Argental. Vendredi, mai. — « Cela n’est pas vrai. » 
 B.
1971. 
Marmontel. Vendredi au soir, mai. — « Je suis très-reconnaissant. » 
 B.
1972. 
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 15 mai. — « J’aurai l’honneur d’être purgé. » 
 B.
1973. 
De Frédéric. 16 mai. — « Voilà ce qui s’appelle écrire. » 
 Pr.
1974. 
Le comte d’Argental. Mai. — « Je demande les plus humbles pardons. » 
 C. et F.
1975. 
De la princesse d’Anhalt-Zerbst. 25 mai. — « Je suis trop sensible à la manière obligeante. » 
 B.