Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome42.djvu/603

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
4949. 
Debrus. (Reçu le 4 juillet.) — « Je crois qu’il est convenable. » 
 A. C.
4950. 
M. de Vosge. Délices, 3 juillet 1762. — « J’ai reçu vos trois beaux dessins. » 
 B.
4951. 
Lavaysse père. 4 juillet. — « Les personnes qui protègent à Paris. » 
 B.
4952. 
Charles-Théodore, électeur palatin. Délices, 5 juillet. — « Je voudrais bien que mon bon hiérophante. » 
 B.
4953. 
Le comte d’Argental. Délices, 5 juillet. — « Cette malheureuse veuve a donc eu la consolation. » 
 B.
4954. 
Debrus. — « J’obtiendrai aussi aisément. » 
 A. C.
4955. 
Le comte d’Argental. Délices, 7 juillet. — « Nous ne demandons autre chose. » 
 B.
4956. 
Le comte d’Argental. 8 juillet. — « Nous ne pouvons, dans notre éloignement de Paris. » 
 B.
4957. 
Debrus. — « J’envoie le mémoire ci-joint. » 
 A. C.
4958. 
Damilaville. 8 juillet. — « Vous savez, mon cher frère, que la place. » 
 B.
4959. 
Fyot de La Marche (père). Délices 9 juillet. — « Votre dessinateur me mande. » 
 Th. F.
4960. 
M. Audibert, négociant à Marseille. Délices, le 9 juillet. — « Vous avez pu voir les lettres de la veuve Calas. » 
 B.
4961. 
M. de Vosge. — « Je n’ai que des grâces à vous rendre. » 
 B.
4962. 
Du cardinal de Bernis. 10 juillet. — « Je n’ai lu Cassandre que depuis quelques jours. » 
 B.
4963. 
La Chalotais. Délices, 11 juillet. — « Je suis presque aveugle. » 
 B.
4964. 
D’Alembert. Délices, 12 juillet. — « Le nom de Zoile me pique. » 
 B.
4965. 
Mémoire de M. de Voltaire. Du 14 juillet 1762. — « Lecture faite des lettres de M. Crommelin. » 
 A. C.
4966. 
Le comte d’Argental. 14 juillet. — « Votre vertu courageuse. » 
 B.
4967. 
Palissot. Délices, 16 juillet. — « Je vous dois beaucoup de remerciements. » 
 B.
4968. 
Le comte d’Argental. 17 juillet. — « Vous voyez que la tragédie de Calas. » 
 B.
4969. 
Damilaville. 18 juillet. — « Est-il bien vrai que l’archevêque de Paris. » 
 B.
4970. 
Le cardinal de Bernis. Délices, 19 juillet. — « Ce n’est pas sans raison. » 
 B.
4971. 
De M. Audibert. 20 juillet. — « Ce n’est que depuis hier matin. » 
 Ch. Nis.
4972. 
La Chalotais. Délices, 21 juillet. — « Je crois que c’est à vos bontés. » 
 B.
4973. 
Le président de Ruffey. Délices, 21 juillet. — « J’ai l’honneur de vous renvoyer. » 
 Th. F.
4974. 
Cideville. Délices, 21 juillet. — « Nous oublions donc tous deux. » 
 B.
4975. 
Le cardinal de Bernis. Délices, 21 juillet. — « Lisez cela, monseigneur. » 
 B.
4976. 
M. Pinto, juif portugais. Délices, 21 juillet. — « Les lignes dont vous vous plaignez. » 
 B.