Chap. XX. — Philippe dispute l’escalade devant Mélitée, et la manque. — Siége de Thèbes. — Discours de Demetrius de Pharos pour porter le roi de Macédoine à quelque entreprise plus considérable. — On se dispose à la paix
Frag. II. — Hiéronyme de Syracuse rompt le traité qu’Hiéron son aïeul avait fait avec les Romains, et fait alliance avec les Carthaginois. — Situation de la ville de Léonte en Sicile. — Jugement de Polybe sur Hiéronyme, son aïeul Hiéron et son père Gélon
Frag. III. — Traité de paix conclu entre Annibal et Philippe, roi de Macédoine. — Philippe à Messène. — Demetrius de Pharos persuade à Philippe, roi de Macédoine, de s’emparer d’Ithome, forteresse de Messène. — Sentiment contraire d’Aratus. — Philippe, roi de Macédoine. — Aratus
Frag. I. — En quels cas il est pardonnable ou non de se fier à certaines personnes. — Archidamus, roi de Lacédémone, Pélopidas de Thèbes, Cnéus Cornélius sont blâmables de l’avoir fait. — Achéus fut aussi surpris, mais on ne peut lui en faire un crime
Frag. II. — Grandes actions des Romains et des Carthaginois, constance opiniâtre de ces deux peuples dans leurs entreprises. — Utilité d’une histoire générale
Frag. III. — Siége de Syracuse. — Marcus Marcellus attaque avec une armée navale l’Achradine de Syracuse. — Description de la sambuque. — Invention d’Archimède pour empêcher l’effet des machines de Marcellus et d’Appius
Frag. IV. — Affaires de Philippe. — Théopompe. — Philippe fait empoisonner Aratus. — Modération de celui-ci, et honneurs qu’on lui rendit après sa mort. — Prise de Lisse et de la citadelle par Philippe.
Frag. V. — Achéus, assiégé dans la citadelle de Sardes, est livré à ses ennemis par la trahison de Bolis, et condamné à une mort honteuse par Antiochus
Frag. II. — Siége de Capoue par les Romains après la bataille de Cannes. — Annibal s’efforce en vain de le faire lever, et s’avance vers Rome. — Comparaison d’Épaminondas avec Annibal, et des Lacédémoniens avec les Romains
Frag. III. — Si les Romains ont eu raison, et s’il était de leur intérêt de transporter dans leur patrie les richesses et les ornemens des villes conquises