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- 4 juillet 2023 à 18:01 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Lamirault - La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts, tome 16.djvu/260 (Page non corrigée : Page créée avec « repose sur l’esclavage, lequel alimente les professions industrielles. Quand la culture des champs devient le principal moyen d’alimentation, on introduit le travail servile pour nourrir la classe dominante et on lui fait une place de plus en plus grande à mesure que progressent la civilisation urbaine et les industries manufacturières. On sait que l’évolution ultérieure des sociétés industrielles élimine l’esclavage à mesure que le militar... ») Balise : Non corrigée
- 23 décembre 2022 à 19:55 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Lahor - Œuvres, L’Illusion, Lemerre.djvu/300 (Corrigée) Balise : Corrigée
- 23 décembre 2022 à 19:52 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Lahor - Œuvres, L’Illusion, Lemerre.djvu/301 (Corrigée) Balise : Corrigée
- 23 décembre 2022 à 19:51 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Lahor - Œuvres, L’Illusion, Lemerre.djvu/302 (Corrigée) Balise : Corrigée
- 6 janvier 2022 à 10:18 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/474 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:18 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/476 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:18 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/477 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:18 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/478 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:17 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/14 (Corrigée) Balise : Corrigée
- 6 janvier 2022 à 10:15 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/13 (Corrigée) Balise : Corrigée
- 6 janvier 2022 à 10:13 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/12 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:13 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/10 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:12 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/8 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:12 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/7 (Page non corrigée : Page créée avec « {{c|COLLECTION}} {{c|DE}} {{c|DOCUMENTS INÉDITS}} {{c|SUR L’HISTOIRE DE FRANCE}} {{c|PUBLIÉS PAR LES SOINS}} {{c|DU MINISTRE DE L’INSTRUCTION PUBLIQUE}} ») Balise : Non corrigée
- 6 janvier 2022 à 10:11 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/6 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:11 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/5 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:11 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/4 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:11 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/3 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:11 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/2 (Sans texte) Balise : Sans texte
- 6 janvier 2022 à 10:10 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Médicis - Lettres, tome 05, 1574-1577, 1895.djvu/1 (Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki/> <div style="font-family: 'Times new roman'; width: 32em; margin: 2em auto; padding: 2em; word-spacing:5px; page-break-after:always;"> {{c|LETTRES|fs=200%}} {{interligne|1em}} {{c|DE|fs=100%}} {{interligne|1em}} {{c|CATHERINE DE MÉDICIS|fs=250%}} {{interligne|1em}} {{c|PUBLIÉS|fs=90%}} {{interligne|1em}} {{c|PAR M. LE C<sup>TE</sup> HECTOR DE LA FERRIÈRE|fs=130%}} {{interligne|0.5em}} {{c|MEMBRE NON RÉSIDANT DU COMITÉ DES TRAVAUX HISTORIQUES|...) Balise : Non corrigée
- 28 novembre 2021 à 13:01 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 11, part. 1, Mémoire-Moli.djvu/16 (Page non corrigée : Page créée avec « et conduits au Jardin des plantes où, après estimation de leur valeur et indemnité donnée aux propriétaires, on les établirait k demeure. L’arrêté fut aussitôt exécuté que signé, et la première nouvelle en fut portée aux professeurs du Jardin des plantes par l’arrivée des animaux eux-mêmes qui, avec leurs gardiens, y affluaient de toutes parts sous la conduite des commissaires de police et de la force armée. Geoffroy Saint-Hilaire, après avoir... »)
- 6 octobre 2021 à 18:08 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 11, part. 1, Mémoire-Moli.djvu/12 (Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|ki|logr.}} de cacao. Aux environs, volcans en activité et mines d’or. Les Anglais s’emparèrent de Menado en 1810, et la rendirent en 1614. '''MENADURE''' a. f. (me-na-du-re —rad. ''mener''). Anc. jurispr. Assignation, action de mener, d’appeler devant le juge. '''{{sc|MÉNAECHME}}''', statuaire grec de Naupacte. Il vivait vers le V{{e}} siècle av. J.-C., et s’illustra, ainsi que son compatriote Soldas, par une statue de Diane, en or et en ar...)
- 3 octobre 2021 à 13:52 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 1, part. 1, A-Am.djvu/257 (Page non corrigée : Page créée avec « '''ALBON''', commune du dép. de la Drôme, arrond. de Valence ; pop. aggl. 1,327 hab. - pop. tôt. 2,507 hab. '''ALBONA''', petite ville des États autrichiens, en Illyrie, district de Trieste ; 1,100 hab. Mines dû charbon de terre ; riche culture de vignes et d’oliviers ; récolte d’excellents fruits. '''ALBONI''' (Marietta), célèbre cantatrice, née à Cesena (Romagne), en 1824. Élève de Mme Bertolotti, elle reçut aussi les conseils no Rossini, débuta... »)
- 2 octobre 2021 à 15:54 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 1, part. 1, A-Am.djvu/256 (Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|fac|tion}} aristocratique et des Albizzi sur la bourgeoisie et le peuple (''arts majeurs'' et ''arts mineurs''). Les Alberto furent rappelés après le retour des Médicis, en 1435. '''ALBERTIE''' s. m. (al-bèr-tî). Helminth. Genre de vers systolides, vivant en parasites dans les lombrics et les limaces. '''ALDERTINE''' ({{sc|ligne}}), l’une des deux branches de la maison de Saxe ; aujourd’hui dynastie régnante dans la Saxe royale. La branche"...)
- 2 octobre 2021 à 15:51 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 1, part. 1, A-Am.djvu/255 (Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|pré|senta}} à la cour de France (1706) et l’emmena en qualité de secrétaire dans ses campagnes des Pays-Bas, puis en Espagne (l7ll), où il le recommanda à Philippe V. Après la mort de son protecteur (1712), Alberoni, qui s’était déjà fait remarquer par son habileté diplomatique, fut choisi par son souverain, le duc de Parme, pour résider à la cour d’Espagne en qualité d’agent officiel. La princesse des Ursins était alors toute-puissan... »)
- 30 septembre 2021 à 16:35 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 11, part. 1, Mémoire-Moli.djvu/11 (Page non corrigée : Page créée avec « ''cat in pace'' (1838), roman ; plusieurs curieux mémoires, insérés dans ''les Comptes rendus de la Société de Chambéry'', entre autres : ''Montmélian et les Alpes'' (1841, in-8°) ; l’''Abbaye d’Aulps'' ; ''De l’origine, de la formé et de l’esprit des jugements rendus au moyen âge contre les animaux'' (1846, in-8°) ; ''De l’organisation militaire au moyen âge'' ; l’''Ancienne Chartreuse de Vallon'' ; ''Histoire de Chambéry depuis son origine... »)
- 28 septembre 2021 à 18:59 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/61 (Page non corrigée : Page créée avec « de vie : certains coins de pré sont jaunes, sans un point noir, de l’or envahissant des pissenlits. Quelques jours suffisent pour faire disparaître l’excès d’humidité de la terre et assécher les plaques d’eau faites des neiges fondues… Vite alors, sur tout le sol du Témiscamingue, les champs s’étaient repeuplés. L’on s’était mis à semer et à planter dans les carrés des labours encore humides. Les attelages et les hommes sillonnaient les... »)
- 28 septembre 2021 à 18:58 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/57 (Page non corrigée : Page créée avec « un peu du ciel et le ciel complet serait d’y rester. Mais je n’ai pas d’argent et ne puis vous payer vos bons soins. Laissez-moi aller m’en gagner et dites-moi seulement où je puis avoir du travail en cultivant comme j’ai toujours fait dans mon pays avant que j’aie fait la guerre… — Ah !… ah !… ah !… mais, comme ça s’adonne, jeune homme !” s’exclama, joyeux, Jean-Baptiste Morel, “comme ça s’adonne ; tu sais cultiver la terre et t... »)
- 28 septembre 2021 à 18:56 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/56 (Page non corrigée : Page créée avec « neige, tout son corps étendu en travers du chemin de glace de la Baie-des-Pères… L’on a vu comment, quelques heures après, il fut retrouvé par Jean-Baptiste Morel qui retournait au village avec sa charge de bois… {{brn|1}} Léon Lambert fut longtemps malade et l’on pensa plusieurs fois qu’il allait mourir. Mais les soins maternels de Marguerite et les attentions de Jean-Baptiste Morel, et aussi sa forte et jeune constitution, eurent raison des coups...)
- 28 septembre 2021 à 18:54 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/55 (Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|af|freusement}} noir et il lui semblait que le vent hurlait des malédictions. Ces arbres étaient quand même hospitaliers et il lui faut, coûte que coûte, passer la nuit sous leur protection. Il s’assît sur un tronc pour se reposer une minute ; mais il se releva vite ; c’était dangereux de s’asseoir ; son corps pouvait s’engourdir et rester là. Il marcha se cognant contre les arbres. Il rencontra un gros sapin aux branches épaisses et feutr... »)
- 28 septembre 2021 à 18:54 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/54 (Page non corrigée : Page créée avec « vit qu’il était gelé. Il s’aperçut aussi que l’obscurité venait par grandes foulades à travers le lac. Quand le soir fut arrivé tout à fait, le vent se mit à souffler, poussant une neige fine et serrée comme il n’en avait jamais vu dans les Cévennes, ni ailleurs. Oh ! alors, ce fut raide et l’émigré n’eut plus envie de siffloter. D’abord, ses jambes faiblissaient. Depuis tant d’heures qu’il marchait ! Ses pieds étaient gelés. Il hasar... »)
- 28 septembre 2021 à 18:53 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/53 (Page non corrigée : Page créée avec « montagnes, il avait été effrayé et il avait mis du temps à se remettre de son émotion. Ce n’était pas tout. Il avait traversé la mer qui lui avait fait grand’peur pour venir en Amérique où on lui avait dit qu’on trouvait de l’or par terre. Là encore, il traîna d’une ville à l’autre pendant longtemps. Une grande crise traversait le pays et partout chômaient les ouvriers. Puis il vint au Canada et arriva, un jour, à Montréal. Là on lui ava... »)
- 28 septembre 2021 à 18:52 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/52 (Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|Gar|rigues}}, qu’il est parti, il lui semble qu’il y a bien longtemps. Un jour, après la guerre pendant laquelle il s’était battu à peu près sur tous les fronts, son père lui avait dit : “Fils, nous sommes pauvres et il n’y a pas grand’chose à faire pour toi, ici ; mes bras suffisent pour cultiver notre petit champ et tes sœurettes peuvent garder la cabra. Il vaut mieux t’en aller dans les villes pour faire ta vie ; il y a bien la vend... »)
- 28 septembre 2021 à 18:51 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/51 (Page non corrigée : Page créée avec « Ensuite, il voit un vieux mendiant qui se tient sur le perron de la petite église et qui tend la main à ceux qui passent ; il voit encore une petite maison avec un toit de briquettes et une échelle qui est posée dehors et qui grimpe sous le toit ; la maisonnette a des vitres fendillées. Ensuite, il voit… Que sais-je ? Il voit une femme au visage très doux et un homme qui a l’air grave et soucieux… La vision change encore. Le malade se sent au carrefou...)
- 28 septembre 2021 à 18:49 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/50 (Page non corrigée : Page créée avec « <nowiki /> Vers six heures, Jean-Baptiste Morel arrivait à la maison où Marguerite l’attendait dans la plus profonde inquiétude. Prestement, il déposa dans la grand’salle chaude et claire le malheureux qu’il avait trouvé là-bas et, sans plus d’explications, le recommanda à sa fille pendant qu’il courait à l’étable dételer et soigner son pauvre cheval épuisé… Sur le grand lit double où on l’a déposé, l’homme semble bien mal. Il ne p... »)
- 28 septembre 2021 à 18:48 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/49 (Page non corrigée : Page créée avec « il aura à lutter à la fois contre l’obscurité et contre la neige qui a fait disparaître toute trace de chemin sur la glace. Pas une seule balise, en effet, n’est restée debout pour indiquer la route improvisée que barrent d’immenses falaises de neige. La tempête maintenant siffle et râle plus fort ; le froid devient plus vif et la neige cingle comme un fouet. Le cheval, aveuglé, marche péniblement, la tête baissée, se laissant guider au petit bonheu... »)
- 28 septembre 2021 à 18:48 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/48 (Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|dé|cembre}}, et le froid, très vif, chaque jour davantage, faisait monter continuellement, en une ligne verticale, dans le ciel bas et bleu d’acier, la fumée des cheminées qu’il fallait alimenter constamment. Un midi, Jean-Baptiste Morel était parti pour la Pointe-au-Vin. Le vent soufflait légèrement et il faisait un froid “sapin”. Pendant la nuit précédente, la neige était tombé à ciel que veux-tu et tout le village, jusqu’au lointai... »)
- 28 septembre 2021 à 18:47 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/47 (Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|débor|dantes}} de légumes. mais elle ne peut presque plus lui (fournir la moindre bûche pour alimenter le gros poêle “à trois ponts” qui est chargé de rendre à la famille la vie supportable pendant les interminables et rigoureux hivers laurentiens. Et l’on voit aujourd’hui, même dans de très jeunes paroisses du “pays de Québec”, de vieux cultivateurs qui étaient colons dans leur jeunesse, parcourir, pendant l’hiver, chaque jour, pl... »)
- 28 septembre 2021 à 18:46 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/46 (Page non corrigée : Page créée avec « général, mais inquiétante, doit-on penser, pour les futurs cultivateurs. Les défricheurs de la forêt travaillent avec la hâte fiévreuse de voir le plus tôt possible les blés et les avoines remplacer les grands bois, les taillis et la brousse. Mais ils vont trop loin et leur hache, impatiente, va trop vite. Des colons ambitieux n’auront de bonheur, semble-t-il, que le jour où ils verront tomber le dernier arbre de leur lot, du moment, bien entendu,...)
- 28 septembre 2021 à 18:44 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/45 (Page non corrigée : Page créée avec « même tenir à la besogne. Il savait que la main d’œuvre agraire était rare et coûteuse. Un jour, Jean-Baptiste Morel lui avait dit, lors d’une autre rencontre, qu’il comptait, pour continuer la culture de sa terre, seulement sur le gendre que Marguerite lui donnerait en se mariant et qui devait être dans son esprit, le fils d’un cultivateur de la paroisse qui continuerait ainsi l’exploitation du bien paternel ; mais toutes ces conditions futures renda...)
- 28 septembre 2021 à 18:42 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/44 (Page non corrigée : Page créée avec « acheter ni payer : c’est famé de ma terre, de ma maison. Vous comprenez pas ça ? Moi, j’peux m’expliquer mal, mais je l’comprends. Ma terre, voyez-vous, elle me rappelle toutes sortes de choses, des affaires tristes, comme la mort des miens, et des affaires joyeuses comme quand ma fille est venue au monde, et encore bien des choses, des choses de rien, si vous voulez, mais qu’on se souvient toute sa vie. Ma terre, elle me rappelle surtout mon défun...)
- 28 septembre 2021 à 18:40 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/43 (Page non corrigée : Page créée avec « de l’année à l’autre pour arriver à vivre, mais on aime ça quand même. Vous aussi, monsieur, vous aimez ça, et pourtant vous avez d’là fortune ailleurs. Il est vrai que vous faites ça pour passer le temps, mais n’importe. Vous aimez ça, hein ? et alors, vous trouvez pas qu’les autres ont des raisons de tenir à leur terre ? Moi, mon rêve, c’est de tâcher d’agrandir encore la mienne. C’est vrai que je suis tout seul, mais des temps meilleurs... »)
- 28 septembre 2021 à 18:39 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/42 (Page non corrigée : Page créée avec « savez. J’ai tout de suite pensé à vous et je me suis dit : “Il faut absolument faire profiter M. Morel de l’occasion. Je m’en serais voulu de vous avoir oublié. — Vous êtes bien bon. M. Larivé, vous êtes bien bon et encore une fois : merci ! Mais vous savez que j’ai pas d’argent à risquer dans ces affaires-là. Et puis, vous m connaissez, si j’en avais, de l’argent, je m’en servirais pour acheter une autre terre, celle de mon voisin, par e... »)
- 28 septembre 2021 à 18:37 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/41 (Page non corrigée : Page créée avec « de venir vous offrir plus tôt mes sympathies. Votre fils a été un brave et je dois vous féliciter en même temps que j’ai le devoir de compatir à votre douleur.” — Merci bien, M. Larivé, merci bien ; vous êtes bien aimable. Quant à moi, comme vous voyez, l’appétit va pas mal et l’appétit, c’est comme le gouvernement, quand il va, tout va, comme on dit. — En effet, M. Morel, vous avez une mine fraîche qui fait plaisir à voir. Je crois, ma... »)
- 28 septembre 2021 à 18:36 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/40 (Page non corrigée : Page créée avec « saison, ne manquait pas d’aller faire une visite à son obstiné voisin. Le prix qu’il offrait pour sa terre montait, montait toujours ; mais Jean-Baptiste Morel résistait, et l’ancien commerçant de Montréal se heurtait à un mûr. La lutte était au plus fort entre le paysan et le grand fermier quand ce dernier apprit le départ du fils de Morel pour la guerre. Il s’imagina qu’il gagnait un premier point, mais, en homme d’affaires avisé, il décida d... »)
- 28 septembre 2021 à 18:34 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/39 (Page non corrigée : Page créée avec « de Québec. Il trouva ce pays si riche en terre fertile qu’il résolut d’y faire de la haute culture croyant, non sans raison, que cette terre outaouaise serait pour lui plus prodigue de céréales et de foin qu’elle ne l’avait été de lingots d’argent. Il acheta un lot dans le rang Quatre de Ville-Marie et construisit une sorte de villa sur la colline, à quelques arpents seulement du trécarré de la terre de Jean-Baptiste Morel. Une couple d’années... »)
- 28 septembre 2021 à 18:33 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/38 (Page non corrigée : Page créée avec « côtes de la baie présentent mille aspects offrant tantôt des saillies granitiques brusques, où seules les fortes essences sont parvenues, par un effort commun, à percer la croûte shisteuse qui pèse sur elles, tantôt des plateaux à pentes douces noués les uns aux autres par des chaînes de rocailles et où, par talles serrées et épaisses, boivent la lumière, le guérêt, la fougère, la molène commune, la frigoule, les marguerites blanches et les bouton... »)
- 28 septembre 2021 à 18:32 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/37 (Page non corrigée : Page créée avec « la partie du lac Témiscamingue qui forme la Baie-des-Pères, l’un des plus pittoresques aspects de ce lac étrange, étroit, long, et qui est un élargissement prolongé de l’historique rivière Ottawa. L’on aperçoit, très nettement, les deux pointes avancées qui enserrent la baie de chaque côté : la Pointe-au-Vin, à l’ouest, et, à l’est, la Pointe-de-la-Mission ou Pointe-aux-Cèdres. Sur cette dernière, l’on voit une maison, vieille et vermoul... »)
- 28 septembre 2021 à 18:31 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/36 (Page non corrigée : Page créée avec « de souches et de bois, reluisantes. De sorte que les premières missions de ce comté de Témiscamingue. qui date à peine de cinquante ans, sont regardées comme de vieilles paroisses dont les habitants cultivent la terre paternelle. Entre la maison de Jean-Baptiste Morel et le chemin. il y a un parterre qu’ombragent des saules, quelques jeunes peupliers canadiens et deux ou trois érables à Giguère, biscornus et rugueux. Là, durant la belle saison, gr...)
- 28 septembre 2021 à 18:22 Doch54 discussion contributions a créé la page Page:Potvin - Le Français, 1925.djvu/33 (Page non corrigée : Page créée avec « il était né. Il était devenu farouche à tout ce qui ne regardait pas le bien de sa terre. Mais le malheur, en ces dernières années, avait travaillé son âme et son corps ; et de tous les sentiments ardents qui l’animaient naguère n’étaient plus restés, à bien dire, en son cœur, que l’amour violent pour sa terre et sa tendresse pour Marguerite. Sa figure était l’une de celles qui ont gardé de la réflexion et de la souffrance, des creusements e... »)