Catégorie:Poèmes d’Abraham de Vermeil
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Pages dans la catégorie « Poèmes d’Abraham de Vermeil »
Cette catégorie comprend 93 pages, dont les 93 ci-dessous.
A
B
C
- Cabalistes menteurs, vos sciences sont vaines
- Ce n’est pas le trépas, c’est un très doux sommeil
- Ce n’est point, ce n’est point la crasse du navire
- Celui qui mille fois me fit faire naufrage
- Comme les sept voutes du monde
- Comme un brave coursier vieilli dans les armées
- Comme un Musicien qui estale mignard
- Cruelle, respondez, prononcez la sentence
E
G
J
- J’admiroi quelques fois vostre cœur endurci
- J’ai chanté de douleur, larmoyant de destresse
- Je chante et pleure, et veux faire et défaire
- Je couve dans mon sein un Océan de pleurs
- Je dis en moi, que ne suis-je une mouche
- Je disois, estendu ardant dedans la flamme
- Je m’embarque joyeux, et ma voile pompeuse
- Je ne suis plus un homme, ou bien si je le suis
- Je suis un mont Gibel dont la poictrine espreuve
- Jour et nuict fuir ses verroux
M
N
O
P
Q
S
- Scamandre enflé des corps que ton bras abbatoit
- Si j’eusse pensé que ton ame
- Si jadis Jupiter eust delugé les flammes
- Si je ne brusloy de chaleurs
- Si mon âme est de feu, pourquoi n’est elle esteincte
- Si quelque dieu bening caché dans le nuage
- Si ton chien sort hors de ta porte
- Sonnet a Seine et a ses rivages
- Sonnet au lieu de sa naissance
- Sonnet, A. D. De Bervy Baron de Villeneuve
- Sonnet, au lieu de sa naissance
- Stances, sur le gris