Poèmes d’Abraham de Vermeil
Apparence
Poèmes d’Abraham de Vermeil
Seconde partie des Muses françoises, Texte établi par Despinelle, chez Matthieu Guillemot, (p. 405).
Poèmes d’Abraham de Vermeil
- Un jour mon beau soleil miroit sa tresse blonde (Sonnet)
- Peintre qui veux avoir une œuvre façonnée (Sonnet)
- Je couve dans mon sein un Océan de pleurs (Sonnet)
- Transporté je voyais l’astre de la grande voute (Muzain)
- Ô toi qui me dépars avec ta départie (Sonnet)
- Ô Grand Pindare qui t’envoles (Muzain)
- Mon espoir prompt monté sur mes services (Sonnet)
- Quand je ravis de votre bouche (Muzain)
- Garrotté à l’envers aux jantes d’une roue (Muzain)
- La vertu seule est le bien souverain (Sonnet)
- Puisse advenir que ma fiere Maistresse (Sonnet)
- Si mon âme est de feu, pourquoi n’est elle esteincte (Sonnet)
- Tu es le rien, fortune : et si es toute chose (Muzain)
- Le désespoir est un Roi furieux (Sonnet)
- Grand Homère, l’ardant Soleil (Muzain)
- Tu avais beau gémir, grand vieillard de Phrygie (Sonnet)
- Je dis en moi, que ne suis-je une mouche (Sonnet)
- Les dédains, les rigueurs, les morts (Muzain sur son anagramme : Abraham de Vermeille)
- Belle, depuis deux ans je vais cherchant mon cœur (Muzain)
- Cabalistes menteurs, vos sciences sont vaines (Sonnet)
- Belle main plus blanche qu’albastre (Muzain)
- Quand je vais contemplant la divine beauté (Sonnet)
- Si ton chien sort hors de ta porte (Épigramme)
- Oses-tu bien darder tes flammes criminelles (Sonnet)
- Puisque tes subtiles merveilles (Muzain)
- Le baiser en l’Amour est l’octave en Musique (Sonnet)
- Mon cœur hautain médisoit de l'Amour (Sonnet)
- O Petrarque divin (Muzain)
- Voz yeux plus prompts qu’esclairs, plus subtils que la foudre
- Bons dieux, qui la voyez pensivement blesmie (Sonnet)
- Un principe certain, plusieurs, ou infinis (Muzain)
- Nuit piteuse aux amants, empierre, je te prie (Sonnet)
- Qu’inférez-vous, menteurs, par vos beaux arguments (Sonnet)
- Peux-tu bien estre si cruelle (Muzain)
- Enseveli tout vif dans ma peine cruelle (Muzain)
- Esprits ardants coureurs qui animez le foudre (Sonnet)
- Puisque tu veux dompter les siècles tout-perdants (Sonnet)
- Ô Dieu qui vois ceste rouë execrable (Sonnet)
- Vous ne sçauriez aymer, permettez qu'on vous aime (Muzain)
- J’admiroi quelques fois vostre cœur endurci (Sonnet)
- Je chante et pleure, et veux faire et défaire (Sonnet)
- Beau nez, la colline d’Amour (Muzain)
- Si jadis Jupiter eust delugé les flammes (Sonnet)
- Comme un Musicien qui estale mignard (Muzain)
- Ce n’est pas le trépas, c’est un très doux sommeil (Sonnet)
- Vous estes un fleuron qui ne fait que s’espandre (Sonnet)
- Grand Tasse, l’honneur d’Italie (Muzain)
- Mustellæ vermilliacae umbra
- À Monsieur Richelet, sur l’ombre de sa Belette.
- Mustellæ vermilliace epitaphium ; Le mesme traduict par L. Gourdin
- Pour avoir adoré voz beautez inhumaines (Sonnet)
- Heureux celui qui d’un brave courage (Sonnet)
- Avant que ce Muguet vous eust entretenue (Muzain)
- Mars, l’Amour, et la Mort, trois superbes gensd’armes (Sonnet)
- Quand tu me vois, tu dis soudain (Épigramme)
- Alors que cent fureurs complices (Muzain)
- Belle, je sers voz yeux et voz cheveux dorez (Sonnet)
- Admirant voz beaux yeux, je raisonnois ainsi (Sonnet)
- Les rais de l’Eternel sont sainctes actions (Sonnet)
- Si je ne brusloy de chaleurs (Muzain)
- Scamandre enflé des corps que ton bras abbatoit (Sonnet)
- Si j’eusse pensé que ton ame (Muzain)
- Sonnet, au lieu de sa naissance
- Sonnet, A. D. De Bervy Baron de Villeneuve
- Muzain à Virgile
- Stances, sur le gris
- Je suis un mont Gibel dont la poictrine espreuve (Sonnet)
- Cruelle, respondez, prononcez la sentence (Sonnet)
- Celui qui mille fois me fit faire naufrage (Muzain)
- Helas ! on ne meurt point d'un tres-grand desplaisir (Sonnet)
- Quand j’ai défaict le dragon amoureux (Sonnet)
- Un blond, un noir, un olivastre (Épigramme)
- Ores que je suis mort, je vai, je viens, je vire (Sonnet)
- Tout ainsi puissiez-vous, rigoureuse beauté (Sonnet)
- Muzain a une courtisane
- Si quelque dieu bening caché dans le nuage (Sonnet)
- Je ne suis plus un homme, ou bien si je le suis (Sonnet)
- Épigramme d’une courtisane
- Comme un brave coursier vieilli dans les armées (Sonnet)
- Muzain a Horace
- Sonnet a Seine et a ses rivages
- Épigramme a une courtisane
- Je m’embarque joyeux, et ma voile pompeuse (Sonnet)
- Non, non, je ne croi point ces traistres mes deux yeux (Sonnet)
- En courant sur la terre et flottant dessus l’eau (Sonnet)
- Comme les sept voutes du monde (Épigramme)
- Sonnet au lieu de sa naissance
- Je disois, estendu ardant dedans la flamme (Muzain)
- Jour et nuict fuir ses verroux (Épigramme)
- Ce n’est point, ce n’est point la crasse du navire (Sonnet)
- J’ai chanté de douleur, larmoyant de destresse (Muzain)
- Muzain a Ronsard