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TABLE DES MATIERES.

Chap. CXXIII. — De Charles-Quint et de François Ier. Malheurs de la France, 253. — Charles-Quint vassal du pape, ibid. — Erreurs de Puffendorf, 254. — Charles-Quint fait son précepteur pape, 255. — François Ier vend tout, ibid. — Il s’attire la révolte du connétable de Bourbon, 256. — Mort du chevalier Bayard, 258.

Chap. CXXIV. — Prise de François Ier. Rome saccagée. Soliman repoussé. Principautés données. Conquête de Tunis. Question si Charles-Quint voulait la monarchie universelle. Soliman reconnu roi de Perse dans Babylone, 258. — Journée mémorable de Pavie, 259. — Traité de Madrid, 260. — Pertes immenses de la France, et ressources, ibid. — Duel proposé. Absolution plus étrange que ce duel, 261. — Rome prise et saccagée, ibid. — Charles-Quint vainqueur et embarrassé, 262. — Il baise les pieds du pape qu’il a tenu captif, ibid. — Donne à Tunis un roi, 263.

Chap. CXXV. — Conduite de François Ier. Son entrevue avec Charles-Quint. Leurs querelles, leur guerre. Alliance du roi de France et du sultan Soliman. Mort de François Ier, 264. — François Ier, pour avoir Milan, se ligue avec les Turcs, ibid. — Fait brûler les luthériens en France, et les paye en Allemagne, 265. — Remarque intéressante, ibid. — Charles-Quint ridiculement accusé d’avoir empoisonné le dauphin, 267. — Condamné au parlement de Paris, ibid. — Charles et François se voient familièrement, 268. — Autre voyage de Charles en France, ibid. — Deux ministres de François Ier assassinés, 269. — Turcs et mosquée à Toulon, ibid. — André Doria, 270. — Cérisoles, ibid. — Mort de François Ier, 271. — France un peu polie sous son règne, ibid.

Chap. CXXVI. — Troubles d’Allemagne. Bataille de Mulberg. Grandeur et disgrâce de Charles-Quint. Son abdication, 273.

Chap. CXXVII. — De Léon X et de l’Église, 275. — Résumé de toutes les horreurs produites par la querelle des deux glaives, 277. — Médicis cardinal à quatorze ans, presque doyen à trente-six, et pape, 278. — Beaux jours de Léon X, ibid. — Un cardinal pauvre, pendu ; un riche, échappé, 279. — Trente cardinaux pour un, ibid. — Concubines des prêtres permises pour un écu, 280. — Vente d’indulgences et de péchés, ibid. — Les sciences, première cause de la chute du pouvoir ecclésiastique, 282. — Seconde cause. L’abus des indulgences, 283.

Chap. CXXVIII. — De Luther. Des indulgences, 283. — Réforme nécessaire, 284. — Luther protégé, 285. — Déchaînement de Luther, ibid. — Il fait brûler la bulle du pape, 286. — Plaisante éloquence de Martin Luther, 287. — Le roi Henri VIII écrit contre Luther, 288. — Henri VIII, défenseur de la foi, depuis destructeur, ibid. — Luther devant Charles-Quint, 289. — Messe abolie sur une apparition du diable, ibid.

Chap. CXXIX. — De Zuingle, et de la cause qui rendit la religion romaine odieuse dans une partie de la Suisse, 291. — Étrange aventure des dominicains, 292. — Profanation, sacrilége, imposture, assassinat, empoisonnement, pour soutenir l’honneur de l’ordre, ibid.

Chap. CXXX. — Progrès du luthéranisme en Suède, en Danemark, et en Allemagne, 295. — Massacres ordonnés par Christiern, le Néron du Nord, et l’archevêque Troll, son ministre, ibid. — Grégoire II permit autrefois d’avoir deux femmes, 297. — Philippe, landgrave de Hesse, demande à Luther permission d’avoir deux femmes, ibid. — Remarques sur la polygamie, 298.

Chap. CXXXI. — Des anabaptistes, 299. — Égalité prêchée, source des plus horribles massacres, ibid.