Une femme m’apparut/1905
Pour les autres éditions de ce texte, voir Une femme m’apparut.
« Sovra candido vel cinta d’oliva,
Donna m’apparve, sotto verde manto,
Vestita di color di fiamma viva.
E lo spirito mio, che già cotanto
Tempo era stato, ch’alla sua presenza
Non era di stupor tremando affranto,
Sanza degli occhi aver più conoscenza,
Per occulta virtù, che da lei mosse,
D’antico amor sentì la gran potenza. »
Ceinte d’olivier sur un voile blanc,
Une femme m’apparut, sous un manteau vert,
Vêtue d’une couleur de flamme vive.
Et mon esprit, qui pendant un si long
Temps était resté (tel) que, dans sa présence,
Il ne se lassait point de trembler de stupeur,
Sans par les yeux avoir plus (parfaite) connaissance,
Par une occulte vertu, qui venait d’Elle,
De l’ancien amour sentit la grande puissance.
TABLE DES MATIÈRES
- Chapitre I
- Chapitre II
- Chapitre III
- Chapitre IV
- Chapitre V
- Chapitre VI
- Chapitre VII
- Chapitre VIII
- Chapitre IX
- Chapitre X
- Chapitre XI
- Chapitre XII
- Chapitre XIII
- Chapitre XIV
- Chapitre XV
- Chapitre XVI
- Chapitre XVII
- Chapitre XVIII
- Chapitre XIX
- Chapitre XX
- Chapitre XXI
- Chapitre XXII
- Chapitre XXIII
- Chapitre XXIV
- Chapitre XXV
- Chapitre XXVI
- Chapitre XXVII
- Chapitre XXVIII
- Chapitre XXIX
- Chapitre XXX
- Chapitre XXXI
- Chapitre XXXII
- Chapitre XXXIII
- Chapitre XXXIV
- Chapitre XXXV
- Chapitre XXXVI
- Chapitre XXXVII
- Chapitre XXXVIII
- Chapitre XXXIX
- Chapitre XL