Catégorie:Poèmes sans titre
Apparence
Poèmes sans titre ou les titres sont simplement « Sonnets ».
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I
Pages dans la catégorie « Poèmes sans titre »
Cette catégorie comprend 129 pages, dont les 129 ci-dessous.
A
- « À la beauté du Ciel votre beauté j’égale »
- « Adieu Paris, adieu pour la dernière fois »
- « Ah ! le cours de mes ans »
- « Ainsi qu’on voit plorer la chaste tourterelle »
- « Ainsi que l’alouette »
- « L’âpre fureur de mon mal véhément »
- Poésies de Benserade/Au bout du compte, quelque playe
- « Avoir pour toute guide un desir temeraire »
- « Avril, dont l’odeur »
C
D
E
I
J
- « J’ai l’âme lasse »
- « J’ai l’esprit tout ennuyé »
- « J’ai songé bien des fois »
- « J’aime le souvenir de ces époques nues »
- « Je la verrai »
- « Je lui ferai des vers aimants »
- « Je me croyais poète… »
- Poésies de Benserade/Je mourray trop de désir
- « Je n’ai pas oublié, voisine de la ville »
- « Je ne dois plus »
- « Je ne me mets pas en peine »
- « Je ne suis plus celui qui respirait la vie »
- « Je ressemble en aimant au valeureux Persee »
- Poésies de Benserade/Je rougis, je pâlis
- « Je sais, au profond de mon être »
- « Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne »
- « Je te donne ces vers afin que si mon nom »
- « Je vous aymois... »
- « Je vous offre ces vers qu’Amour m’a fait écrire »
- « Jeanne chante ; elle se penche »
- Poésies de Benserade/Jeune Divinité
- Poésies de Benserade/J’avois brisé mes fers
L
M
- « Ma mère, n’entendez-vous rien ? »
- « Ma raison me l’a dit aussi bien... »
- « Marchands, qui recherchez tout le rivage more »
- « Même éprouvée »
- « Mes pleurs qui sur mon teint distillez si souvent »
- « Mes yeux, vous avez veu Cloris... »
- « Mes yeux, vous m’êtes superflus »
- « Mon roi, s’il est ainsi »
- « Mon vers, s’il faut te le redire »
N
O
- « Ô forme que les mains »
- « Ô France claire et gaie »
- « Ô sombre hiver ! »
- « Ô toi, que mon amour profond »
- « Oh ! les charmants oiseaux joyeux »
- « Oh ! que son jeune cœur soit paisible et repose »
- « L’Ombre assourdit le flux »
- « On doit le temps ainsi prendre qu’il vient »
- « On est venu dire »
- « Orphée, au bois du Caystre »
- « D’où vient que l’âme humaine »
P
- Poésies de Benserade/Par mes regards, jugez de mon martyre
- « PARDON AMOUR, pardon, ô Seigneur je te voue »
- « Philis me traitte avec rigueur... »
- « Philis, vous vous plaignez... »
- « Les plus beaux vers »
- Poésies de Benserade/Les plus fiers animaux
- Poésies de Benserade/Pour son époux mourant
- « Pourquoi, courtisane »
Q
S
- « Saison des fleurs et des plaisirs »
- « Seconde lettre qu’on n’envoie pas »
- « Les sept filles d’Orlamonde »
- « Si j’étais Dieu »
- « Si je pouvais »
- « Si tu pleures jamais »
- « Le soir verse les demi-teintes »
- « Les soirs et les matins ont lassé ma paupière »
- « Le soleil du matin doucement chauffe et dore »
- « Soleils ! Poussière d’or »
- « Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée »
- Poésies de Benserade/S’il faut que chacun ait le sien
T
U
V
- « Va-t’en, me dit la bise »
- « Le vent froid de la nuit »
- « Vénus cherche son fils »
- « Vicomte de Foucault, lorsque vous empoignâtes »
- « La vie est comme une colline »
- Poésies (Mallarmé, 1914, 8e éd.)/« Le vierge, le vivace et le bel aujourd’hui »
- « Le vierge, le vivace et le bel aujourd’hui » (1887)
- « Vous avez allumé les lampes »