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TABLE DES CHAPITRES.
dres l’archevêque de Cantorbie et autres, et de leurs dérisions.
157
Chap. cxiii. — Comment le roi anglois abandonné de ses frères et autres, parla à son peuple rebelle dont il contenta une partie, et une partie non.
158
Chap. cxiv. — Comment messire Robert Salles, chevalier, fut par une grande multitude de vilains requis d’être capitaine, et comment il leur refusa, si l’occirent.
160
Chap. cxv. — Comment le roi Richard fut en grand péril en la cité de Londres. Comment ces gloutons paysans furent desbaretés ; et comment leurs capitaines furent décapités et tout le royaume recouvré pour le roi et les siens.
Ib.
Chap. cxvi. — Comment le duc de Lancastre retourna d’Escosse en Angleterre quand il y eut besogne, et comment le capitaine de Bervich lui refusa la cité et le passage.
163
Chap. cxvii. — Comment le duc de Lancastre s’en alla tenir en Escosse, et comment il fut chargé de déshonneur sans cause.
165
Chap. cxviii. — Comment le roi d’Angleterre punit les mutins qui avoient ému le peuple contre les nobles. Comment il remanda le duc son oncle, et la mort du comte Guichard de Hostidonne.
Ib.
Chap. cxix. — Comment le duc de Lancastre vint d’Escosse à la cour où le roi étoit, qui excusa le comte de Northonbrelande, et fit sa paix au duc de Lancastre.
167
Chap. cxx. — Comment le comte de Cantebruge arriva à grand travail et son armée, par mer, au port de Lusebonne.
168
Chap. cxxi. — Comment Philippe d’Artevelle, étant élu capitaine de Gand, fit décoller le doyen des tisserands de Gand, et comment le comte de Flandre assiégea la ville de Gand.
170
Chap. cxxii. — Comment le siége étant devant Gand, le seigneur d’Enghien alla assiéger la ville de Grantmont, qu’il conquit et fit ardoir et exillier.
171
Chap. cxxiii. — Comment messire Gaultier, seigneur d’Enghien, fut par les Gantois surpris, enclos et occis, et plusieurs autres, à une course qu’ils firent, dont ils ne sçurent retourner.
Ib.
Chap. cxxiv. — Comment, à la requête du comte de Flandre, les Gantois n’eurent nuls vivres de Hainaut ni de Brabant, et comment on traita pour leur paix.
172
Chap. cxxv. — Comment Piètre du Bois s’efforça de rompre tout ce qui étoit traité pour la paix, et de troubler le comte de Flandre et la ville de Gand.
173
Chap. cxxvi. — Comment Piètre du Bois et Philippe d’Artevelle occirent en la maison du conseil, à Gand, Gisebrest Grutte et Simon Bete.
174
Chap. cxxvii. — Comment les gens du comte de Flandre gardoient que vivres ne se menassent à Gand, et comment ceux de Paris se rebellèrent contre le roi, lequel s’en alla lors à Meaulx.
175
Chap. cxxviii. — Comment ceux de Paris étant en rébellion contre le roi, le roi envoya le seigneur de Coucy pour apaiser la communauté de Paris, et comment ceux de Rouen rebellèrent, que le roi même rapaisa.
176
Chap. cxxix. — Comment le duc d’Anjou se mit sus en grand appareil pour soi aller faire couronner roi de Naples et de Secille et recevoir les duchés de Pouille, de Calabre et de Provence.
177
Chap. cxxx. — Comment à Lusebonne en Portingal, le mariage fut fait de Jean, fils au comte de Cantebruge, et de madame Béatrix, fille au roi de Portingal ; et comment les gens d’armes furent distribués.
178
Chap. cxxxi. — Comment le chanoine de Robertsart, un capitaine anglois, chevaucha outre le gré du roi de Porlingal devant le chasteau de îa Fighière, et comment ii l’assaillit et conquit tout en un jour.
Ib.
Chap. cxxxii. — Comment après la conquête de la Fighière les Anglois se mirent en trois routes. Comment l’une route fut vue des ennemis ; et comment les François allèrent en Espaigne.
180
Chap. cxxxiii. — Comment le roi Richard d’Angleterre prit à femme madame Anne, sœur au roi Charles d’Allemagne ; et comment elle fut amenée par Brabant et Flandre jusques à Calais.
181
Chap. cxxxiv. — Comment la jeune dame partit de Calais et arriva à Douvres, et de là à Londres, où le roi Richard l’épousa, et d’autres avenues.
182
Chap. cxxxv. — Comment les Parisiens refusèrent au roi cent mille florins. Comment ils les délivrèrent au duc d’Anjou ; et comment icelui duc, à grand’armée, passa jusques près de Rome.
183
Chap. cxxxvi. — Comment le duc d’Anjou ne demanda rien à Rome. Comment il passa outre en Pouille ; et comment Charles de la Paix pourveyt à son fait, et ce que de son adversaire pourroit avenir.
184
Chap. cxxxvii. — Comment le duc d’Anjou ayant conquis la plaine de Pouille et de Naples, un grand enchanteur s’envint offrir à lui, et enseigna par quel moyen l’on auroit le chastel de l’Œuf qui est imprénable.
185
Chap. cxxxviii. — Comment le comte de Savoie fit à un enchanteur trancher la tête, qui offroit au duc d’Anjou de lui faire avoir le fort château de l’OEuf.
186
Chap. cxxxix. — Comment la garnison de Ville-Vesiouse délibéra de chevaucher sur les ennemis, voulsist le roi de Portingal ou non, à qui ils étoient soudoyers.
Ib.
Chap. cxl. — Comment le chanoine de Robertsart et sa route prirent la ville du Bas et le chastel, et un autre fort nommé la Courtoise, puis tournèrent vers Séville.
187
Chap. cxli. — Comment le chanoine de Robertsart et sa route prindrent la ville et le chastel de Jaffre ; et comment ils gagnèrent grand’proie de bestiail.
188
Chap. cxlii. — Comment les chevaliers et les compagnons du comte de Cantebruge se rebellèrent à leur capitaine et firent un nouvel capitaine, qui se nommait Soustrée ; et comment le chanoine de Robertsart détourna la besogne.
189
Chap. cxliii. — Comment, après la remontrance du chanoine de Robertsart et l’avis du comte de Cantebruge, trois chevaliers de par eux furent envoyés au roi de Portingal.
190
Chap. cxliv. — Comment le roi de Castille et ïe roi de Portingal conclurent de combattre l’un l’autre, puissance contre puissance, et comment place et journée furent prises entr’eux pour combattre.
191
Chap. cxlv. — Comment le roi d’Espaigne et le roi de Portingal étant logés, et leurs puissances, aux champs, une bonne paix fut entre eux trouvée sans combattre.
193
Chap. cxxvi. — Comment Tristan de Roye et Miles de Windesore coururent trois lances à fers acérés devant la cité de Badeloque en Portingal.
194
Chap. cxlvii. — Comment la femme au fils du comte de Cantebruge, par dispense papale, fut remariée au roi d’Espaigne ; le couronnement de Damp Jean, maître de Vis ; et du retour des Anglois en Angleterre.
195
Chap. cxlviii. — Comment les Gantois, en soutenant leurs opinions