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TABLE DES CHAPITRES.
contre leur seigneur, se trouvèrent en grand’nécessité ; et comment ils pouvoient être secourus.
196
Chap. cxlix. — Comment la duchesse de Brabant promit aux Gantois de parler pour eux au comte. Comment les vivres du Liége entrèrent en Gand ; et comment le comte délibéra de assiéger la ville de Gand.
197
Chap. cl. — Comment ceux de Liége, la duchesse de Brabant et le duc Aubert, envoyèrent à Tournay pour pacifier les Gantois à leur seigneur ; et comment le comte Louis leur fit déclarer pour tout ce qu’il en feroit.
199
Chap. cli. — Comment ceux de Paris se rebellèrent, de rechef, au roi.
200
Chap. clii. — Comment cinq mille Gantois se partirent de Gand pour aller assaillir le comte de Flandre, après la réponse que Philippe d’Artevelle leur avoit faite.
Ib.
Chap. cliii. — Comment Philippe d’Artevelle recorda à ceux de Gand la finale conclusion où le comte leur seigneur étoit arrêté ; et comment les Gantois conclurent de combattre leur seigneur.
201
Chap. cliv. — Comment les Gantois partirent de Gand et cheminèrent jusques à une lieue de Bruges, attendans leurs ennemis.
203
Chap. clv. — Comment les Gantois étant venus, en tout cinq mille, loger auprès de Bruges, furent envahis par le comte et assaillis par les Bruguelins, qui se desroyèrent et leur seigneur ; et en tuant et chassant reboutèrent les Gantois leurs ennemis jusques aux portes de Bruges.
204
Chap. clvi. — Comment le comte Louis de Flandres, cuidant garder Bruges contre les Gantois, fut en grand péril et comment le comte se esseula.
206
Chap. clvii. — Comment le comte Louis de Flandre fut préservé d’un grand péril en la maison d’une povre femme à Bruges qui bonne lui fut.
207
Chap. clviii. — Comment ceux de Gand firent grands murdres et dérobemens en Bruges ; et comment ils repourvéirent leur ville de vivres qu’ils prirent au Dam et à l’Écluse.
208
Chap. clix. — Comment le comte Louis de Flandre échappa hors de Bruges et chemina à pied vers Lille ; et comment en moult de lieux on murmuroit sur son fait.
210
Chap. clx. — Comment Philippe d’Artevelle et les Gantois mirent la ville de Bruges et la plupart de Flandre en leur obéissance ; et comment Audenarde ne voult mie obéir aux Gantois.
211
Chap. clxi. — Comment, Philippe d’Artevelle étant à Gand, fut envoyé messire Daniel de Hallewyn en Audenarde pour être capitaine, et comment Philippe d’Artevelle l’assiégea avec grand’quantité de Gantois.
212
Chap. clxii. — Comment un nombre de Flamands partirent du siége devant Audenarde, et des maux qu’ils commirent en Flandre et en Tournesis.
214
Chap. clxiii. — Comment le comte de Flandre, averti des outrages des Gantois, se recommenda à son gendre le duc de Bourgogne ; et lui et Berry en parlèrent au roi, et ce qu’il en répondit.
215
Chap. clxiv. — De une très merveilleuse vision, que le jeune roi de France eut de nuit en dormant en la ville de Senlis, sur le fait de son entreprise.
217
Chap. clxv. — Comment les Flamands maintenoient leur siége devant Audenarde ; et comment Philippe d’Artevelle se contenoit avec les Anglois.
218
Chap. clxvi. — Comment Philippe d’Artevelle, étant à siége devant Audenarde, rescripvit au roi de France ; et comment lui et son conseil conclurent d’envoyer en Angleterre pour traiter d’alliances et autrement.
Ib.
Chap. clxvii. — Comment les Flamands envoyèrent en Angleterre. Comment messire Perducas de la Breth fut hérité de la terre de Chaumont en Gascogne ; et comment il en hérita un sien cousin.
219
Chap. clxviii. — Comment l’ambassade des Flamands fut ouïe des princes et du conseil d’Angleterre ; et comment ils se retirèrent à Londres, en attendant leur réponse.
221
Chap. clxix. — Comment le roi de France étoit averti de la conduite des Flamands, et l’échange des Flamands et Tournesiens prisonniers.
222
Chap. clxx. — Comment le roi de France envoya trois évêques vers Flandre pour mieux entendre l’état des Flamands ; comment ils y besognèrent ; et comment ils trouvèrent les Flamands opinatifs et arrogans contre leur seigneur souverain et contre leur naturel seigneur.
223
Chap. clxxi. — Comment Philippe d’Artevelle voulut rescripre à ceux de la cité de Tournay par feintise, et la copie de ces lettres.
226
Chap. clxxii. — Comment les prélats et seigneurs commissaires ordonnés par le roi de France conseillèrent aux Tournesiens d’eux non accointer des Flamands.
227
Chap. clxxiii. — Comment le comte Louis fut parler au roi à Péronne, qui le reconforta ; et du grand mandement que le roi fit pour aller en Flandre.
Ib.
Chap. clxxiv. — Comment le comte Louis de Flandre fit hommage au roi de France de la comté d’Artois ; et comment Philippe d’Artevelle pourvyt à la garde des passages de la rivière du Lys.
228
Chap. clxxv. — Comment le Hazle de Flandre et plusieurs chevaliers et écuyers jusques à six vingt passèrent la rivière du Lys à Menin ; et comment à leur retour il leur en mescheyt par faute de conduite.
229
Chap. clxxvi. — Comment Philippe vint à Yppre prêcher et remontrer au peuple, auquel il fit lever la main, d’être certain à lui et au pays de Flandre.
230
Chap. clxxvii. — Comment le roi venu à Seclin et son baronnage, fut fort débattu pour aller en Flandre ; et comment ils conclurent de venir le droit chemin de Commines.
231
Chap. cixxviii. — Comment les princes de France ordonnèrent surtout à chacun chef qu’il devoit faire, eux combattus ; et comment le roi marcha sur Flandre et son ost sur Commines.
232
Chap. clxxix. — Comment le connétable de France atout l’avant-garde vint devant le pont de Comines où il fut moult en souci.
233
Chap. clxxx. — Comment aucuns chevaliers de France s’avisèrent de passer la rivière de la Lys au-dessus du pont de Comines.
234
Chap. clxxxi. — Comment ce lundi le connétable de France fit de trait escarmoucher aux Flamands ; et comment Piètre du Bois aperçut les François passés outre la rivière de la Lys et venant vers eux et ce qu’il conclut.
235
Chap. clxxxii. — Comment les François qui étoient passés outre la rivière du Lys se mirent en ordonnance de bataille devant les Flamands.
Ib.
Chap. clxxxiii. — Comment le connétable de France regretta la noblesse qu’il véoit outre le Lys. Comment il abandonna le passage et comment il fut conforté.
236
Chap. clxxxiv. — Comment à l’emprise du seigneur de Saint-Py et d’autres le passage à Comines fut conquis sur les Flamands, qui y