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TABLE DES CHAPITRES.
furent occis par milliers et tous déconfits.
237
Chap. clxxxv. — Comment le roi, averti de la victoire de Comines, voult passer en Flandre ; et Philippe d’Artevelle, sachant la perte à Comines, alla vers Gand pour élever l’arrière-ban.
239
Chap. cxxxxvi. — Comment le roi de France vint à Comines, et tout son arroy, et de là devant Yppre ; et comment la ville d’Yppre se rendit à lui par composition.
241
Chap. clxxxvii. — Comment le roi de France fut averti de la rébellion des Parisiens et d’autres, et de leur intention, lui étant en Flandre.
242
Chap. clxxxviii. — Comment les chastellenies de Cassel, de Berghes, de Bourbourch, de Gravelines et autres, se mirent en l’obéissance du roi ; et comment le roi entra en la ville de Yppre ; et du contenant de ceux de Bruges.
243
Chap. clxxxix. — Comment les messagers de Gand arrivèrent et un messager anglois à Calais ; et comment Philippe d’Artevelle fit grand amas de gens pour aller combattre les François.
244
Chap. cxc. — Comment le roi, averti que Philippe d’Artevelle l’approchoit, se partit de Yppre et son arroy, et tint les champs pour le combattre.
Ib.
Chap. cxci. — Comment à un souper ce Philippe d’Artevelle arrangea ses capitaines ; et comment ils conclurent ensemble.
245
Chap. cxcii. — Comment la nuit dont lendemain fut la bataille à Rosebecque avint un merveilleux signe au-dessus de l’assemblée des Flamands.
Ib.
Chap. cxciii. — Comment le jeudi au matin, environ deux heures devant l’aube du jour, fut la bataille ; et comment les Flamands se mirent en fort lieu en couroi ; et de leur conduite.
246
Chap. cxciv. — Comment le roi se mit aux champs emprès Rosebecque, où il fut surtout ordonné ; et comment le connétable s’excusa au roi.
247
Chap. cxcv. — Comment le jeudi au matin les Flamands partirent d’un fort lieu ; et comment ils s’assemblèrent sur le Mont-d’Or ; et là furent ce jour combattus et déconfits.
248
Chap. cxcvi. — Comment le jeudi les François se mirent en toute ordonnance pour combattre les Flamands qu’ils tenoient incrédules.
249
Chap. cxcvii. — Comment le jeudi au matin Philippe d’Artevelle et les Flamands furent combattus et déconfits par le roi de France sur le Mont-d’Or et au val emprès la ville de Rosebecque.
250
Chap. cxcviii. — Comment après la déconfiture des Flamands le roi vit mort Philippe d’Artevelle, qui fut pendu à un arbre.
252
Chap. cxcix. — Comment les Gantois partirent de devant Audenarde ; et comment ce Piètre du Bois reconforta la ville de Gand, qui étoit toute éperdue.
253
Chap. cc. — Comment le roi entra en Courtray ; comment il menaça Courtray de ruine ; et comment ceux de Bruges vinrent à merci à lui.
254
Chap. cci. — Comment au pourchas du comte Guy de Blois le pays de Hainaut et Valenciennes furent préservés de grand pillage et travail.
255
Chap. ccii. — Comment Piètre du Bois, revenu à Gand, reconforta les Gantois qui reprindrent courage fier et rebelle.
256
Chap. cciii. — Comment les Flamands ambassadeurs partirent du roi anglois à petit d’exploit. Comment le roi n’assiégea point Gand. Comment il fit embraser Courtray ; et comment il se retraist et les seigneurs à Tournay.
Ib.
Chap. cciv. — Comment le roi et son conseil voyant l’obstination et rebellion des Flamands mit garnison à Bruges, à Yppre et ailleurs à son département de Tournay.
258
Chap. ccv. — Comment le roi chevaucha vers Paris. Comment il éprouva les Parisiens ; et comment les Parisiens se mirent en armes aux champs à sa venue.
259
Chap. ccvi. — Comment les Gantois prindrent et détruisirent Ardembourch et tuèrent ceux de la garnison ; et comment le comte de Flandre fit bannir aucuns Anglois demeurans à Bruges.
265
Chap. ccvii. — Comment le pape Urbain octroya un dixième à être cueilli en Angleterre, et bulle d’absolution de peine et de coulpe pour détruire les Clémentins ; et de l’arr méë des Anglois sur ce.
266
Chap. ccviii. — Comment l’évêque de Norduich et les Anglois coururent le pays de Flandre ; et de la bataille qu’ils eurent ensemble où les Flamands furent déconfits ; et de la prise de Dunquerque.
272
Chap. ccix. — Comment l’évêque de Norduich et les Anglois urbanistes prirent plusieurs villes en Flandre ; et comment ils mirent le siége devant Yppre ; et d’autres incidences.
274
Chap. ccx. — Comment le roi de France assembla grand’armée pour aller lever le siége de Yppre tenu par les Anglois ; et de plusieurs rencontres qui y furent.
277
Chap. ccxi. — Comment les Anglois qui tenoient le siége devant Yppre, sentans le roi de France approcher, levèrent leur siége ; et comment les François prindrent aucunes garnisons d’Anglois.
279
Chap. ccxii. — Comment les Anglois, voyans l’armée du roi de France, se partirent de Berghes ; et comment le roi alla mettre le siége devant Bourbourch, et de l’ordonnance du dit siége.
281
Chap. ccxiii. — Comment François Acreman et les Gantois prindrent de nuit la ville d’Audenarde et boutèrent hors tous les habitans d’icelle, de laquelle prise ceux de Gand furent moult réjouis.
284
Chap. ccxiv. — Comment Aymerigot Marcel et ses gens prindrent le chastel de Mercuer en Auvergne ; et comment il le rendit par composition.
286
Chap. ccxv. — Comment après plusieurs escarmouches, les Anglois rendirent Bourbourch et Gravelines au roi de France ; et d’autres accidens pour lors avenus.
287
Chap. ccxvi. — Comment messire Thomas Trivel et messire Guillaume Helmen furent prisonniers à Londres ; et comment trèves furent prises entre France et Angleterre. Et du trépas du duc de Brabant et du comte de Flandre.
290
Chap. ccxvii. — Ci raconte l’ordonnance qui fut à l’obsèque du comte Louis de Flandre et de la comtesse sa femme.
293
Chap. ccxviii. — Comment, nonobstant ces trèves, les Anglois coururent en Escosse, où ils firent plusieurs maux ; et d’une ambassade envoyée par le roi de France en Escosse pour nuncier les divers trèves ; et comment aucuns François allèrent faire armes en Escosse.
295
Chap. ccxix. — Comment aucuns François et les Escots, au desçu du roi d’Escosse, entrèrent en Angleterre, où ils firent grands dommages ; et comment le roi d’Escosse envoya un héraut en Angleterre soi excuser de ce et la confirmation des trèves.
297
Chap. ccxx. — Comment messire Geoffroy de Chargny et les François retournèrent d’Escosse ; et du danger où ils furent en Zélande, dont un écuyer au comte de Blois les délivra.
300
Chap. ccxxi. — Comment le seigneur d’Escornay, nonobstant les trèves,